•  http://www.hdwallpapers.in/walls/sun_rose-wide.jpg


    Prière de connexion au soleil

    "Comme toi Soleil, tu te lèves sur le monde,

    que le soleil de la liberté, de l'immortalité,
    de l'éternité et de la vérité se lève dans mon esprit.
     
    "Comme toi Soleil, tu te lèves sur le monde,
    que le soleil de l'amour et de l'immensité
    se lève dans mon âme.
     
    "Comme toi Soleil, tu te lèves sur le monde,
    que le soleil de l'intelligence, de la lumière et de la sagesse
    se lève dans mon intellect.
     
    "Comme toi Soleil, tu te lèves sur le monde,
    que le soleil de la joie, du bonheur et de la pureté
    se lève dans mon cœur.
     
    "Comme toi Soleil lumineux et rayonnant, tu te lèves sur le monde,
    que le soleil de la force, de la puissance, de l'énergie, du dynamisme et de l'activité
    se lève dans ma volonté.
     
    "Et comme toi Soleil lumineux, rayonnant et vivant, tu te lèves sur le monde,
    que le soleil de la santé, de la vitalité et de la vigueur
    se lève dans mon corps tout entier.
     
    "Amen, Ainsi soit-il, pour le Royaume de Dieu et sa Justice.

    "Amen, ainsi soit-il, pour la Gloire de Dieu.

      Omraam Mickael Aïvanov

     

      


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  • Sans lui nous ne pourrions être là.

    Cette illustration de la Salutation au Soleil vient de la newsletter de "Yoga chez moi".

    Si vous vous abonnez au site (c'est gratuit), vous pourrez avoir chaque jeudi une petite séance de yoga illustrée par Anne Gaëlle

    Rendons grâce au soleil


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  •  

    Il existe un endroit où les hommes parlent comme les oiseaux.
    Sur l'île de La Gomera, on entend "el silbo" en écho.

    Entre deux montagnes amarrées aux nuages,
    Un "guache" siffle pour s'inviter à dîner.

     Au menu ? Un "mojo" piquant qui monte aux yeux.
    Et, à nouveau, un sifflement pour se dire adieu.

     A le voir crapahuter, le pied agile, les jambes arquées,
    On ne le distingue dans l'argile que par le son de son sifflet.

     La "lucha canaria" pour protéger son île,
    "El silbo" pour braver la "Guardia civil".

     C'est une île au paradis où les humains sifflent aussi.
    Le plus beau chant du plus bel oiseau, c'est le silbo gomero.
    C'est le silbo gomero.

     La "guagua" escalade les jardins en escalier.
    Sous le volcan d'la ballade, "el silbo" perce la fumée.

     Et me voilà, petit géant, prêt à siffler dans le vent,
    Les deux-trois mots que j'ai gardés s'envolent vers toi.
    Gomero ! Bonifacio !

     Le plus beau chant du plus bel oiseau, c'est le "silbo gomero".

     

    Site de Féloche link

    Page facebook de Féloche link

     

    http://next.liberation.fr/musique/2013/09/08/le-second-souffle-du-silbo_930280

     


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  • http://bullies.b.u.pic.centerblog.net/03fd3522.gif

     

    Pour vivre, pour affronter toutes les conditions de l’existence, il est important de renforcer son caractère. Sinon, que peut-on faire avec des gens qui sont incapables de supporter la moindre difficulté, le moindre obstacle ? Cette sensibilité névralgique, qui est nourrie par leur nature inférieure, rend l’existence très difficile ; c’est pourquoi beaucoup en ont tiré la conclusion que, pour être heureux, il vaut mieux rester insensible.

     

    En réalité, il faut faire la différence entre la véritable sensibilité et cette sensibilité maladive qu’il serait plus exact d’appeler susceptibilité ou sensiblerie.

     

    La véritable sensibilité est une faculté qui nous rend capables de nous élever très haut, afin d’avoir accès à la beauté de régions de plus en plus lumineuses et subtiles.

     

    La sensiblerie, elle, est une manifestation de la nature inférieure des êtres qui, se prenant pour le centre du monde, trouvent qu’on ne leur manifeste jamais assez de considération ; à la moindre occasion ils se sentent frustrés, blessés et deviennent agressifs.

     

    Celui qui a bien saisi cette distinction comprend qu’il a tout un travail à faire sur sa nature inférieure pour la maîtriser : c’est la seule façon de permettre à sa véritable sensibilité de s’épanouir.

     


    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     

     


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  • MANTRA de PAIX et d’AMOUR pour tous les Êtres

    C'était l'an dernier,

    au Village des Pruniers

    Joie joie joie que de retrouver

    des photos et des audios

     

    MANTRA de PAIX et d’AMOUR pour tous les Êtres

     

    MANTRA de PAIX et d’AMOUR pour tous les Êtres

    Si vous voulez bien chanter,

    Télécharger « Puisse l'amour.WMA »

    PUISSE L’AMOUR QUI NOUS UNIT ICI S’ÉTENDRE A L’INFINI
    TOUCHER LE CŒUR DE TOUS LES ÊTRES DE LA TERRE

    LOKAHA SAMASTHA SOUKHINO VAVANTOU
    PUISSENT TOUS LES ÊTRES, DANS TOUS LES MONDES ÊTRE HEUREUX

     

    MANTRA de PAIX et d’AMOUR pour tous les Êtres

     

    MANTRA de PAIX et d’AMOUR pour tous les Êtres

     


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  • http://images.fineartamerica.com/images-medium/young-love-series-the-walk-home-barbara-hayes.jpg

     Nous sommes dispersés, éloignés, chacun sur son petit continent, avec des petits soucis, des grands soucis, et la vie comme tous les jours. Pourtant, ce n’est plus comme tous les jours, une merveilleuse histoire cherche à se glisser à travers les fils de notre trame — si nous voulons bien. Que pouvons-nous faire pour aider cette histoire, pour hâter son Moment — il faudrait tellement que cela aille plus vite. La terre est douloureuse, nos petits continents sont si gris et périmés. Ici et là, nous sommes quelques-uns comme des petits points de soif ardente, et que faire pour aider cette espèce nouvelle à naître parmi nous ? 

    Certainement la plus grande aide est d’appeler cette « autre chose », ce demain de la terre, dans son cœur, dans ses actes, ses pensées, avec chaque pas, chaque geste, sourdement, obstinément comme on cogne à une porte, comme on appelle l’oxygène et l’espace et le sourire dans cette grisaille suffocante. Appeler, c’est faire invisiblement pousser les ailes de l’autre espèce, c’est faire un trou dans la carapace de l’habitude. S’il n’y avait pas une nécessité, jamais les espèces ne seraient sorties de leur trou gluant. Nous sommes dans le trou gluant du Mental. Appeler — on ne sait quoi —, c’est déjà tâtonner dans l’avenir, c’est déjà toucher une plage ensoleillée pour laquelle nous n’avons pas encore d’yeux. Mais peut-être faut-il beaucoup d’yeux pour qu’elle soit : une espèce nouvelle, ça se fait ensemble. Il y a une contagion dorée, comme un jour beaucoup d’oiseaux prennent leur vol pour le pays ensoleillé. Si nous étions beaucoup, cela hâterait peut-être l’heure du pays de Mère.

     Cet appel dedans, vous pouvez le faire partager, l’éveiller autour. Travailler à la grande Contagion supramentale. Nous avons besoin d’être ensemble, mais non pas comme des adeptes d’une nouvelle Église, bien tassés autour de quelques idées commodes. L’« idée », elle n’est pas commode du tout. C’est plutôt comme si une infinité de recherches dans toutes les directions devaient s’allumer autour d’un Sens central, d’une Poussée centrale, d’une Force qui propulse excentriquement chaque petit point de lumière en lui faisant traverser des couches de conscience différentes, des zones d’action humaine différentes. Au passage d’une couche, chacun allume les points correspondants qui à leur tour vont défricher d’autres zones. Et c’est tout un ensemble de travail terrestre qui s’opère. Il faut que beaucoup de types de vibration arrivent au point de mutation : un peintre ou un chirurgien n’ont pas la même manière d’« opérer », et pourtant le bout de leur concentration peut déboucher sur un autre univers, qui est le même. Il faut déboucher sur un autre univers et comme une multitude de points de sortie ou de perforation de la vieille bulle qui nous emprisonne. C’est le phénomène qui est en train de se produire innombrablement. Il faut comprendre le Sens du phénomène, qui n’est pas de faire de la super-chirurgie ou de super-tableaux, mais de déboucher sur un autre pouvoir d’être et une autre perception. Comprendre, c’est hâter le phénomène, c’est participer à la grande Contagion du Nouveau Monde. L’Expérience de Mère, c’est la force de propulsion.

     Alors nous nous retrouverons tous, non pas empaquetés dans une petite Église mais éclatés, et indiciblement réunis dans une autre dimension matérielle, comme autant de papillons sur la prairie « nouvelle ».

     Pratiquement, vous pouvez aider au Travail en répandant l’Œuvre, le Sens, la Dynamique de tout cela. Il faut que d’autres touchent. Il faut que d’autres sentent, respirent un peu cet air léger qui tente de se faufiler à travers les mailles de la vieille trame. Il faut goûter la chose. Se laisser aller un peu à Ça... Vous qui aimez Mère, qui avez senti ce Sourire, ce grand Possible battre, donnez-vous un peu. Sortez de votre coquille. Allez portez cet imperceptible frémissement du Monde Nouveau.

    Les livres de Mère, l’Agenda ne sont pas vraiment des « livres » ni même une « explication », une philosophie nouvelle : c’est un Pouvoir d’action, c’est une Force en mouvement. C’est un Levier. Si vous les mettez dans les mains d’un ami, dans la vitrine d’un libraire de votre quartier ou de votre ville, dans un coin de journal ou de revue, sur un bout d’affiche improvisée, ils agiront au-delà de toute compréhension, aux niveaux les plus inattendus, comme un minerai radio-actif. C’est peut-être bien le Minerai du Nouveau Monde. Alors empoignez-vous, faites le travail. Et un grain de cœur a des résultats inattendus. En comblant d’autres, vous serez comblés. Et finalement nous y serons tous, ensemble, comblés, dans ce jardin de l’avenir qui est le Sens même de ces millions d’années d’espèce mentale inadéquate.

     Si chacun de vous touche dix personnes, il aura fait un travail inestimable.

     Si nous regardions un peu les « petits miracles » de Mère se multiplier autour de nous avec ce sourire si léger... se multiplier tant que le monde fondra dans un sourire et l’autre Loi nous prendra par surprise comme le petit axolotl désembourbé.

    Que notre sourire embrasse toujours plus de sourires. Que la terre soit légère.

     Ensemble           

     

    Satprem


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  • POURQUOI MANGER DES FRUITS ET DES LÉGUMES CRUS

     

    PROBLÈMES DE PEAU - FATIGUE - DÉPRESSION - COURBATURE - DIABÈTE - CHOLESTÉROL - MIGRAINE - TORTICOLIS - CRAMPES MUSCULAIRES et j'en passe (la liste et trop longue) proviennent a l'origine d'un même et seul endroit : Le COLON.

    Mais qu'est-ce que le colon ?

    Le colon est un lieu de passage ou les bactéries digèrent une partie de la cellulose et synthétisent les vitamines. Jusque la tout va bien. MAIS, lorsque le colon est encombre, il ne peut plus absorber les vitamines, ni secréter les déchets humoraux du sang et de la lymphe. Par conséquent, les matières fécales, qui restent collées sur la paroi intestinale depuis des années, ralentissent le transit digestif. Eh oui. Du coup la constipation s'installe, favorise le développement d'une flore intestinale pathogène, source de fermentation et de toxines. La stase de ces matières fécales provoquant un dessèchement excessif de ces matières qui stagnent dans les parois du colon et les irritent.
    C'est alors que les parois s'enflamment, deviennent perméables aux toxines, qui traversent alors la barrière intestinale pour aller dans le sang.

    Tout cela a deux conséquences sur votre santé :

    1 - L'intoxication de l'organisme :
    L'encombrement de la lymphe par un taux élevé de toxines, est susceptible d'entrainer a plus ou moins longue échéance, l'affaiblissement des défenses immunitaires et par répercussion des troubles des voies aériennes supérieures (angine, sinusite, rhinite, otite etc.) ainsi que des problèmes de peau (acné, eczéma, psoriasis etc.)

    2 - Une perturbation de notre comportement :
    Les toxines intestinale, entrainées dans tout le corps par voie sanguine, se fixent de préférence dans les endroits de moindre résistance organique et intoxiquent progressivement les cellules ciblées et déstabilisent la régulation cérébrale.
    D’où des irrégularités d'humeur, de fatigue et troubles du système neurovégétatif (zombie).

     

    Article trouvé sur facebook

     

     

    http://vivrecru.org/conference-alerte-a-la-sante-28-fevrier-a-montreuil/#comments

     

     


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  • http://www.forme-sante-ideale.com/wp-content/uploads/2013/04/mourir-%C3%A0-soi-m%C3%AAme9.jpg

    La véritable acceptation n'est pas de nature psychologique. Elle n'est pas le fruit d'un effort, mais d'une complète adhésion avec les choses telles qu'elles sont, l'instant tel qu'il est. Elle est le couronnement d'une compréhension libératrice, qui néglige les tendances latentes de la personnalité, pour éveiller la vision à sa nature originelle, libre de la pensée et de la mémoire.

    Toute attente est liée au pouvoir de projection du mental, qui fait miroiter le bonheur dans un but projeté. Elle fait confondre le bonheur naturel d'être avec son reflet dans le mental, engendrant espoir, attente, et leur lot de désillusions potentielles. Lorsqu'une attente est déçue, il y a un moment de chute de pression, de "dé-pression", nécessaire à la réintégration des énergies projetées. Ce moment peut durer toute une vie, s'il devient une attitude habituelle d'un ego enfermé dans une victimisation chronique ou un apitoiement maladif. Le moi trouve ainsi sa nourriture dans des ressassements stériles et des ruminations obsédantes.

    Il est nécessaire d'arriver à une profonde lassitude de la souffrance, pour que les moyens de s'en libérer puissent se dévoiler. Tant que la compréhension fonctionne, l'état dépressif est préféré à celui de la saine détente, car il nourrit le moi et le sens de l'individualité séparée. Ce n'est qu'au terme d'une maturation parfois longue, que le moi est démasqué et l'imposture révélée.

    Le moi négligé s'efface alors, révélant la lumière du Soi qu'il ne faisait que masquer. Ce ne sont que les couches qui le recouvrent qu'il donne l'impression qu'il n'existe pas.

    Jean-Marc Mantel, " Dans la lumière du non manifesté"


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