• Faut-il avoir peur du soleil?

    http://www.vegansgoraw.com/wp-content/uploads/2012/10/sungazing.jpg

     

     

    Dans notre société, la peur du soleil est quelque chose qui tourne parfois à l'obsession. Même si des précautions sont en effet à prendre quand le niveau d'UV est supérieur à 3, à travers cette peur, nous mettons le voile sur ce que celui-ci peut nous apporter en fuyant ces rayons comme la peste.

    Le Docteur Damien Downing dans son livre "soleil vital" nous expose tous les bienfaits du soleil sur la santé. Par exemple, celui-ci permet d'éviter le rachitisme que l'on retrouve aujourd'hui dans nos villes. Cette maladie se manifeste par des troubles de l'ossification, une déformation des jambes etc. Des études ont montré que plus les personnes se couvraient le corps, plus elles avaient des carences en vitamine D (la vitamine du soleil responsable entre autre de la bonne assimilation du calcium dans notre corps).
    En outre, "une nouvelle évidence montre que la supplantation par des aliments n'est pas la méthode idéale pour obtenir sa dose nécessaire de vitamine D; le soleil est la meilleure voie". Pour ceux qui sont intéressés par cet aspect un peu plus médical, je vous invite à lire ce livre fort intéressant.
    L’usage quotidien des lunettes de soleil est inapproprié à notre nature. Les lunettes n’existent que depuis les années 40. Elles étaient utilisées autrefois par les pilotes d’aviation à juste titre. Mais des enjeux commerciaux en ont fait un outil « indispensable ».
    Celles-ci ne devraient être utilisées que pour conduire notre véhicule. Au fil du temps, lorsque les yeux se sont habitués au soleil au cours de l’été, ils ne craignent plus la lumière forte du soleil.
    Le corps s’adapte automatiquement comme lors de la progression du temps de pratique de l’observation solaire au cours du sungazing.
    En effet, les lunettes de soleil empêchent le soleil de nous donner sa lumière et entraîne un déficit en sérotonine (dû à l’absence de sa lumière) qui peut même entraîner certaines complications comme des périodes d’insomnie.

    Nous accablons le soleil de nous apporter le cancer de la peau alors que celui-ci provient essentiellement de l’interférence entre le soleil et les produits toxiques que nous mettons sur notre corps telles que les huiles solaires par exemple. En outre, ces huiles sont bien souvent testées sur les animaux au préalable, dans des conditions que vous apprécierez vous-même avec la photo ci-dessous.

     

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     On expose des souris épilées et enduites de produits sous des lampes qui les brûlent (test de photosensibilité).

    C’est l’action du soleil sur ces huiles (qui pénètrent dans notre peau perméable) qui est source de cancer d’après HRM et d’autres spécialistes. Nous devrions éviter tout simplement de s’exposer le corps dénudé durant un taux d’UV supérieur à 3 (entre 11h et 16h), mais l’esthétique l’emporte sur notre santé !
    Nous accusons le soleil de nuire à nos yeux alors que sous certaines conditions, lorsque les UV sont absents ou très faibles, regarder le soleil guérit les maladies des yeux ! Les bains de soleil sont très bénéfiques aussi pour les muscles et les problèmes de peaux entre autres, lorsque les UV sont inférieurs à 3 (c'est-à-dire à peu près 2 heures avant le coucher du soleil).

    De façon paradoxale, mais cela peut se comprendre sur un plan d’intérêts financiers, nous créons de nouvelles thérapies (Information vue aux actualités) comme la « lux thérapie » pour lutter contre la dépression :

    Celle-ci consiste à regarder une sorte de plaque de néons pendant un temps déterminé pour produire un taux plus important de sérotonine dans le corps. Hormone dont on sait aujourd’hui qu'elle possède des propriétés d'anti-dépression. Le coût : environ 300 euros les 5 séances ! Mais jamais on entend dire :
    « Au fait, vous pouvez aussi regarder le soleil qui se couche ou qui se lève car cela produit au moins les mêmes effets ».

    Vous saurez à présent que vous pouvez faire de la lux thérapie gratuitement ...
    En outre, regarder la télévision est bien plus dangereux que de fixer le soleil lorsque le niveau d’UV se situe entre 0 et 2. En effet, des heures devant la télévision ou un écran peuvent entraîner des crises d’épilepsie entre autres. Si nous pouvons passer des heures devant un écran d'ordinateur pourquoi craindre de passer quelques minutes à observer le lever ou le coucher du soleil ?
    « Le phénomène HRM », approuvé par la science médicale, démontre que fixer le soleil sous certaines conditions est très bénéfique à de nombreuses maladies et peut nous libérer de la faim. Il s'agit d'un fait médicalement prouvé dont le rapport est vérifiable par quiconque mais encore très peu connu.

    Les recherches d'Antoine à ce sujet ci-dessous (un pratiquant du sungazing) approfondissent le contexte et apportent un élément intéressant en intégrant l'alimentation comme facteur favorable ou défavorable à l 'exposition solaire (corrobore à ce titre les travaux du Dr Zime sur la réaction du corps au soleil par rapport à une alimentation "Américaine classique" ou une alimentation riche en fruits et légumes). Il est intéressant de constater que l'augmentation de la durée de la pratique du sungazing nous conduit bien souvent à adopter, d'ailleurs, un régime plus favorable à une exposition solaire (les yeux ou les corps).

     

    Avertissement

     
    Les indications suivantes sont de nature purement informative et éducative.

    Le lecteur assume l’entière responsabilité pour tout changement ou absence de changement rencontré suite à la lecture de cet article. Il assume également l’entière responsabilité quant à sa familiarisation et à son expérimentation éventuelle du Sungazing, en se conformant (ou non) aux indications fournies dans cet article.

    L’auteur du présent article décline toute responsabilité concernant l’usage ou le mésusage des informations qui y sont présentées.

    Le contenu éducatif de cet article ne constitue aucunement un diagnostic, une prescription, une détermination fonctionnelle, ou le traitement de quelque trouble oculaire ou de santé que ce soit.

    Suite à la prise de connaissance du contenu de cet article, le lecteur est invité à éventuellement consulter régulièrement un ophtalmologue pour  suivre l’état de son système oculaire.

    L’usage que le lecteur peut faire suite à l’utilisation des informations de cet article restent sous son entière responsabilité (c’est le prix de la liberté !).

    Toute personne affectée d’une pathologie ou d’un désordre (manifeste ou suspecté) au niveau des yeux doit consulter un ophtalmologue avant  d’envisager  une des activités évoquées (c’est-à-dire  les variantes du Sungazing).

    NB : il est préférable de ne pas déclarer explicitement à votre ophtalmologue votre intention éventuelle de « sungazer », car il est fort probable qu’il vous en dissuadera formellement  (à moins d’exception rarissime : un ophtalmo-sungazer ! ).

       

    La peur du Soleil

     

    Notre culture humaine, toutes communautés confondues, nous dissuade a priori de contempler directement le Soleil. Dans certaines civilisations/communautés (amérindiens, esséniens), la pratique du Sungazing était réservée à une caste de privilégiés. Les contrevenants risquaient gros

    ( cf http://sunlight.orgfree.com/history_of_sun_gazing.htm)

     

    Depuis le début du XXème siècle se sont cumulés les effets des phénomènes suivants :

    -          révolution industrielle -> exode rural -> déconnexion de la Nature nourricière

    -          émergence des thérapies allopathiques/chimiques, et conjointement le déclin et l’abandon des traitements héliothérapiques en sanatorium.

     

    -          dénaturation accentuée de notre alimentation (dans les pays industrialisés, tout au moins)

    -          promotion du matérialisme, de l’hédonisme, désaffection des traditions spirituelles

    Nos organismes d’êtres humains, transplantés dans l’environnement artificiel constitué par les cités (véritables termitières de béton) se sont tellement distanciés de notre Mère Nature que le Père Céleste-Soleil est à présent perçu comme hostile et dangereux à une majorité d’entre nous.

    Dès notre plus jeune âge, nos parents, nos éducateurs, notre entourage nous inculquent la peur du Soleil, à laquelle ils ont été eux-mêmes conditionnés. Cette peur du Soleil est donc d’abord culturelle, mais elle est repose également sur l’absence de données objectives sur cette pratique. Les nouveaux Sungazers se comportent donc en éclaireurs, ils redécouvrent cette pratique multimillénaire merveilleuse et injustement occultée jusqu’à cette fin de XXème siècle . C’est à eux que revient, implicitement, la tâche d’informer la communauté humaine contemporaine sur les « DOs and DON’Ts » du Sungazing. A cet égard, la consultation des Forums sur le Sungazing sont très utiles.

     

    Tentons une analyse de cette peur, et de ses fondements objectifs.

     
    Exposer sa peau au Soleil ... est-ce dangereux ?

    L’existence du cancer de la peau (le « mélanome malin »...) montre que de toute évidence nous avons des problèmes avec le Soleil (peut être lié entre-autre aux produits que nous mettons sur notre peau, recherche à approfondir). D’où les mises en garde récurrentes des professionnels de la santé recommandant de toujours sortir couverts (vêtements, couvre-chefs, lunettes, crèmes protectrices).
    Cela dit, il faut relativiser : tout le monde ne réagit pas de la même manière à la stimulation des rayons solaires.

    Les individus à la peau mate (riche en mélanine protectrice, ex : les Africains), sont génétiquement adaptés à l’exposition solaire.

    Et même sans prédisposition génétique, un certain degré d’adaptation aux rayons solaires peut être acquis par les natifs des zones tempérées (ex : les Européens). Cette adaptation est facilitée par l’ingestion d’aliments riches en provitamine A (béta-carotène), à la base de la formation de réserves de mélanine.

    L’adoption d’un régime alimentaire « pauvre » en graisses (animales ou végétales) est un facteur important d’adaptation au Soleil. Plus le sang est exempt de graisses, et moins les rayons UV très énergétiques du Soleil seront susceptibles de provoquer des problèmes comme le cancer de la peau.

    Bien sûr, la sagesse et le bon sens recommandent de s’exposer au Soleil progressivement  (adaptation) et avec modération (en commençant aux heures de faible indice UV). Il faut également veiller à bien s’hydrater intérieurement (boire de l’eau pure, avant, pendant et après l’exposition) et extérieurement : douche, bain (piscine/plage/...), brumisation, etc

    Avec l’appui de telles précautions, exposer sa peau au Soleil ne présente AUCUN danger.

    On peut alors bénéficier des bienfaits des rayons solaires (à commencer par la synthèse de vitamine D).

     
    Exposer ses yeux au Soleil ... est-ce dangereux ?

    Les troubles oculaires dûs à une exposition directe des yeux aux rayons solaires sont peu fréquents. Une des raisons en est que la peur de regarder le Soleil est tellement bien incrustée dans notre culture humaine que bien peu de personnes s’y risquent !

    Les cas répertoriés dans les archives d’ophtalmologie incluent :

    - les rétinopathies accidentelles contractées lors de l’observation d’éclipses partielles du Soleil par la Lune (conditions exceptionnelles, atypiques et peu fréquentes)

    - les inflammations de la cornée dûe à l’exposition prolongée aux réflexions solaires sur l’eau de mer,  la neige, ou le sable.

     

    La ré-émergence de la pratique du Sungazing (promu par des maîtres Indiens tels que Hira Ratan Manek et Umasankar) nous invite donc à ré-examiner le problème.

    Car même si l’on n’expose ses yeux que de manière progressive (si on suit le protocole préconisé par HRM), pour de courtes durées, et durant les heures de faible indice UV (lever ou coucher du Soleil), une appréhension légitime existe. L’absence de données ophtalmologiques sur cette pratique incite à la prudence.

    Hira Ratan Manek insiste sur le ressenti personnel, l’écoute de soi vis à vis de la pratique du Sungazing. Si une personne ne se sent pas en confiance, en sécurité face au Soleil, le Sungazing n’est pas pour elle.

     
    De même que pour le Sunbathing (exposition de la peau au Soleil), il faut relativiser : tout le monde ne bénéficie pas du même degré d’ « affinité oculaire » vis à vis des rayons solaires.

    Sans recourir aux prédispositions génétiques, on peut tenter d’expliquer ce degré d’affinité oculaire par la fluidité sanguine de la personne, càd son faible taux de graisse.

    Autrement dit : on doit pouvoir augmenter son degré d’affinité oculaire (et cutanée !) au Soleil en adoptant un régime « pauvre » en graisses, idéalement un régime crudivore végétalien de type 80/10/10 (répartition en pourcentage d’apport énergétique : 80% de glucides, 10% de protéines et 10% de lipides), tel qu’il est préconisé par l’hygiéniste Dr. Douglas Graham.

    Un faible taux de graisse alimentaire entraîne, au bout d’un certain temps (variable selon les circonstances), un « dégraissage » de l’organisme entier, et donc une meilleure prédisposition à l’exposition solaire, tant au niveau des yeux que de la peau.

     
    Une fois que de telles dispositions sont adoptées, on peut (progressivement) augmenter la durée d’exposition, voire même « sungazer » au-delà des heures « sûres » à faible indice UV (toujours en s’appuyant sur le ressenti personnel). Se référer au cas d’Umasankar qui semble pratiquer le Sungazing sans restriction horaire particulière.

     
    Il ne faut pas avoir peur du Soleil, mais il faut se garder des graisses (surtout si elles sont animales et/ou dénaturées)

    Au-delà de l’impatience, du manque de prudence, de l’exposition excessive, l’ennemi principal de l’apprenti Sungazer semble bien être la graisse alimentaire.

    Le gras d’origine animale est a priori plus nocif et contre-indiqué car il est essentiellement saturé, et de surcroit souvent consommé après des traitements dénaturants (la cuisson sous ses diverses formes) qui accentuent sa nocivité (ex : graisse de barbecue, mais aussi blanc d’oeuf : source privilégiée de mauvais cholestérol).  (qu’elle soit d’origine animale ou végétale, saturée ou non).

    Le gras d’origine végétale est aussi préjudiciable s’il est saturé. Ainsi : ne pas abuser de beurre de noix de coco, d’avocat, et de noix (de Grenoble, noisette, sésame, macadamia, amande, pistache, noix de cajou, etc).

    Les graisses hydrogénées (margarine notamment) sont également à proscrire.

    Seules sont « tolérables »  et en quantité très modérée (issues d’un procédé de raffinage mécanique : pression à froid) les huiles à oméga 3-6 (caméline, chanvre, lin doré), pour leurs propriétés anti-inflammatoires (oméga 3).

     

    A titre de complément, on peut se référer également à l’avis d’un expert de la fonction oculaire, l’ophtalmologue américain William BATES.

    William Bates mentionne les bienfaits potentiels de l’exposition directe des yeux aux rayons solaires dans le chapitre XVII d’un de ses remarquables livres : « Une vue parfaite sans lunettes »  - cf http://www.central-fixation.com/perfect-sight-without-glasses/chapter-17.php ).

     

    Toujours en faveur de la relative sécurité de la pratique du Sungazing, on peut citer quelques anecdotes s’y rapportant

     

    -          Expérience de Sungazing forcé sur des prisonniers de guerre américains en Corée (2ème guerre mondiale)
    rapporté par le sungazer Vinny Pinto , sur son site dédié : http://sungazing.vpinf.com/
    dans le paragraphe intitulé : An Interesting Tale from a Former Sungazing Teacher (pour localiser le passage, chercher « Korea »)

    -          La cécité acquise de l’astronome Galilée , qui n’était pas dûe à ses « activités astronomiques » , mais à cataracte et glaucome à l’âge de 72 ans :  http://www.madsci.org/posts/archives/may99/926111004.Sh.r.html

    -          Le risque (bien réel) de rétinite suite à l’observation d’une éclipse solaire (par la Lune) : cf les archives d’ophtalmologie, par exemple : http://archopht.ama-assn.org/

    -          Le cas d’Isaac Newton – se référer à nouveau au site de Vinny Pinto :  http://sungazing.vpinf.com/
    dans le paragraphe intitulé : But How About Galileo, Issac Newton, and Other Early Scientists, Whom it is Claimed Were Blinded by the Sun?

       
    Résumons :

     

    Pour Sungazer sans risques, il faut donc :

    -          S’informer au préalable  de manière la plus complète possible (respect du protocole sécurisé préconisé par HRM (faible indice UV, exposition graduelle, ressenti, etc)

    -          Si on décide d’entreprendre cette pratique : prudence, patience, vigilance (attentif au ressenti)

    -          Pratiquer de préférence à jeun, et réduire le plus possible sa consommation de graisses (de toute nature) -> un degré minimum de pureté physique est préférable. 

    -          S’hydrater suffisamment (ce qui est automatique avec une alimentation crudivore à base de fruits et légumes frais)

    Liste non exhaustive – Ensuite, il demeure à chacun de maintenir le contrôle de sa situation personnelle.

     

    Nous pouvons dissoudre à la peur du Soleil (culturellement acquise/inculquée ou instinctive, vis à vis de l’inconnu/non vécu) par une double  approche :

    -          Prudence Intuitive : se tenir réceptif et attentif aux signaux renvoyés en permanence par notre organisme , face à ce mode de connexion directe au Soleil que nous redécouvrons aujourd’hui. On n’impose pas le Soleil à ses yeux, mais on les lui présente avec humilité et pureté (physique, mentale, émotionnelle, etc).

    -           Raison et Lucidité : se baser sur l’expérience rapportée par les sungazers « seniors »
    (y compris bien sûr HRM, Umasankar, autres), sur des notions de physiologie oculaire, etc.
    Construire patiemment sa propre expérience du Sungazing, comme une aventure en devenir, mais sans prendre de risques inutiles (surexposition en durée, ou hors des fenêtres de faible indice UV,etc).

    Une fois que les rayons solaires ont pénétré notre organisme par les « fenêtres oculaires », les effets qu’ils induisent sur l’ensemble de l’organisme sont a priori bénéfiques. Mais est-ce vraiment le cas en toutes circonstances ? Certains témoignages portent à croire que l’exposition au Soleil déclinant (crépuscule) n’est pas aussi bénéfique que l’exposition au Soleil levant (aube).
    A chacun d’approfondir la question, par son expérience personnelle...

    Une fois la confiance (r)établie avec notre Père Céleste Solaire, tout devient possible, et toute peur disparaît !

     

    Source

     

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  • Commentaires

    2
    gazou
    Mercredi 13 Novembre 2013 à 13:35
    gazou
    Voilà des conseils pleins de bon sens , me semble-t-il...que chacun les adapte selon son ressenti
    1
    Mardi 30 Juillet 2013 à 22:37
    Yog' La Vie

    A bas les lunettes! Merci Gazou.

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