• vous avez dit "aquarelle" 2

     Chaque fois que vous vous assoirez devant une étendue d'eau et enverrez des messages d'amour et de gratitude, quelqu'un, quelque part au monde, se sentira envahi d'amour et de gratitude. Vous n'avez même pas besoin de vous déplacer. L'eau qui est juste devant vous est reliée à toute l'eau du monde. L'eau que vous êtes en train de regarder résonnera avec l'eau de partout, et votre message d'amour touchera l'âme de tous les gens sur Terre. Nous avons la possibilité de recouvrir le monde d'amour et de gratitude.

    Masaru Emoto 


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    Come, come, whoever you are. (Viens, viens, qui que tu sois).

    Wanderer, worshiper, lover of leaving. (Errant, adorateur, amoureux du départ (ou chercheur passionné)).

    It doesn't matter. (Ça n'a pas d'importance).

    Ours is not a caravan of despair.

    (La nôtre n'est pas une caravane de désespoir (elle est celle de la Vie, c'est une célébration)).

    Come, even if you have broken your vows a thousand times. (Viens, même si tu as brisé mille fois tes vœux).

    Come, yet again , come , come. (Viens, encore, viens, viens).

     

    "Notre caravane n'est pas celle du désespoir"

    Les temples, les églises, les mosquées et les ashrams sont pleins de gens malheureux. Ils ont transformé les temples en enfers, ils sont là parce qu'ils sont angoissés. Ils sont simplement là pour être consolés, réconfortés et de ce fait, ils recherchent quiconque peut leur enseigner une croyance bon marché pour rapiécer leur vie, pour cacher leurs blessures, pour dissimuler leur misère. Ils sont là pour chercher quelques fausses satisfactions.

    Notre caravane n'est pas celle du désespoir, c'est le temple de la joie, du chant, de la danse, de la musique, de la créativité, de l'amour et de la vie. Peu importe si vous avez violé toutes les règles, règles de conduite, de moralité. En fait quiconque a du cran doit nécessairement violer ces règles.

    "Venez, même si vous avez mille fois rompus vos vœux"

    Les gens intelligents doivent nécessairement rompre souvent leurs vœux, car la vie est en perpétuel changement, les situations évoluent et l'engagement est souvent pris sous la contrainte ; peut-être la crainte de l'enfer ou le désir du paradis, la respectabilité dans la société... cela ne vient pas du plus profond de leur cœur. Lorsque quelque chose vient de son propre être intérieur, il n'est jamais rompu. Mais alors il ne s'agit jamais d'un vœu, c'est un simple phénomène comme la respiration.

    "Venez, venez encore !"

    Tout le monde est le bienvenu, sans condition, aucune exigence n'est requise.

    Le temps est venu d'une grande révolte contre toutes les religions établies. Être religieux est nécessaire dans le monde mais pas du tout les religions, simplement des gens purement religieux, des gens qui ont un grand respect pour eux-mêmes.

    Source

    Am           Fmaj7
    
    Come, come, whoever you are
    
      G         G6         C       Em7
    
    wanderer, worshiper, lover of leaving
    
     Am           Fmaj7
    
    come, come whoever you are
    
     G    G6        C        Em7
    
    this isn’t a caravan of despair
    
    Dm                               E7
    
    And it doesn't matter if you’ve broken your vows
    
    C                 D7           Fmaj7
    
    a thousand time before and yet again
    
                G               C
    
    come again come, and yet again come.
    
    
    
    [Chorus]
    
    G            F    
    
    come again come 
    
    G            F    
    
    come again come 
    
    G            F    
    
    come again come 
    
    G            F    C
    
    come again come

    Source



    Come come come (Poème de Rumi en chanson)Come come come (Poème de Rumi en chanson)

        

     


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    Enfance en danger urgence

    Au secours de nos enfants de l'Humanité

     

     L'imposture des droits sexuels

    Ariane Bilheran est une psychologue et écrivain française, née le 30 décembre 1978 en Île-de-France, à Saint-Denis, spécialiste du harcèlement, de la manipulation et de la psychologie du pouvoir.

     

     

     

     


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    « Vous avez 29 ans, une épouse, deux enfants et un métier. Vous avez assez d’argent, vous pouvez vous offrir quelques jolies choses, et vous vivez dans une petite maison dans la ville.
    Mais soudain la situation politique dans votre pays change et quelques mois plus tard des soldats stationnent devant votre maison. Et devant les maisons de vos voisins.
    Ils disent que si vous ne vous battez pas pour eux, ils vont vous tirer dessus.
    Votre voisin refuse.
    Un tir. C'est tout.

    Vous surprenez un des soldats disant à votre femme d’allonger ses jambes.
    Sans savoir comment, vous échappez aux soldats et vous passez la nuit profondément perdu dans vos pensées.
    Soudain, vous entendez une explosion. Votre maison n’a dorénavant plus de living room.
    Vous courrez à l'extérieur et voyez que toute la rue est détruite.
    Plus rien ne tient debout.
    Vous faites rentrer votre famille dans la maison, et vous courrez jusqu’à la maison de vos parents.
    Elle n'est plus là. Et vos parents pas davantage.
    Vous regardez autour de vous et trouvez un bras avec l'anneau de votre mère à son doigt. Vous ne trouvez aucun autre signe de vos parents.
    ~~~~~
    « Mais les demandeurs d'asile ont tant de produits de luxe ! Des smartphones et des vêtements de marque ! »
    ~~~~~
    Vous oubliez immédiatement. Vous vous précipitez à la maison, et dites à votre femme d’habiller les enfants. Vous prenez un petit sac, parce qu’il sera impossible d’en prendre un plus grand pendant un long voyage, et dans celui-là vous emportez l'essentiel. Seulement deux vêtements pour chacun tiennent dans le sac.
    Que prendre ?
    Vous ne reverrez probablement jamais plus votre pays d'origine.
    Ni votre famille, ni vos voisins, ni vos collègues ...
    Mais comment rester en contact?
    Vous jetez vite votre smartphone et le chargeur dans le sac.
    Avec les quelques vêtements, un peu de pain et les peluches préférées de vos petites filles.
    ~~~~~
    « Ils peuvent facilement se permettre de partir. Ils ne sont pas pauvres ! »
    ~~~~~
    Parce que vous avez vu le danger s’approcher, vous avez rassemblé tout votre argent. Et vous avez réussi à économiser de l'argent en raison de votre emploi bien rémunéré.
    Les passeurs dans le quartier prennent 5.000 euros par personne.
    Vous avez 15.000 euros. Avec un peu de chance, vous serez tous en mesure de partir. Sinon, vous laisserez votre femme partir.
    Vous l'aimez et priez pour que les passeurs vous emmènent tous.
    Pour l’instant, vous êtes totalement démuni et n’avez rien d'autre. Juste votre famille et le sac.
    Le voyage jusqu’à la frontière prend deux semaines à pied.
    Vous avez faim ; au cours de la semaine passée vous avez très peu mangé. Vous êtes faible, de même que votre femme. Mais au moins, les enfants ont eu suffisamment.
    Elles n’ont cessé de pleurer tout au long de ces deux semaines.
    La moitié du temps vous avez transporté votre fille cadette. Elle est âgée seulement de 21 mois.
    Deux semaines plus tard vous arrivez à la mer.
    Au milieu de la nuit, vous êtes chargés sur un bateau avec d'autres réfugiés.
    Vous avez de la chance : toute votre famille peut voyager.
    Le navire est si plein qu'il menace de chavirer. Vous priez de ne pas vous noyer.
    Les gens autour de vous pleurent et crient.
    Quelques petits enfants sont morts de soif.
    Les passeurs les jettent par-dessus bord.
    Votre femme est assise, hébétée, dans un coin. Elle n'a rien eu à boire depuis 2 jours.
    Lorsque la côte est en vue, vous êtes chargés sur des petits bateaux.
    Votre femme et l'enfant la plus jeune sont sur l’un, vous et l’enfant plus âgée sur un autre.
    On vous avertit que vous devez garder le silence afin que personne ne sache que vous êtes là.
    Votre fille aînée comprend.
    Mais la plus jeune dans l'autre bateau ne comprend pas. Elle ne cesse de pleurer.
    Les autres réfugiés deviennent nerveux. Ils demandent à votre femme de calmer l'enfant.
    Elle n’y parvient pas.
    Un des hommes attrape votre fille, l’arrache des bras de votre femme et la jette par-dessus bord.
    Vous sautez derrière elle, mais vous ne pouvez pas la retrouver.
    Plus jamais.
    Trois mois plus tard, elle aurait eu 2 ans.
    ~~~~~

    « Est-ce que ce n’est pas suffisant pour vous? Est-ce que ce n’est assez bien, est-ce que tout ne leur est pas servi sur un plateau ? »
    ~~~~~
    Vous ne savez pas comment vous, votre femme et votre fille aînée parvenez à entrer dans le pays où vous arrivez.
    C’est comme si tout était recouvert de brume. Votre femme n'a pas dit un mot depuis que votre fille est morte.
    Votre fille aînée n'a pas lâché la peluche de sa sœur et elle est totalement apathique.
    Mais il faut continuer. Vous êtes sur le point d'arriver à l'hébergement d'urgence.
    Il est 10 heures du soir. Un homme dont vous ne comprenez pas la langue vous emmène dans une salle avec des lits de camp. Il y a 500 lits très proches les uns des autres.
    Dans la salle, c’est étouffant et bruyant.
    Vous essayez de prendre vos repères, de comprendre ce que les gens ici attendent de vous.
    Mais en réalité, vous pouvez à peine vous tenir debout. Vous préféreriez qu’ils vous aient tué.
    Au lieu de ça vous déballez vos maigres possessions :
    Les deux sortes de vêtements chacun et votre smartphone.
    Ensuite, vous passez votre première nuit dans un pays sûr.
    Le lendemain matin, on vous donne quelques vêtements. Parmi lesquels des vêtements « de marque». Et un jouet pour votre fille.
    On vous donne 140 euros. Pour tout le mois.
    ~~~~~
    « Ils sont en sécurité ici. Ils devraient être heureux! »
    ~~~~~
    Dehors, dans la cour, vêtu de nouveaux vêtements, vous tenez votre smartphone en l'air en espérant avoir une connexion.
    Vous voulez savoir si quelqu'un dans votre ville est encore en vie. Puis arrive un «citoyen concerné», il vient vers vous et vous injurie.
    Vous ne savez pas pourquoi. Vous ne comprenez pas. « Retournez dans votre pays ! »
    Vous comprenez quelque chose comme « smartphone » et « tout servi sur un plateau. »
    Quelqu'un traduit pour vous.
    ~~~~~
    Et maintenant, dites-moi comment vous vous sentez et ce que vous possédez ?
    La réponse aux deux questions est « Rien. » (Nothing)

    H. M.

    Source

     


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  • http://lonerwolf.com/wp-content/uploads/2014/07/Spiritual-Maturity-Test.jpg

    Nous parlons souvent de ce fait depuis l’avènement de l’Ère du Verseau, mais je m’aperçois que peu de gens sont conscients de ce qui les motive à prendre des décisions et passer à l’action. Et vous? Pouvez-vous répondre rapidement à cette question? 

    La croyance populaire qui motive le monde depuis des générations nous apprend que lorsque nous voulons avoir quelque chose, nous faisons ce que nous pouvons pour l'obtenir et ensuite nous nous sentons bien. Voici des exemples qui illustrent cette façon de penser :

    • Si seulement j’avais un partenaire, ma vie serait tellement plus facile et agréable et je serais beaucoup plus heureux.
    • Si j’avais de l’argent, je quitterais mon travail, je mettrais à exécution mon projet et je serais heureux et fier de moi.

    Faisant partie de l’ancienne époque, cette croyance est dépassée. Elle maintient dans l'attitude d'aller à contre-courant plutôt que de suivre le courant de l’ère du Verseau.

    Regardons ensemble quelques comportements et attitudes des gens qui sont motivés ou dirigés par l'AVOIR, ce qui inclut la peur de NE PAS AVOIR :

    • le prix décide s’ils achètent quelque chose (produit, service, vacances, etc.);
    • l’apparence passe avant leur confort ou leur besoin;
    • avoir beaucoup de biens et d’argent constitue leur plus grand critère de réussite;
    • d'autres s’empêchent d’avoir des biens ou un surplus d’argent en croyant que c'est plus spirituel. Ils ont peur de passer pour des personnes trop matérialistes.

    Voici maintenant des exemples de ceux qui sont plus motivés par le FAIRE ou NE PAS FAIRE : 

    • il faut que tout soit accompli avant de s’autoriser un repos ou une pause;
    • ils doivent toujours être occupés, ils se sentiraient coupables de ne rien faire;
    • ils ont de la difficulté à dire NON lorsqu’on leur demande de faire quelque chose;
    • certains s’empêchent de faire tout ce qu’ils pourraient par peur qu’on profite d’eux, qu’on leur en demande toujours plus;
    • ils décident qu’ils ne peuvent pas faire ce qui répondrait à leur besoin, avant même d’avoir essayé. Ils abdiquent rapidement en ce qui concerne leurs besoins.

    Voici maintenant comment agit une personne qui est motivée par l'ÊTRE et non par le FAIRE et l'AVOIR :

    • Aussitôt qu'elle a un désir quelconque, elle s’assure qu'il répond à un besoin de son ÊTRE. Pour ce faire, elle se demande, le fait d’obtenir ce que je désire m’aiderait à ÊTRE et me SENTIR comment?

    Ensuite, cette personne s'occupe surtout de combler son besoin, par exemple être heureuse et fière d'elle, en trouvant différents moyens pour y arriver. Tout en gardant son désir initial à l'esprit, même si celui ne se réalise pas, elle trouve d'autres moyens pour être et se sentir comme elle veut et il lui est beaucoup plus facile de prendre les bonnes décisions.

    À l'opposé, les gens motivés surtout par l'avoir et le faire sont convaincus qu'il faut absolument qu'ils aient ou fassent quelque chose pour être ce qu'ils veulent. Par exemple, celui qui croit avoir besoin d'argent pour être ce qu'il veut, oublie que ce désir ne représente qu'un moyen pour y arriver. 

    Prenons l’exemple d’un couple qui veut acheter une maison en banlieue. Avant même de faire une action ou de se demander s’ils ont assez d’argent, ils doivent d'abord vérifier ce qu'une maison les aiderait à ÊTRE et comment ils pourraient se SENTIR.

    Si leur motivation est d’épater leurs parents ou de faire la même chose que leurs frères et sœurs, il y a de fortes chances que cela ne les aide pas à se sentir mieux. Il se peut aussi qu'ils aient l'intention d'acheter une maison comme placement pour leurs vieux jours, ce qui implique la peur de manquer d’argent dans le futur. Aussitôt que vous êtes motivés par l'avoir ou le faire, vous risquez d’avoir des regrets ou d'éventuels problèmes, car vous n’avez pas vérifié à quel besoin de votre ÊTRE correspond votre désir.

    Je vous rappelle qu’un désir est toujours lié au « avoir et faire » et un besoin à l'« être ». Si vous avez de la difficulté à répondre à la question Le fait d’avoir cette maison m’aiderait à être quoi? je vous suggère de vérifier comment vous vous sentez au plus profond de vous à l'idée que votre désir soit déjà réalisé.

    De plus, sachez que votre besoin ne doit dépendre de personne d'autre que vous. Par exemple « être désiré, admiré, reconnu, etc. » sont des besoins qui dépendent d'une autre personne et ne satisfont pas votre être.

    Devenir conscient d'un vrai besoin a le grand avantage de vous faire changer d'énergie. Revenons à l'exemple du couple. Une maison en banlieue peut aider monsieur à être plus créatif, car il pourra avoir un atelier de bricolage et s’amusera à jardiner. Madame pense que cette maison l’aidera à être plus calme et patiente avec les enfants à son retour du travail. Les deux peuvent dire qu’ils seront en meilleure forme physique, car ils iront marcher dans la nature, ce qu’ils ne font pas dans la grande ville où ils demeurent.

    Aussitôt que nous reconnaissons nos vrais besoins, nous trouvons facilement et rapidement l’énergie pour avoir et faire ce qui est nécessaire à la manifestation de notre désir.

    Pour ma part, depuis plusieurs années, je mets en pratique cette notion concernant l'ÊTRE et j’ai remarqué qu'un autre grand avantage est que cela me permet d’avoir des désirs sans me sentir coupable. Juste en sentant le BIEN-ÊTRE qu'un désir peut m'apporter, je sais directement qu'il répond à un besoin important pour moi. Le fait de vérifier quel est mon besoin m’a appris à ne plus être trop spontanée, une attitude qui m’avait causé plusieurs gros ennuis dans le passé.

    Cela ne veut pas dire que vous devez réfléchir longuement. Trouver votre besoin peut se faire rapidement. Plus vous devenez conscient de ce que vous sentez et ressentez, plus vite vous le trouverez. En ce qui me concerne, je ressens très vite un WOW en moi qui m’aide tout de suite à vérifier quel besoin de mon ÊTRE il représente. Vous savez que tout devient plus facile et rapide avec de la pratique.

    Quand vos besoins vous motivent, vous êtes dans la lumière, vous savez que vous écoutez votre cœur et non vos peurs ou votre ego qui apportent la noirceur. Cette lumière vous guide à trouver de l’aide, à avoir de bonnes idées et à faire les actions qui vous amènent plus directement vers votre but.

    Avec amour, 

    Lise Bourbeau 


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