• Âme, où es-tu?

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    - La société intervient  beaucoup aujourd'hui dans l'éducation des enfants et dans la formation de leur esprit, c'est à dire de leurs cadres de pensée, par l'école, le cinéma, la télévision, voire la "culture publicitaire". Les parents ont alors souvent un sentiment de frustration, et peut-être de démission. ils se sentent dépossédés de leurs enfants.

     

    - Vous touchez à beaucoup de problèmes à la fois. L'école de notre temps est la destruction de l'esprit humain. Très tôt, le problème de l'enfant est d'avoir de bonnes notes. C'est déjà intellectuel. Dès l'enfance est inculqué dans l'esprit humain le devoir d'un savoir-faire. Seul le rationnel compte et rien d'autre. Plus tard, l'homme se retrouvera comme un fonctionnaire dans un ordre préétabli et organisé rationnellement.

    A l'université c'est la même chose. L'âme en est exclue. Le futur médecin, par exemple, y entend près de dix ans des conférences sur le corps, mais pas une seule sur l'être humain. Le résultat est que la médecine ne voit que le corps, mais pas l'homme. Aujourd'hui encore, il existe des médecins qui ne croient pas aux maladies psychosomatiques. Ils fonctionnent ainsi dans la société.

     

    "L'esprit guide" Entretiens avec Karlfried Dürckheim

     

     

    « Ici et maintenantCe temps qui fuit »

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  • Commentaires

    6
    graux danielle
    Mercredi 13 Novembre 2013 à 13:50
    graux  danielle

    et  oui  c  est  comme  ca  en  occident....

    c est  parce  qu il  pense  qu il  ne  sont  que  le  corps, alors  il  ne  soigne   que  le  corps,et  si  on  peut  appeler  ca  soigner pas  vraiment,il  endorme  avec  toutes  leurs  saloperies    les  effets,  il  ne  recherche  absolument  pas  la  cause.

    en  inde  il  soigne  ,corps  ame  et  esprit, nous  sommes  cettte  trilogie  et  en  plus  ces  trois  vont  ensemble,donc  soigné  l  un  sans  l autre  est  complètement  stupide

    tu  voit  perso,si  on  commencait  d  abord  a  soigné  son  ame  cela  irait  bien  mieux  dans  tous  les  autres  domaines  automatiquement.

    dans  aucune  école  on  apprend  a  faire  grandir  notre  etre,

    cela  doit  vouloir  dire  que  cela  nous incombe  personellement.

    on  a  beaucoup  de  chance  yog.

    BISES.

    5
    graux danielle
    Mercredi 13 Novembre 2013 à 13:50
    graux  danielle

    encore  un  petit  mot,

    les  maladies  psychosomatiques  j y  adhère  a 100  pour 100.

    nous  avons  la  possibilitée  de  nous  détruire  tous  seul  comme  des  grands,mais  nous  avons  aussi  celle  de   nous  guérir.

    j ai  un  livres  formidable  il  s appelle  les  maladies  et  leurs  émotions  du  docteur gérard  charpentier.

    c est  vrai  aussi  qu  il  faut  une  immense  ouverture  d esprit  pour  reconnaitre   que  l on  est  responsable  de  notre  santé.

    4
    graux danielle
    Mercredi 13 Novembre 2013 à 13:50
    graux  danielle

    il  ne  faut  pas  avoir  peur,c est  dans  noos  il  dit  lorsque  le  temps  de  conscience  d un  individu  ets  arrivé  rien  ni  personne  ne  peut  l empecher.

    surtout  pas  un  pouvoir  sans  vrai  pouvoir.

    le  vrai  pouvoir  est  l univers  contre  lequel rien  ni  personnes  n a  d influence

    INCH 'ALLAH.

    merveilleux  dimanche  a  tousssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss.

    3
    Samedi 17 Juillet 2010 à 18:21
    Yog' La Vie

    Je prends souvent ce livre de Dürckheim et ouvre une page au hasard. Ce sont des petits articles.

     

    Je vois l'école et les diplômes comme un moyen et non comme une fin. Il ne faut pas que l'éducation, l'ouverture, viennent uniquement de l'école sans quoi c'est le même formatage pour tous et l'on sait bien que les programmes sont dirigés. Malheureusement peu se rendent comptent et l'on prend alors pour modèle les USA. C'est la fabrique de dépressifs. Comme tu dis, c'est horrible.

     

     

    2
    Samedi 17 Juillet 2010 à 17:44
    Edmée

    C'est si vrai! Ca fait peur...

     

    Ici aux USA les gens sont détruits par la compétition, c'est effrayant. Il faut être le meilleur, ou le plus fort, ou la plus belle, la/le plus populaire. Ne pas être numéro un est indigne. Les parents poussent les enfants, qui ne sont pas vus comme des être libres issus de leur rencontre mais bien une prolongation d'eux-mêmes, un moyen d'accéder à ce qui leur a échappé: statut social, argent, célébrité...

     

    Une femme est un jour venue dans l'imprimerie que nous avions, me demandant de faire une contribution pour sa fille de 4 ans: elle voulait la présenter à un concours de beauté pour enfants! Et demandait la charité pour ça, en disant que la petite aurait le coeur brisé si elle ne réunissait pas la somme voulue. J'entendais se briser le sien sous mon regard plutôt froid, car j'étais horrifiée...

    1
    Samedi 17 Juillet 2010 à 10:01
    Djemaa Pascal

    Bel été placé sous le signe de la littérature et du bien-être. Pascal, journaliste et auteur.

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