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A faire circuler:
Horaire : 31 Mars 2011 de 12h00 à 12h15
Localité : Monde Entier
Organisé par: Dr. Masaru EmotoDescription de l'événement :
"L'eau de la centrale nucléaire de Fukushima, nous sommes désolés de vous faire souffrir. S'il vous plaît pardonnez-nous. Nous vous remercions, et nous vous aimons.”
Voici l'email reçu:
Pour toutes les personnes autour du monde, S'il vous plaît envoyez vos prières d'amour et de gratitude à l'eau des centrales nucléaires à Fukushima, au Japon. Après le séisme de magnitude 9 massive et le surréaliste tsunami, plus de 10.000 personnes sont toujours portées disparues ... même maintenant ... 16 jours ont passé déjà depuis la catastrophe. Le pire est que l'eau dans les réacteurs des centrales nucléaires Fukushima a commencé à fuir, et à contaminer l'océan, l'air et les molécules d'eau des zones environnantes. La sagesse humaine n'a pas été en mesure de faire beaucoup pour résoudre le problème, mais nous essayons seulement de refroidir la colère des matières radioactives dans les réacteurs en évacuant l'eau à leur disposition. N'y a-t-il vraiment rien d'autre à faire? Je pense que si ! Pendant plus de vingt années de recherche à mesurer le hado et la technologie des cristaux d'eau photographique, j'ai été témoin de ce que l'eau peut devenir positive quand elle reçoit la vibration pure de la prière de l'homme, peu importe comment elle est loin. La formule de l'énergie d'Albert Einstein, E = MC2 signifie en réalité que de l'énergie = nombre de personnes et de la place de la conscience des gens. Il est maintenant temps de comprendre le vrai sens. Joignons-nous tous la cérémonie de prière en tant que citoyens de la planète Terre. Je voudrais demander à toutes les personnes, pas seulement au Japon, mais partout dans le monde s'il vous plaît de nous aider à trouver une issue à la crise de cette planète! La procédure de la prière est la suivante.Nom de la cérémonie :
"Envoyons nos pensées d'amour et de gratitude à toutes les eaux dans les centrales nucléaires à Fukushima "
Jour et heure:31 mars 2011 (jeudi)12:00 midi dans chaque fuseau horaire. S'il vous plaît dire la phrase suivante:
"L'eau de la centrale nucléaire de Fukushima, nous sommes désolés de vous faire souffrir. S'il vous plaît pardonnez-nous. Nous vous remercions, et nous vous aimons.”
S'il vous plaît aujourd'hui entre midi et midi un 1/4 dites à haute voix ou dans votre tête. Répétez trois fois en joignant les mains dans une position de prière. S'il vous plaît offrez votre prière sincère. Merci beaucoup du fond du cœur.
Avec amour et gratitude,
Masaru Emoto Messager de l'eau
Docteur en physique et biologiste, chargé de cours en Ethnomédecine à l'Université du Kremlin Bicêtre (Paris). Auteur de nombreux articles. Conférencier en France et à l'étranger sur l'environnement, l'écologie, les médecines alternatives et la population scientifique. A ce moment particulier de l'histoire de l'humanité, il apporte des réponses originales pour faire face aux conséquences pour l'homme de demain de sa rupture d'alliance avec la Matière et le Vivant.
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Suite au commentaire original d'Anonyme, je replace le texte.
Nous avons retrouvé dans nos brouillons, ce texte écrit le 23 janvier. Laissé tel quel. Nous avons de temps à autre envie d'arrêter ce blog, le sentiment de n'avoir plus rien à rajouter. Il existe tant de mots, partout, ailleurs, que les nôtres semblent bien dérisoires. Ni d'une grande culture, ni d'une grande sagesse, nous ne savons plus très bien quoi transmettre. A quoi sert-il de prendre ailleurs pour mettre ici? A quoi bon recopier des milliers de livres? Certains nous répondrons que les mots découverts au hasard d'un chemin peuvent apporter un déclic, un passage vers autre chose, l'ouverture d'une conscience,...peut-être, sûrement même comme cela nous est arrivé. En même temps après avoir bien distribué en ayant passé beaucoup de temps sur ce blog, nous avons besoin à ce jour de nous nourrir à nouveau. Même si la comparaison est très mauvaise compagne, quand nous l'écoutons discourir sur la musique, la peinture, le cinéma,....nous avons l'impression de ne plus avoir de cerveau. Où va-il chercher tout ça...et quelle mémoire! Et vas-y les noms, les dates, les lieux,.... Ce sentiment de dépit qu'Internet fait découvrir mais ne nous donne pas une culture approfondie. Des idées de surface, de surfeur, et au final, maigre butin en rapport au temps passé. Nous constatons que notre mémoire et notre concentration se sont amoindries. Mais voilà que les liens tissés ici nous manquent. Comme un rendez-vous chaque matin au café du coin où nous passerions devant la vitrine en tournant la tête pour ne pas voir les amis qui nous feraient signe d'entrer. Nous essayons de résister, nous déposons un commentaire de ci, de là, à la sauvette, en culpabilisant de ne pas tenir notre engagement de pause. S'il faut mettre le mot addiction, et bien mettons-le. Nous acceptons cet handicap. Il aura fallu connaître le manque pour apprécier davantage nos échanges. Il faut donc trouver le juste milieu entre plaisir et travail. Alors nous continuons! ....parce que nous ne sommes pas maso non plus!! Internet est un outil de communication, comme tous les outils, cela n'est ni bon, ni mauvais... Nous avons souvent entendu dire, "c'est virtuel, ah, nous qui sommes tous seuls derrière nos écrans !" Quand nous disons ça nous ne nous rendons même pas compte que la plupart des relations humaines, se font par écrans interposés, l'image que nous avons de l'autre, et que l'autre a de nous. L'écran de l'ordinateur est bien plus facile à traverser que nous ne le pensons, et n'empêche nullement la rencontre. Oui, des liens se créent entre nous, libres et nourriciers. Oui, l’outil comme nous disons n'est ni bon, ni mauvais, un couteau peut servir à tuer ou à éplucher une pomme. Et tout est question de dosage aussi. Nous avons quand même une vie sociale et des amis véritables en chair et en os. Le net, en nous enrichissant enrichit aussi nos relations. Les lignes de ce texte écrit le 23 janvier disent pour la plupart ce que nous ressentons. Entre autres choses de l’Addiction, le plantage de notre ordinateur, par exemple, nous le fait voir. Il nous faut ajouter que relayer, amplifier l'information par la copie n'est pas forcément une mauvaise chose. Mais il est d'autres questions que nous nous posons. Tenter de les formuler au mieux. Visons-nous vraiment l'accumulation de savoir ? La pleine conscience, ce rapprochement de l'instant présent ne nous fait-il pas (aussi) comme automatiquement abandonner certains objectifs qui ne nous servent à rien pour être, pour vivre ? N'est-il pas une autre connaissance plus immédiate, renouvelée, recherchée, attendue ? Savoir pour savoir est-il vraiment intéressant, et si, oui, pour quoi faire, si ce n'est pour briller, soutenir la comparaison avec d'autres ? Le plus important sans doute est de répondre à nos questions quand elles sont présentes. Se questionner, avancer des réponses "personnelles" ou non . Et pourquoi pas alors chercher des réponses chez d'autres, les écouter, voir en quoi elles nous correspondent. Et en l'absence de questions, pourquoi avoir peur de cette absence? Pourquoi ne pas nous satisfaire de ces instants où tout semble répondu, résolu ? L'absence de quête nous fait-il peur ? Pourquoi ? N'est-il pas alors des normes de société, de groupes intégrées que nous suivons encore et qui nous empêchent d'être satisfait tout à la fois d'une absence et d'une Présence ? Quelles sont nos peurs ? Non, nous ne visons pas vraiment l'accumulation de savoir. Les lignes de ce texte écrit le 23 janvier était la réflexion du jour et aussi la comparaison avec quelques années en arrière, où nous avions repris des études….mais où aussi, ne faisant plus que ça, nous avions des œillères. L’accumulation de savoirs, en dehors de la passion qui pourrait nous y porter, n’a aucun intérêt. Ce n’est d’ailleurs pas très jouissif d’écouter quelqu’un qui parle comme un livre mais qui ne ressent rien. Nous sommes d’accord avec tout cela. La vie c’est du pas à pas. Les tournants, sont pris quand c’est le moment, quand il y a saturation « naturelle ». Nous ne nous sentons pas en quête, au mieux, nous enquêtons sur ce qui est déjà là. La peur est mauvaise, sans réserve ; du reste c'est le seul ennemi que nous ayons. Nous pouvons rétablir n'importe quelle situation à condition de nous débarrasser de la peur qui s'y rattache. Les difficultés, la maladie ne sont que des craintes du subconscient qui se sont matérialisées. Il est exact qu'en tout temps nous n'avons à craindre que de la peur. Par ailleurs, comme nous le disons les uns et les autres, nous pouvons ressentir une véritable amitié, au travers des mots C'est rare de trouver des gens sincères qui se donnent a nous sans histoire. Alors Merci à nous tous pour notre amitié. Depuis que nous nous connaissons, nous avons la sensation d'avoir grandi, de mettre plus en application,la vigilance(si importante), nous savons bien qu’ à force de parler des mêmes choses tout le temps, cela fini par nous rentrer dans la caboche! C'est exactement ce que font les Maitres spirituels, répétition constante. Tout se fait dans le silence,mais la petite plante grandit! Pour certains d’entre nous la sincérité n’existe pas. C’est un concept, une idée d’humain. Le vrai truc, c’est juste l’observation, le constat dans l’instant. Nous ne cherchons pas à être sincère, ni à ne pas l’être, et surtout pas sur un blog, car nous réalisons que nous nous trompons déjà avec nous-même. Et quand bien même, la sincérité, l’amitié se liraient plutôt entre quatre yeux, face à face. Certains d’entre nous voudraient ne se donner à personne, si ce n’est qu'ils se font plaisir avec la joujouthèque. Attention à l'engouement. Il y a juste les propos qui peuvent nous parler, mais nous savons que nous sommes juste ce que nous sommes…..et ça, ça change tout le temps. Entre nous, en tout cas, nous nous apportons beaucoup. Nous aimons à venir sur notre blog, cela nous fait du bien tout simplement. Parfois, notre mémoire flanche et notre cerveau part en couille! Et alors! La vie est un conte de faits et de conneries. Alors continuons à tenir notre petite boutique qui est le reflet de notre sincérité et nous verrons un jour la magnifique étoffe qui nous aurons permis de tisser. Oui un compte de faits qui nous font changer un peu chaque jour. Tantôt c’est le laisser-aller et puis hop, ressaisissement. Pour la sincérité, écrire si nous en avons envie, visiter les blogs si le temps le permet, ne pas nous croire obligés de le faire parce que nous l’aimons, sinon, s'abstenir mais comme nous le disons ce texte fut écrit il y a longtemps et nous nous sommes restés sur le blog. Le problème, c'est que quand nous aimons nous ne comptons pas! ....et les heures tournent! Ainsi, nous pouvons passer 20h/24h sur notre PC. Chic alors! Le détachement est quand nous décidons enfin d'aller nous coucher. Nous plaisantons. Ces précisions sont aussi ce que nous croyons au fond. Bien sur la personne Est juste ce qu'elle Est! Et nous l'acceptons totalement ainsi! (Nous sommes tous ce qui Est ) DIEU. Ciel, nous sommes aussi Dieu! OUI, NOUS AUSSI NOUS SOMMES DIEU !!! NE LE SAVIONS NOUS PAS . Nous n’arrivons pas a voir ce que nous avons mis dans le petit carré bleu? (du ciel!) Plutôt que de nous ennuyer, seules chez nous, le dimanche (il faut dire que les dimanches après midi étaient ennuyeux pour nous avant d'avoir nos PC et Internet), ou certains soirs de la semaine, ou pour combler des petits creux, c'est bien que nous ayons eu envie de revenir. Et si au lieu de s'ennuyer nous nous faisions un p'tit silence? Quelque chose de très bien pour commencer: Méditer - 108 leçons de pleine conscienc. Maintenant nous sommes tous là et pour longtemps réuni(e)s autour de Madame Yog. Voilà, il est comme ça notre blog de Madame Yog et ses Ami(e)s La Vie!
Embrassades
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Les affinités s’attirent souvent, c’est vrai, mais souvent aussi, elles explosent quand elle se rencontrent.
Trouvé dans un commentaire d'Ibara
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... et inconscient
La psychanalyse travaille beaucoup à partir des révélations du patient, sur ses rêves, sur ses sensations, sur les difficultés qu’il rencontre au quotidien. Le yoga quant à lui facilite ces révélations, parce que la posture dispose le corps à l’ouverture. Or ce travail d’ouverture à travers le corps contribue à la libération de la parole.
« […], Un jour, cette femme qui parlait souvent de son sentiment d'enfermement éprouva une grande joie en ouvrant les bras dans la posture de la fente appelée vîrabhadrasana. Elle eut l'impression, dit-elle, de faire passer en avant, ce qui était en arrière-plan de son être. Mais dans cette exposition elle se sentit "à découvert". En interrogeant cette expression, elle réalisa l'audace qui lui manquait souvent pour apparaître et oser s'appuyer sur sa singularité. Dans sa méditation apparut une maison aux volets clos. Ces volets se mirent à s'ouvrir. Ce geste prit soudain pour elle la valeur d'une ouverture profonde au monde. Elle envisagea donc le chemin qu'il lui restait à accomplir pour "ouvrir les fenêtres" qui restaient fermées... Cette posture dégagea son désir certes, mais vint désigner la résistance qui l'empêchait encore, dit-elle, de faire entrer par les fenêtres ouvertes l'air et la lumière dans sa vie. Ouvrir la "fen-être" avait donc à voir avec sa difficulté d'être, de naître, de faire "naître le feu"(feu-naître), le feu du désir dont elle pressentait la subversion, l'ex-pression de la vie, son ouverture aux autres. En effet, d'en parler vint déclencher une émotion brutale et elle s'avoua, pour la première fois, s'être toujours crue "anormale" de n'avoir été simplement qu'elle-même... Vint alors le temps dans son histoire de dissimuler ce qu'elle croyait être son "anormalité", son infériorité. De ce fait, elle s'était emmurée, puis effacée avec sa foi en Dieu pour seul soutien… d'où cette maison aux volets clos qui venait la représenter dans l'inconscient. Cette posture, en contrariant cette image d'elle-même, était venue lui faire signe mais, dans les mois qui suivirent, l'éclipse de cette vérité devait à nouveau la plonger dans l'obscurité... A peine la lumière fut-elle entrevue, qu'un long moment dépressif s'installa et que le souvenir d'une parole indélébile de l'enfance la laissa dans l'ombre terrassantes d'un sentiment d'inaptitude. En fait, identifiée dans son inconscient à une parole maternelle qui l'avait jusqu'à ce jour constituée comme "inapte", souvenir jusqu'alors refoulé, son identité s'était tissée de ce jugement dans ses fibres les plus secrètes. Elle comprit qu'elle se regardait avec les yeux de sa mère, et que le regard de tout Autre en était pour elle, dans son fantasme, la continuité, dès lors qu'elle croyait engager la part intime de son être. Le sentiment d'infériorité dont elle souffrait l'avait assujettie à une fratrie qu'elle croyait être le seul recours contre la solitude mais, convaincue d'en être le canard boiteux, elle sentait chez eux le même regard réprobateur que chez sa mère. L'amertume et l'agressivité l'enfermaient alors dans un mal être coupable. S'en affranchir consistait donc à repérer en elle ce regard maternel qu'elle avait fait sien, et à observer, dans toute relation à l'extérieur, sa façon de le projeter sur autrui... Au dedans comme au dehors, la mère était là; cette femme se trouvait donc enfermée depuis toujours dans le regard de sa mère, avec l'idée qu'être regardée c'était être mal vue... Cette maison aux volets clos l'avait retenue prisonnière au dedans, tout en croyant paradoxalement la protéger du dehors. Son inconscient venait de reconnaître dans cette bâtisse obscure la tombe qu'elle était devenue pour elle-même, muette. Ainsi s'était construite son existence dans son symptôme.
Cette posture, dans l'innocence de son mouvement, avait su faire résonner toute une chaîne signifiante qu'une méditation avait imagée. Les séances qui suivirent consistèrent à accompagner ce mouvement d'ouverture de l'inconscient qui permit à cette femme d'entrer, grâce au savoir obtenu, dans un processus de désidentification progressif. Au terme d'une méditation, soulagée, elle eut alors ce mot "c'est comme si une chaîne se détachait"……], Le récit de cette femme, dans ses repères névralgiques, pourrait évoquer à beaucoup l'horreur civilisée de toute enfance, l'horreur tue, muette, celle qui fait "comme si", celle qui ne veut pas faire d'histoire, mais qui inhibe et invalide le potentiel unique et sacré de tout un être. C'est à se taire, à ne pas vouloir faire d'histoire, ou à ne pas être entendu, que le corps prend en charge la rétention ou l'implosion d'une vie soufferte. La parole, l'écoute, la relance de l'inconscient produisent de l'Histoire, et "font des histoires". Tout comme le souffle touche le lieu du soupir et du sanglot, il touche le lieu du trauma, du souvenir et du rêve. C'est à "faire des histoires" que le sujet peut se ré-inscrire dans une temporalité. Arraché à l'inertie de son fantasme, et dégagé de la fixité du trauma, il peut à nouveau avancer - Le travail du corps dans le yoga celui du souffle et de la parole le propulse en avant et fait bouger la structure. Dégagé de l'éternité où l'avait laissé son histoire, il rencontre à nouveau le temps, le temps qui passe...Certains s'insurgent contre tout ce travail du négatif, pensant devoir laisser le passé au passé, mais il est des répétitions insis-tantes qui empoisonnent une existence au point de la figer dans l'éternité inconsciente d'une souffrance. L'inconscient ne connaît pas le temps. Il le fixe. Et dans l'ordinaire de tout instant, nul rai pour l'aventure. Cette femme nous apprend qu'il n'y a de positif, comme en photographie, qu'à se servir du négatif. Alors l'image apparaît, révélée. Le souvenir s'avère indélébile, mais étonnamment, le corps du yoga lui redonne la parole à son insu, la remet en mouvement, puis la débarrasse de sa charge mortifère que la psychanalyse appelle jouissance.
"L'esprit conquiert sa vérité seulement à condition de se retrouver soi-même dans l'absolu déchirement" dit Hegel, "L'esprit est cette puissance seulement en sachant regarder le négatif en face, et en sachant séjourner près de lui. Ce séjour, dit-il, est le pouvoir magique qui convertit le négatif en être".
C'est à sa façon de se prêter à la parole, que cette femme a su séjourner au plus près de sa vérité, portée par le savoir, engagée contre vents et marées vers un dénouement heureux. Corps et parole se sont enchevêtrés, soutenus, entretenus l'un l'autre.
"La poussière qui touche la peau est indolore, dit Vyâsa, alors que le moindre grain de poussière qui pénètre dans l'oeil est douloureux". Celui qui recherche la clarté devient aussi sensible que l’oeil…[…] ”
Christiane Berthelet
Extrait de Revue Française de Yoga - Janvier 1998
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J'ai retrouvé dans mes brouillons, ce texte écrit le 23 janvier. Laissé tel quel.
J'ai de temps à autre envie d'arrêter ce blog, le sentiment de n'avoir plus rien à rajouter. Il existe tant de mots, partout, ailleurs, que les miens semblent bien dérisoires. Ni d'une grande culture, ni d'une grande sagesse, je ne sais plus très bien quoi transmettre. A quoi sert-il de prendre ailleurs pour mettre ici? A quoi bon recopier des milliers de livres? Certains me répondrait que les mots découverts au hasard d'un chemin peuvent apporter un déclic, un passage vers autre chose, l'ouverture d'une conscience,...peut-être, sûrement même comme cela m'est arrivé.
En même temps après avoir bien distribué en ayant passé beaucoup de temps sur ce blog, j'ai besoin à ce jour de me nourrir à nouveau. Même si la comparaison est très mauvaise compagne, quand j'écoute Yogtrois discourir sur la musique, la peinture, le cinéma,....j'ai l'impression de ne plus avoir de cerveau. Où va-il chercher tout ça...et quelle mémoire! Et vas-y les noms, les dates, les lieux,....
Ce sentiment de dépit qu'Internet fait découvrir mais ne donne pas une culture approfondie. Des idées de surface, de surfeur, et au final, maigre butin en rapport au temps passé.
Je constate que ma mémoire et ma concentration se sont amoindries.
Mais voilà que les liens tissés ici me manquent. Comme un rendez-vous chaque matin au café du coin où je passerais devant la vitrine en tournant la tête pour ne pas voir les amis qui me feraient signe d'entrer. J'essaie de résister, je dépose un commentaire de ci, de là, à la sauvette, en culpabilisant de ne pas tenir mon engagement de pause. S'il faut mettre le mot addiction, et bien mettons-le. J'accepte cet handicap. Il aura fallu connaître le manque pour apprécier davantage nos échanges.
Il faut donc trouver le juste milieu entre plaisir et travail.
Alors je continue! ....parce que je ne suis pas maso non plus!!
Allez voir par là!
Et là!!!
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Voici une observation du monde de la nature.
Après que deux canards se sont pris au bec, ce qui ne dure jamais très longtemps, ils se séparent et nagent dans des directions opposées.
Chacun de leur côté, ils se mettent à battre vigoureusement des ailes à quelques reprises pour se débarrasser du surplus d'énergie qui s'est accumulé pendant la bataille.
Une fois qu'ils ont fini de battre des ailes, ils se remettent à voguer en paix, comme si rien ne s'était jamais produit.
Si le canard avait un mental humain, il entretiendrait la bataille dans son esprit en pensant, en se racontant des histoires. Voici quelle serait l'histoire du canard:
"Je n'en reviens pas de ce qu'il viens de faire! Il s'est approché au point de me frôler!! Il pense que cet étang lui appartient! Il n'a aucune considération pour mon espace privé. Je ne lui ferai plus jamais confiance. La prochaine fois, il essaiera autre chose pour m'embêter. Je suis sûr qu'il est déjà en train de manigancer quelque chose. Je ne me laisserai pas faire! Je vais lui donner une leçon qu'il n'oubliera pas de sitôt".Et le mental poursuit sa ronde infernale d'histoires, y pensant et en parlant encore pendant des jours, des mois ou des années plus tard. En ce qui concerne le corps, la bataille n'est pas finie et l'énergie qu'il génère en réaction à toutes ces pensées sont des émotions, qui à leur tout génèrent davantage de pensées. Ceci devient la pensée émotionnelle de l'ego. Vous pouvez facilement vous imaginer à quel point la vie du canard serait problématique s'il avait un mental humain! C'est pourtant ainsi que la plupart des humains vivent en permanence! Aucune situation et événement ne sont jamais vraiment finis pour eux puisque le mental et le "moi et son histoire" créé par le mental les perpétuent.
Nous sommes une espèce qui s'est éloignée de son chemin et l'a perdu. Chaque chose de la nature, que ce soit une fleur, un arbre ou un animal a une leçon importante à nous apprendre, pour peu que nous nous arrêtions, que nous observions et que nous écoutions. La leçon que le canard peut nous apprendre est la suivante:
"Battons des ailes (laissons tomber l'histoire) et revenons au seul et unique lieu de pouvoir, le Présent!
"Nouvelle Terre" Eckhart Tolle
Quelques bonnes réflexions chez Mamalilou
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Le yoga a influencé le créateur de la sophrologie plus que toute autre méthode. A tel point qu’un indou avait déclaré que la sophrologie était le yoga occidental.
Pour les débutants, cette séance courte devra être vécue en faisant attention à certains points importants :
- ne jamais forcer. Le yoga n’est pas de la gymnastique. Le vécu importe plus que toute idée de performance. C’est bien dans l’instant présent que tout se passe. Il n’y a pas de projection dans le futur ni d’idéal à atteindre. Le mot ‘doucement’ est ici presque un mantra…
- La conscience. Il est important d’être conscient de ce qui se passe notamment corporellement. Quand une posture ne peut être qu’ébauchée, l’attention que l’on porte à sa réalisation et aux sensations qu’elle crée est plus importante que le fait de parvenir à la conduire jusqu’au bout.
- S’adapter. Comme en sophrologie, l’adaptation (4ème principe) est nécessaire. Au début de l’enseignement du yoga en France, certains pratiquants se sont abîmés le dos parce que leur corps n’était pas préparé à ce travail (Surtout chez les enseignants du yoga qui ont appris en Inde avec des maîtres irréprochables mais ignorants du mode de vie occidental.) Comme le yoga est vécu dans le présent, il importe que ce présent soit empreint de vérité. Et la vérité, ce sont les messages du corps.
- Une tenue confortable.
Nous nous asseyons à même le sol, en tailleur.
Si l’on est suffisamment souple, on peut également s’asseoir en demi lotus : un pied posé sur la cuisse opposée.
Si au contraire on manque de souplesse – notamment au niveau du dos – on peut glisser une couverture pliée sous les fesses afin de rehausser le bassin.
Ensuite, on incline un peu le buste en avant afin de mieux positionner le bassin. Et doucement, on redresse le buste pour placer la colonne vertébrale en position verticale.
Dans cette position on cherche à allonger le dos ; on rentre un peu le menton, comme si on poussait le sommet du crâne vers le ciel.Les mains sont posées agréablement sur les cuisses, paumes contre les cuisses afin de faciliter le relâchement des épaules.
Les yeux se ferment…On laisse se relâcher le visage, les mâchoires.
On laisse se relâcher les épaules, les bras, les mains…
On laisse se relâcher la région abdominale, les hanches, les jambes…Et on laisse s’installer une respiration agréable, de préférence lente et abdominale…
Conscience de la posture…
Conscience du souffle…
Conscience du relâchement apporté par chaque expiration…(Cette posture produit rapidement un sentiment de paix. Certes, pour le vivre il faut être confortable dans la posture. Mais avec un peu d’entraînement, vous découvrirez un bien-être particulier, une sensation d’ouverture ainsi qu’une plus grande capacité à vivre l’instant présent.)
…
Nous joignons les mains devant le thorax, paumes contre paume et nous prenons conscience de ce contact entre les mains…Expiration…
Surf une longue inspiration, nous dirigeons les mains vers le ciel, dans l’axe de la tête.Une fois les bras allongés dans l’axe du corps, nous respirons 3 fois.
A chaque inspiration, nous prenons conscience de la sensation d’étirement dans les bras, dans le dos…
A chaque expiration, nous laissons se relaxer tout ce qui n’est pas nécessaire à la posture (pensons par exemple au visage)…
Les bras redescendent sur une expiration.
Les mains se replacent sur les cuisses.
Les bras se relâchent.
On laisse venir une ou deux respirations, un ou deux bâillements…(La posture dite de la montagne apporte une sensation de détassement dans toute la colonne vertébrale. On retrouve des variantes de cette posture dans les mouvements dynamiques sophrologiques.)
Nous allongeons maintenant les jambes doucement.
Si l’on est assis sur une couverture, on peut la conserver pour la posture suivante.
Les jambes sont donc allongées, jointes (mais non pliées).
On cherche là aussi à allonger le dos.
On plie la jambe gauche afin de placer le pied gauche à plat sur le sol à l’extérieur du genou droit.
On place la main gauche sur le sol derrière les fesses. Ce bras va nous aider à maintenir la colonne vertébrale bien droite ou à la redresser si elle s’était un peu tassée.Avec le bras droit, on l’enlace la jambe gauche, la paume de la main droite se pose sur la partie extérieure de la cuisse gauche.
On regarde pour l’instant vers l’avant.
Expiration…
En inspirant depuis le ventre jusqu’au thorax et lentement, on étire un peu plus la colonne vertébrale éventuellement en poussant la main gauche contre le sol.
Poumons pleins (1 à 2 secondes), on commence à tourner lentement le buste vers la gauche à partir de la taille.
En expirant, on continue et on termine le mouvement de torsion vers la gauche comme si l’on voulait regarder derrière soi (ce que certains arriveront sans doute à faire) SANS bouger le bassin.En position finale, on réalise 3 respirations lentes et profondes :
- en prenant conscience de la sensation d’étirement dans le dos et la colonne vertébrale à chaque inspiration
- en accentuant très légèrement (et en fonction des sentis de chacun) la torsion vers la gauche à chaque expiration
- en prenant également conscience que l’on respire plus avec la partie gauche des poumons qu’avec la partie droite
On revient vers l’avant sur une inspiration et on relâche la posture sur une expiration : la jambe gauche s’allonge, les mains se posent à plat sur les cuisses. Tandis que l’on se laisse respirer, on observe les sensations issues de la posture qui subsistent en nous…
…
Doucement, on plie la jambe droite afin de placer le pied droit à plat sur le sol à l’extérieur du genou gauche.
La main droite est placée en appui sur le sol, derrière les fesses.
Avec le bras gauche, on enlace la jambe droite, la paume de la main gauche contre la face extérieure de la cuisse droite.
Expiration…
Sur l’inspiration, nous étirons un peu plus le dos, éventuellement en s’aidant de la main droite en appui sur le sol derrière les fesses.
Poumons pleins (1 ou 2 secondes), nous commençons le mouvement de torsion vers la droite, depuis la taille ; mouvement que nous continuons et terminons sur l’expiration qui suit.
En position de torsion, nous reprenons une respiration lente et profonde mais sans forcer.
Chaque inspiration accroît la sensation d’étirement, notamment tout le long de la colonne vertébrale. Chaque expiration peut nous aider à aller un peu plus loin dans la torsion si la posture demeure confortable.
Nous pouvons également prendre conscience du souffle qui se localise prioritairement dans la partie droite des poumons.
Après 3 respirations, nous revenons vers l’avant sur une inspiration et nous laissons la jambe droite s’allonger sur l’expiration qui suit.
Les mains se posent sur les cuisses.
Nous laissons faire le souffle…
Nous laissons se relâcher les muscles qui viennent d’être sollicités…
Et nous apprécions tous les messages sensoriels présents…(Les torsions sont généralement très appréciées des élèves. Elles assouplissent la colonne vertébrale et on a comme la sensation d’essorer les muscles contractés pendant la torsion tandis que lors du retour, c’est un sang frais qui afflue dans ces régions.)
Nous allons maintenant plier les 2 jambes (si nous étions assis sur une couverture, nous l’enlevons). Les pieds à plat sur le sol à environ 30 ou 40 cm des fesses, nous laissons le dos s’arrondir et rentrons le menton en l’appuyant contre le sternum.
En contractant bien les muscles abdominaux, nous déroulons notre colonne vertébrale sur le sol en posant bien en 1er la région lombaire, en second la région dorsale et en dernier, la tête.
Lorsque celle-ci est sur le sol, nous laissons les jambes s’allonger doucement. En position finale, les pieds sont écartés environ de la largeur du bassin ; les bras sont posés sur le sol, légèrement écartés.
Nous laissons notre corps se poser puis s’abandonner à la pesanteur (les personnes souffrant de la région lombaire auront intérêt à glisser une couverture roulée sous les genoux afin de réduire la cambrure lombaire).Ici, tout le corps se relâche : le visage, le thorax, le ventre, les bras, les jambes mais aussi le dos et les fesses…
On savoure toutes le sensations de relâchement, de lâcher prise, d’abandon.
On apprécie le mouvement de la respiration qui, comme une vague, crée un mouvement d’apaisement…Chaque expiration nous aide à laisser aller les tensions…
(La position allongée permet un lâcher prise complet, à condition d’être confortable au niveau du dos. Toutes les parties du corps qui sont orientées vers le ciel se relâchent avec plus de facilité.)
Nous replions maintenant les jambes afin de placer les pieds à plat sur le sol près des fesses, à environ 10 cm.
Les bras sont écartés d’environ 45°, paumes contre le sol. Le bas du dos est appuyé contre le sol…
Expiration…
Inspiration…
En expirant, on laisse les jambes pliées descendre vers la droite afin de les poser sur le sol (si la souplesse le permet) tandis que le visage se tourne vers la gauche. Dans cette position, on laisse agir le poids des jambes ce qui crée une torsion dans toute la colonne vertébrale.
On réalise au moins 3 respirations lentes, profondes (sans forcer) et complètes. Chaque inspiration ouvre un peu plus la partie droite de la région thoracique. Chaque expiration permet de se détendre un peu plus dans la posture ce qui peut augmenter la torsion. Si l’on sent certaines zones tendues, on peut diriger mentalement les expirations vers les zones tendues afin de les libérer un peu plus. On veille à bien relaxer les épaules dans cette position.
On remonte les jambes à leur position initiale sur une inspiration.
Et on les laisse s’allonger sur le sol en expirant. Elles s’abandonnent, un peu écartées, les pointes de pied tombant vers les cotés (détente des hanches).On se laisse respirer une ou deux fois.
Puis, on replie à nouveau les genoux afin de replacer les pieds près des fesses. La région des reins est bien en appui sur le sol.
Expiration…
Inspiration lente et profonde…
Sur l’expiration, on laisse les jambes pliées descendre vers le coté gauche tandis que le visage se tourne vers la droite. Dans cette position, on recherche le relâchement du dos. On respire plusieurs fois en appréciant tout ce qu’apporte la respiration en termes de sensations, de relâchement…
Nous remontons les jambes pliées sur une inspiration et elles s’allongent à nouveau sur le sol en expirant. Les pieds s’écartent un peu ; les pointes de pied retombent vers les cotés. Le corps s’abandonne complètement. Et on apprécie la détente tout en se laissant respirer.
Appréciation de toutes les traces laissées par la posture. Se sentir porté par le sol…(Les ‘crocodiles’ – torsions en position à plat dos – sont également très apprécies pour leurs bienfaits au niveau du dos mais aussi pour le relâchement qu’elles apportent.)
Nous joignons les jambes (toujours allongées).
Expiration…
Inspiration…
En expirant :- nous replions la jambe droite vers le thorax tout en
- soulevant la tête afin de diriger le visage vers le genou
- et en entrelaçant les mains autour de ce genou droit afin d’appuyer un peu plus la cuisse droite contre le thorax.
Dans cette position, on laisse les poumons se vider doucement et complètement, la posture étant conservée avec un minimum d’effort.
On respire plusieurs fois… En inspirant, on repose le pied droit et la tête sur le sol ; la jambe s’allonge. Et, sur l’expiration, on se relaxe en position à plat dos.
Grande respiration naturelle accompagnée de lâcher prise…
Appréciation des sensations et du calme…
Les jambes sont à nouveau collées l’une à l’autre…
Expiration…
Inspiration…
En expirant, nous replions la jambe gauche vers le thorax tout en levant la tête. Les mains viennent s’entrelacer autour du genou gauche afin de rapprocher la cuisse gauche du thorax mais aussi de rapprocher le genou gauche du visage (et le visage du genou).
On laisse les poumons se vider complètement.Quelques respirations adaptées à la posture...
En inspirant, on laisse la jambe gauche se reposer ainsi que la tête. La jambe continue son mouvement sur le sol et s’allonge complètement.
Et sur l’expiration, le corps se relâche...Respiration libre.
Conscience des sensations.
(Cette posture est très intéressante quand on veut éliminer les problèmes de dos. Le fait d’appuyer la région lombaire contre sol crée un étirement positif dans toute cette région. Elle est donc à conseiller à tous ceux qui ont des tensions dans le bas du dos. Elle est également intéressante pour les problèmes digestifs.)
Dans cette position à plat dos, on s’installe vraiment le plus confortablement possible. Si nécessaire, on pourra replacer la couverture sous les genoux afin de les surélever et ainsi rapprocher les ‘reins’ du sol.Tout le corps s’abandonne.
Les yeux sont fermés.
Le visage et l’intérieur de la bouche se relâchent…Les épaules, les bras et les mains se relâchent…
La nuque et le dos se relâchent…
Le thorax et le ventre se relâchent…
Le bassin et les hanches se relâchent…
Les jambes et les pieds se relâchent…
Tout le corps se relâche…Nous nous mettons à l’écoute des sensations suivantes :
- lâcher prise
- relâchement
- ouverture
- respiration
Nous pouvons sentir, tout en laissant notre souffle aller librement, chaque expiration approfondir notre détente…
Il n’y a rien à faire, simplement laisser notre corps s’abandonner, notre souffle aller librement.
Nous sommes observateur de tout cela.
Des observateurs tranquilles…
Puis, nous amplifions notre respiration afin de retrouver le mouvement, afin de nous étirer avec beaucoup de plaisir.Lorsque nous décidons de nous asseoir, nous le faisons en passant par un coté (en pliant une jambe) afin de protéger la région lombaire…
Vous retrouverez ces postures accompagnées de dessins dans mon ouvrage : « Initiation au yoga » paru aux Editions Dangles
votre commentaire -
Te rends-tu compte que ce que tu fais, ta manière de vivre et de penser, peut aider ou aggraver l'état du monde?
Cesse d'être attiré dans le tourbillon du chaos et de la confusion, de la destruction et de la dévastation, et commence dès maintenant à te concentrer sur la merveille et la beauté du monde autour de toi. Remercie pour tout. Bénis toutes les âmes que tu rencontres. Refuse de voir le pire en chacun, dans les choses ou dans les conditions extérieures, et recherche toujours le meilleur. Ce n'est pas comme une autruche qui se cache la tête dans le sable et refuse de voir les réalités du monde. C'est simplement chercher le meilleur en tout et en tous et te concentrer dessus.Tu es un tout petit monde à l'intérieur de toi-même. Quand il y aura paix, harmonie, amour et compréhension là, tout au fond de ton petit monde, cela se reflètera dans le monde extérieur tout autour de toi. Lorsque tu peux le faire, tu commences à contribuer et à remédier à la situation du monde.
Eileen Caddy "La petite voix"
10 commentaires -
http://www.internationalnews.fr/article-accident-nucleaire-69889740.html
Nuage : Protection personnelle
Le nuage du Japon va arriver d’ici 2 (mercredi)/4/6/ jours en France (en fonction de la vitesse du vent, des vents contraires, ...) comme mesure préventive, prendre de l'iode pour protéger la thyroide un des organes rapidement touché en cas de radioactivité
- Un homéopathe conseille de prendre :
Granules IODUM : 7ch 3 gr pendant 7 jours, arrêt 7 jours puis 3 gr 3 jours,
- Les algues aussi sont riches en iode : dulse , nori et kombu breton (en boutiques bio et diététiques).
- Le Miso pour son activité anti-radioactive.
Après les deux effroyables bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki, une expérience intéressante s’est faite dans un hôpital de Nagasaki.
« Cet hôpital se trouve dans une zone de haute pollution radioactive, et eux qui n’avaient pas été brûlés étaient voués à une mort plus ou moins rapide, en fonction de la dose de radioactivité reçue par contact et inhalation.
Le patron de cet hôpital qui était à la fois un maître Zen et un scientifique, sut faire une synthèse très intelligente entre la tradition et la science. Il se dit que les troubles à caractère leucémique, déclenchées chez les victimes, prouvaient que ceci était un effet de grand Yin. Aussi, mit-il toute la population de l’hôpital à un régime hyper-Yang, avec quatre soupes Miso par jour. Alors que la population avoisinante mourait, celle de l’hôpital tenait bon et se rétablissait. Un rapport fut fait de cette expérience, dans un livre intitulé « The bumbed nagasaki », qui fut diffusé aux Etats-Unis quelques années après. » M. Dogna
Le miso permettra d'évacuer les particules radioactives tel le Césium présent dans ce qui a été rejeté au Japon dans l'atmosphère.
Utilisation : 1 cuillère à café de miso de riz dans le potage ; on trouve du miso en boutique diététique.
- L’argile, qui est elle-même légèrement radio-active, a la propriété d’absorber la radioactivité ; par voie interne, une cuillère à café dans un verre d’eau, attendre quelques heures, boire ; consommer le matin ou midi, éloigné de la prise des autres produits cités ou de médicaments (demandez conseil à votre thérapeute si nécessaire).
- Se laver chaque jour en entier ; et rester chez soi le plus possible ; diffuser des huiles essentielles (exemple : lavande, niaouli, eucalyptus) ; ne pas consommer des légumes a feuilles du jardin
Faites circuler MERCI
JC
http://www.yoga-naturopathie-bordeaux.com/article-nuage-protection-personnelle-69930058.html
4 commentaires
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