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    Merci Patrick!
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    http://galeries.lalibre.be/gallery2/d/217560-2/Sophia_Charai.jpg

     

     

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Moi ce que j'aime c'est l'amour vache, l’amour vache

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Qui traque son cow-boy sans relâche, sans relâche

     

    Je manie la carabineAussi bien que l'amour ne

     

    Si on me cherche un peu trop

     

    Je rejoue Fort Alamo

     

    Méfiez-vous des idées reçues

     

    Ce sont des balles perdues qui tuent

     

    Et si elles sient à mon oreille

     

    Plus vite que mon ombre, je dégaine

     

    Gare aux apparences

     

    Rien n'est jamais comme on pense(Refrain)

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Moi ce que j'aime c'est l'amour vache, l’amour vache

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Qui traque son cow-boy sans relâche, sans relâche

     

    Gare aux apparences

     

    Rien n'est jamais comme on pense(Refrain)

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Moi lorsque j’aime, je m’amourache, je m’amourache

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Qui traque son cow-boy sans relâche, sans relâche(Refrain)

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

    Moi ce que j'aime c'est l'amour vache, c’est l’amour vache

     

    Je suis une poor lonesome cow-girl

     

     


    http://blogs.paris.fr/unitedstatesofparis/files/2011/03/Sophia-Charai.jpg

     

     

     

     

    Son site

     

     


    http://cdn.savoie-mont-blanc.com/509db512e77bc00bc762ac0aa982811b.jpg

     

    Vidéos

     

     

     

    Toutes les paroles de ses chansons:ICI

     

     

     

     


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    Autumn_tree.jpg

     

    L'automne est le moment d'exprimer, comme la nature est en train de le faire, le meilleur de vous-même avant de prendre un temps de repos.
    Les cycles de la nature, correspondent aux cycles de la création.

    Hiver : 'Je suis la force régénératrice de la vie'

    L'hiver, est une phase de repos et de retrouvailles avec la force de la terre. Les animaux hibernent, les arbres sont au repos, le temps semble suspendu, c'est la phase d'intégration, de régénération intérieure, de concentration de puissance dans la paix de l'être.
    Certes, à l'extérieur, il y a toujours des tempêtes de neige, des avalanches possibles, du brouillard givrant... mais celui qui sait se protéger, s'abriter, entrer en lui, est à l'abri et peut se réchauffer avec son propre soleil.
    C'est le temps d'intégration et de repos qui permet de reprendre des forces.

    Printemps : 'Je suis l'expression de la vie'

    Une fois que tout est bien reposé et gorgé de vie, la phase printemps se manifeste. Tout à envie de vivre et de se montrer rayonnant... c'est l'aspect juvénile de la vie. 'Regardez-mon potentiel' semble dire la nature.
    Et chacun se redresse, l'énergie est vive, pleine, dynamique...
    Les idées affluent et commencent à se manifester.
    C'est commencement de l'extériorisation de notre potentiel.

    Eté : 'Je suis la joie de la vie'

    En été, premier épuisement de cet enthousiasme et première fatigue.
    Un temps de repos devient nécessaire, tout en continuant de faire grandir son potentiel. c'est une phase d'alternance.
    Temps de réajustement, de pause, de voyages et de jeux.
    C'est le temps de l'expression de l'enfant intérieur, de l'audace d'Être vraiment qui nous avons envie d'être.

    Automne : 'Je suis la prospérité de la vie'

    Enfin, pour beaucoup d'êtres, l'automne est l'expression de la maturité du potentiel de sa nature.
    Pour la nature, c'est le début des moissons, des vendanges, de la récolte des champignons... les ronces regorgent de mures... (imaginez il y a quelques temps le plaisir des enfants, à manger ces rares friandises naturelles...), mais aussi, le temps de dépouillement, de la libération de ce qui n'est plus utile, qui ne sert plus à l'épanouissement de l'être.

    C'est le moment où nous pouvons récolter les fruits de notre travail intérieur, observer si nous avons semé correctement et prendre le temps de réfléchir pour notre prochain semis.

    Qu'est-ce que nous choisissons aujourd'hui d'être et de faire, qui portera ses fruits l'an prochain ?
    Que faut-il changer intérieurement et extérieurement pour rectifier ce qui ne va pas ou pour espérer être mieux ?

    C'est maintenant, avec le bilan de récolte de l'année 2010 qu'il faut déjà songer à celle de 2011.

    En janvier, nous avons tous pris de nouvelles résolutions. Combien les ont tenues ?
    Avons-nous vraiment suivi notre chemin ? N'avons-nous pas dévié en route ?...

    L'automne est aussi le moment, où nous pouvons libérer tout ce qui nous encombre mantériellement. Donner, vendre, jeter, transformer, rénover...
    Mais aussi ce qui nous encombre émotionnellement ou mentalement !
    Pardonner, libérer, couper, se rassurer, vider les programmes de culpabilisation, de colère ou d'amertume, de regrets...
    Et remplacer par ceux de de confiance, de joie, de paix... pour passer un bon hiver.

    C'est ainsi, qu'année après année, et depuis des millénaires, la nature fonctionne.

    L'homme moderne, dit 'intelligent' mentalement, a bien souvent perdu ces bases essentielles de cycles intérieurs.
    C'est l'intelligence de l'esprit et de sa nature qui doit se manifester avec respect et amour pour tout ce qui est.

     

     

     

    Que le meilleur soit !
    Joéliah
    amourdelumiere.fr
    Vous pouvez diffuser en gardant la source du message y compris cette ligne.



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    mouton.gif

     

     

    Si je laisse un peu tomber le blog depuis quelques semaines, ce n'est pas parce que le mouton désobéissant que je suis s'est endormi... c'est parce que je "retravaille"!

     

    Non non, ne vous méprenez pas, je ne retourne pas au boulot parce que j'en ai envie, mais parce que j'y suis obligé, comme tout le monde... 

    Ma vie de musicien souvent sur la route ne me permettant plus de faire vivre décemment ma petite famille, je me suis donc remis à ce que la société veut que je fasse: travailler pour manger un peu mieux et surtout donner à bouffer à l'état. 

    Je me retrouve alors dans la peau d'un ouvrier qui se tape ses 9 heures de moutonnage intensif quotidien et dans le même train train quotidien de milliards de personnes à travers le monde.

     

    J'ai commencé il y'a deux mois, un samedi matin, et mon nouvel employeur est un ami submergé par les commandes qui n'a pas hésité à m'appeller pour m'engager "en renfort". Pour lui rendre service, j'ai accepté de suite sans broncher de faire toutes les heures supplémentaires.

    Certains jours, j'ai accumulé 11 heures de boulot et commencé plusieurs fois à 5 heures du matin , re-expérimentant les "douches express" et les dîners en 10 minutes.

    Très vite, j'ai repris toutes les mauvaises habitudes que j'avais avant (et que presque tout le monde connaît), mais, étrangement, pour la première fois de ma vie, j'ai fait et continue encore de faire tout ça avec le sourire.

    Maintenant, je me lève tout les matins en sifflant!

     

    Pourquoi donc me direz-vous? je vous répondrais simplement que mes deux ans de "vie d'artiste" m'on fait découvrir la plus belle chose du monde: LA LIBERTE. 

    Je le sais maintenant et j'en ai la preuve, je suis immunisé contre la "moutonite aiguë" et vous pouvez l'être aussi ! Tout ces mois de "non activité dans la société", je les ai passé à retrouver de vrais valeurs.

    Bien sûr, il y'a toujours la vaisselle à ranger ou le dîner à faire ^^ quand on se retrouve très souvent à la maison mais j'ai eu largement le temps de redécouvrir la vie réelle, celle qui est faite d'enrichissements qui ne se comptent pas en argent.

    Cette liberté que j'ai goûtée, humée, expérimentée pendant presque deux ans m'a transformé, elle à dissolu mes chaînes. 

    J'ai simplement retrouvé mon âme avec le temps et c'est pour ça que je vous l'affirme...

     

    VOUS ETES LIBRES !

     

    Elle est morte cette tradition qui dit que si tu ne fais pas partie de la société tu n'es rien! Cette vieille croyance que l'épanouissement personnel se fait obligatoirement dans le travail est révolue!

    Je te le dis, oui, tu peux être heureux en nettoyant des toilettes publiques si pour toi les vraies valeurs n'ont rien à voir avec le statut social ou la paye! Oui le "vrai véritable" est que personne ne prend son magot (et ses factures ^^) dans sa tombe!

    Oui l'ultime accomplissement de l'âme c'est "Aime ton prochain comme toi-même" et cette valeur là n'a rien de spécifiquement catholique ou de chrétienne, elle est universelle !

     

    Laissons maintenant le "vrai bon job qu'on imagine pas trop pénible, qui t'épanouis le porte-monnaie et te permets de t'offrir du bon temps grâce au temps des autres" à ceux qui font construire les pyramides et fichons une fois pour toute les lois du profit et de la consommation à la poubelle!!!

    Pourquoi donc te ferais-tu un sang d'encre quand tu sais que les 9 heures passées à travailler finiront en grandes parties dans les caisses de l'Etat et des assurances? et pour quelles raisons je me ferais des colliques pour des valeurs qui ne sont pas (plus) les miennes? 

     

     

    Laissons-donc s'enrichir sur notre dos ceux qui n'ont pas encore remarqué que "dans un humain" il faut un corps mais surtout UN ESPRIT, et que cette âme s'en fiche pas mal d'être millionnaire.

    A chacun donc de voir ou il met ses priorités...

     

     

    Je vous le répète donc, VOUS ETES LIBRES ! mais seulement si vous voulez bien briser les chaînes que vous avez acceptez de sceller à vos chevilles...


     

    Le blog de MOUTON_DESOBEISSANT

     

    Trouvé chez Anne

     

     


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  • http://revolution-lente.coerrance.org/images/Satprem/satprem%20-%201981%20-%20320.jpg

     

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    Ou ici (en partie)

     

     

     

     

     

    La Chanson  des Âges perdus

     

    Il y a quelque chose qui manque

    qui manque tant

    dans nos vies

     

    Une fenêtre qui s'ouvrirait

    un infini qui sourirait

    un coin du coeur

    qui s'enfoncerait

    dans Ta grande vague

    qui coulerait là

    comme à jamais

     

    Il y a quelque chose qui manque

    qui manque tant

    dans nos vies

     

    Un quelque chose qui est pour toujours

    qui comble chaque heure

    comme une musique connue

    comme une douceur perdue

    et retrouvée dans cet instant

     

    Il y a quelque chose qui crie

    qui crie tant

    dans nos vies

     

    Quelque chose qui n'est pas là

    et qui troue nos vies

    d'une peine sans nom

    d'un appel si vieux

    qu'il est comme toutes les peines

    du monde

    d'un appel si chaud

    qu'il est comme un amour

    sans fond

    pour toutes ces vies

    ces vies perdues

     

    Ah ! trouvera-t-on

    ce quelque chose qui manque

    qui manque tant

    dans une petite seconde

    comme dans les âges perdus ?

     

     

     


     



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  •   http://www.ericnoguchi.com/zen-spa/images/candles.jpg

     

     

    Nos cœurs et nos corps nous envoient souvent des messages auxquels nous ne portons aucune attention. Il est tout de même ironique que nous ayons tous très conscience de la souffrance  -qui peut l’ignorer ?-  sans pour autant entendre ce qu’elle a à nous dire.  Certes, il se peut que nous devions être forts devant une grande souffrance, une grande peine d’amour, une grande déception ou une grande perte pour que le reste de notre vie puisse fleurir. Mais il se peut aussi que notre souffrance nous indique exactement quoi changer dans notre existence.


    Si nous considérons notre corps comme un lien entre la vie intérieure et la vie extérieure, la souffrance nous indique souvent l’endroit où le pont subit la pression la plus forte. La souffrance nous signale où nous pourrions céder et où notre vie a besoin de se renforcer et de se reposer pour que nous puissions continuer à harmoniser vie intérieure et vie extérieure.


     Notre quête dans le monde (amour, pouvoir, richesses, sensations fortes, célébrité,…) est le reflet de ce que nous devons travailler intérieurement. Chercher à l’extérieur sert à nous distraire de la requête de l’âme  à nous aventurer véritablement à l’intérieur, en soi.



    Mark Nepo

     

     

     




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    Les plaisirs engendrent l'attente.

    Les plaisirs changent.

    Les plaisirs deviennent douleurs.

    Le doute crée la question.

    La réponse dit qu'il ne faut rien attendre.

    L'attente qui Révèle.

     

    Paix.

     

      5/4/10

     

     

     


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    Yoga Sutra II, 46: "Sthira sukham asanam." - "L'asana est la parfaite fermeté du corps, la stabilité de l'intelligence et la bienveillance de l'esprit."

     

    Patanjali, dans ce sutra, utilise les adjectifs « sthira » et « sukha ».

     

    Sthira veut dire stable et attentif – pour engendrer le sthira la posture doit être puissante et active.

     

    Sukha veut dire confortable et léger – pour le sukha la posture doit rester douce et pleine de joie.

     

    Ces deux extrêmes se complètent – le Yin et le Yang essentiels dans la vie – sont étroitement liés, pour permettre au corps et à l’esprit de trouver de l’harmonie, la sagesse de l’équilibre.

     

    En trouvant cet équilibre nous trouvons notre harmonie intérieure dans notre pratique et dans notre vie.

     

    Trouver l’équilibre dans notre pratique passera par Sthira comme forme de connexion avec la terre et sukha comme investigation subtile de l’expansion, de l’ouverture.

    De cette façon nous pouvons apprendre de la terre vers le ciel.

     

    La création de stabilité (sthira) demande une connexion à la terre sous nos pieds, notre support. Si notre support représente nos dix orteils, un pied, une ou deux mains, nous devons cultiver l’énergie à travers cette base. Rester attentifs à nos racines demande une certaine forme d’attention. Commençons cette attention à la fondation de notre posture.

    Tadasana est un très bon exemple – la base pour toute autre posture debout.

     

    Les principes de Tadasana peuvent être facilement adaptés à toutes les postures. Dans toute posture debout, la stabilité vient d’un enracinement de tous les côtés de nos pieds comme les supports d’une tente. Si nos pieds ont tendance d’aller vers l’extérieur poussons l’intérieur de nos pieds dans le sol et si les pieds tombent vers l’intérieur encrons-les vers l’extérieur. Une fois que les pieds sont enracinés dans le sol par une légère extension des jambes, les genoux montent vers les cuisses, le haut et l’intérieur des cuisses vers l’arrière et vers l’intérieur, les extérieurs de nos genoux vers l’arrière. Ceci nous permet de mieux répartir le poids du corps.

     

    Ensuite nous ajustons le sacrum, permettant au poids des hanches d’être au-dessus des genoux et des chevilles. Ceci nous permet d’amener le poids légèrement vers l’arrière pour que le sacrum puisse descendre vers le bas. Cet alignement du bas corps nous permet d’avoir le sacrum dirigé vers l’avant de vos talons. La colonne, dans la partie lombaire, doit permettre au bas du dos d’aller très légèrement vers l’arrière.

     

    Nous devons ensuite allonger le côté de la taille, levant le haut du sternum et relâchant les épaules vers le bas du dos, les alignant avec les hanches et les chevilles.

    La tête se pose à l’aplomb des épaules, alignant le menton sur la même ligne que le front.

    Enfin on détend la mâchoire permettant à la langue de flotter librement dans la bouche et aux yeux de s’adoucir.

     

    Une fois que nous avons acquis cette stabilité et la fondation de la posture, les qualités de l’attention et du confort deviennent accessibles. Nous pouvons alors amener nos mains jointes en Namaste – prière – devant le cœur.

     

    Vivons cette base comme les racines de notre pratique, la fondation d’où nous pouvons ensuite explorer, créer, respirer…. Ouvrir.

    De là nous pouvons naviguer vers un espace d’aise et de confort – de sukha.

    Tout comme la stabilité demande de l’attention, le confort doit rester léger, sans lourdeur et vigilant.

     

    En cultivant ces qualités nous pouvons encourager l’équilibre et l’harmonie et non pas des règles rigides d’alignement.

     

    Ceci aide à développer un respect naturel envers le corps et envers soi-même tout en nous encourageant à vivre 100% notre corps. Nous pouvons ainsi nous éloigner de l’idée de la posture et respirer la vie de l’intérieur vers l’extérieur.

    Avec sthira et sukha comme les points d’une boussole, nous pouvons organiser notre pratique et explorer nos limites afin de les libérer.

     

    Le résultat ? Peu importe notre état physique ou mental au départ, la pratique devient une célébration et un moment de pur bien-être !

    A un niveau plus profond, la pratique nous apprend aussi à agir dans notre vie en utilisant les mêmes outils dans notre quotidien.

     

    Sthira et sukha deviennent alors non seulement les outils pour notre pratique d’asanas mais notre façon de comprendre la vie…

     

     

    Source

     

     


     


     


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