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Le Bon Endroit
Quand on sait que partout les droits de l’homme sont bafoués, que le rouge coule à flot,
Quand il a été dit tant de fois que les politiciens ne servent trop souvent que leur propre cause,
Quand on a réalisé que les éléments naturels ne pouvaient pas être contrôlés et qu’à chaque seconde la vie était trop précieuse pour la gaspiller dans des désirs sans fin,
Quand on a compris que l’homme était un loup pour l’homme et que s’il n’était pas loup, le monde serait une verte prairie, sans plaies, ….
Alors on peut bien écrire encore des milliers de choses, ce ne sera toujours que la question d’humains situés ici ou là, ce monde, gigantesque jeu d’échecs.
Ne plus perdre de temps pour juger qui a tord ou raison.
Sur le fil,
Juste retrouver l’Inspir.
15 mars 2010
« Olivier Masselot: vérité sacrée, vérité de l'êtreLa maîtrise de la pensée est la forme la plus élevée de la prière »
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Commentaires
10daniellegMercredi 13 Novembre 2013 à 13:51souvent je me pose la question de savoir si j ai encore des peurs.
la réponse qui me vient c est non,car lorsque l on a plus peur de la mort
toutes les autres peurs qui en découlent s évanouissent.
je suis prete a mourir a chaque instant,ce qui ne m empeche pas d aimer la vie.
je suis en accord avec cette descision qui n est pas de mon ressort.
inchall ha.
A vrai dire, je ne me pose pas la question. On verra bien quand ceci ou cela se présentera. La réalité est souvent bien différente de l'imagination. J'essaie de faire au mieux au jour le jour. Des fois ça va et des fois ça va pas.
Merci! Je suis passée hier de liens en liens et j'ai découvert beaucoup de bons endroits. Tes textes sont vraiment très beaux.
Bonne soirée, à bientôt!
Merci de votre visite en mon blog photos Yod, le partage est toujours un sain plaisir... Je suis heureuse aussi d'être passée vous voir... votre texte, les commentaires... Oui, ici, c'est un "bon endroit"...
Chaleureusement
Magnifique texte de Jean-Marc Mantel:
Le souffle va et vient.Il est une fonction naturelle du corps, et une expression de la vie.
L'inspiration est un phénomène actif, nécessitant une mobilisation d'énergie. Elle est un équivalent d'action.
L'expiration est un phénomène passif. Elle est un équivalent de la non-action.
Le moi, dans ses tendances au contrôle, perturbe la fluidité naturelle de ce mouvement.
En écoutant le souffle, vous reconnaissez les résistances à la fluidité.
Dès qu'une résistance est reconnue, sentie, elle cède, tout du moins partiellement.
Lorsque l'écoute est prolongée, le souffle habité, ce va et vient devient aussi fluide que le mouvement des vagues sur une mer calme.
Vous vous découvrez alors comme étant ni l'inspir, ni l'expir, mais le connaisseur des deux, le regard qui les contient.
C'est pour cela que l'intervalle entre la fin de l'expiration et le début de l'inspiration est une fenêtre ouverte sur la réalité ultime. Cet intervalle est libre de pensée, de tension et d'intention. Il est un reflet et un prolongement de la nature pleine et silencieuse de l'être.
J'ai éclaté de rire en lisant ton Avisse à la populaçion
C'est très tentant comme programme...avec tout ce que j'aime...
Un oiseau qui a peur de voler, c'est pathétique. Et on est tous là, au bord du vide (en apparence), tétanisés. La différence entre avoir peur et être libre: l'inspir en toute confiance, la respiration, qui est l'acceptation des conditions ambiantes, le don de soi par l'arbre des poumons. Un arbre qui ne ferait pas de feuilles? . C'est vrai qu'on ne respire presque jamais vraiment, en conscience.
Il est beau ton blog en couleur brique. Seule petite difficulté: pas facile de revenir à l'accueil, il faut trouver le petit lien et remonter en haut de l'article.
Bonne journée et bonne inspiration. :)
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ENORMES BISES ET LONGUE VIE.