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4ème règle de vie: Aparigraha
Aparigraha signifie amasser,thésauriser.
Ce principe est en fait l'autre facette de d'asteya. De même qu'il ne faut pas essayer de prendre ce dont on a vraiment besoin, de même on ne doit prendre ce qui n'est pas immédiatement nécessaire et qui n'est pas le fruit d'un travail. amasser des bien est un manque de confiance en la vie et risque de dégénérer très vite en avidité ou en obsession du gain .
Combien de personnes, même déjà très à l'aise financièrement, ne pensent qu'à gagner de l'argent, encore et davantage. Mais dans quel but?
Extrait de "Yoga, manuel pratique" de Jacques Choque
Tags : YamaNiyama
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Commentaires
cheminement spirituel et se sont détachées du matériel...
Perso, j'insiste à chaque fois que je porte un carton à Emmaüs,sur l'allégement physique et mental que j'en retire en plus du plaisir de la BA... en espérant que l'exemple l'aidera. Ma soeur quant à elle, l'a aidée à se débarrasser de toutes ses pelotes de laine dépareillées en lui faisant connaitre une merveilleuse association de tricoteuses pour les très grands prématurés pour qui on trouvent difficilement petits bonnets et autres vêtements à leur taille.
Quant à moi, grâce à un reportage d'Arte il y a quelques années sur les conditions de fabrication des jeans en Asie et des conséquences sur la santé des travailleurs et l'environnement des usines, j'ai pris conscience qu'il ne suffisait pas d'acheter d'occase pour sortir du délire consommation et qu'avoir 5 jeans même achetés à Emmaüs ou en vide-grenier c'était trop pour une seule paire de jambes puisque ça signifiait que d'autres ne pourraient les acheter et iraient consommer neuf par ma faute !!
On n'est pas au bout de nos efforts, heureusement ça laisse la joie de s'améliorer... alors bonne journée à tous, moi je vais allez faire un carton ou deux !!!! Pam .Je lève un 1/2 doigt!
Il faut passer une vie entière (et plus) pour ne plus lever le doigt.
Ce besoin incessant de matériel nous ruine et détruit le monde...
Bon lundi Ghanda!Bien souvent on s'identifie aux objets. Dès lors qu'on ne les a plus c'est comme une partie de nous qui disparaît en pensant (c'est inconscient) que cela nous fait perdre de notre valeur. Or, l'être dans sa profondeur ne change pas. Peut-être que tu pourrais expliquer cela à Tata.
Que celui qui ne sent pas ce manque d'unité lève le doigt !
c'est bien toute la problématique de notre civilisation !
chaleureusement
frédéric ♥
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Bonjour Pam!
J'ai du mal à me séparer de vieux livres dont je sais que je ne relirai pas...mais on ne sait jamais!
Côté vestimentaire, je porte la même chose pendant 15 ans...je vois ça sur les photos. C'est surtout la flemme de faire les magasins.
Bises