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  • Ajapa japa

     

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  • Nouvelles de Thay  30 Novembre 2014

    Mes pensées vont souvent en ce moment vers le Village des Pruniers, et vers Thay qui est malade.

    Lire l'article ici

     


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  • http://paulocoelhoblog.com/wp-content/uploads/2012/09/chat-meditation.jpg

    Bonjour à tous,

    Elena ne trouvait plus cette méditation lue par madame Yog. Voici fait!

    https://soundcloud.com/yoga11/m-ditation-statue

     

    Cela peut vous intéresser aussi (j'ai commencé ce matin)

    http://www.deepakchoprameditation.fr/

     

    Méditer ou bloguer, il faut choisir

    ...mais à très bientôt! wink2

    Bonne semaine!

     


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  • Le Bonheur est dans la marche et dans la vaisselle !

    daniel_zanin_bonheur_marche

    Le Bonheur est dans la marche et dans la vaisselle !

    Cette petite phrase à l’allure de koan brodé sur le dos de ma veste polaire a suscité bon nombres de questions, de rires, de chuchotements …

    Inévitablement vient un moment où quelqu’un me demande le rapport entre les deux, celui-ci ne paraissant pas évident à première vue.

    Et comme je réponds que pour moi il s’agit de  la même chose et que le point commun est la présence à ce que l’on fait, autrement dit une méditation dans l’action, alors là une moue dubitative apparaît souvent sur le visage de mon interlocuteur.

    J’en dis alors un peu plus pour appuyer mes dires.

    A 16 ans j’ai eu comme upa guru, un directeur de colonie alors que j’étais plongeur pour me faire un peu d’argent de poche. Si j’avais cassé quelque plats il aurait très peu apprécié et du coup j’étais très présent à chaque fois que je faisais la vaisselle.

    Et très vite j’ai senti tous les bienfaits de cette présence dans l’action, à tel point que plus de 30 ans plus tard, c’est toujours avec le même bonheur que laver la vaisselle est devenue une méditation quotidienne.

    En donnant un peu plus d’explications cela conduit la personne à la prise de conscience qu’elle aussi médite finalement parfois en étant présente à certaines activités, mais que  cela est difficile à maintenir dans tous les instants du quotidien.

    Comme le disait Jodorowski à propos de  son père : «A moi, mon père ne m’a rien appris, je peux vivre cela comme une disgrâce ou comme une fête ! Grâce à cela j’arrive au zen, mon père était donc un grand maître zen !»

    En m’emmenant avec lui à la pêche dès l’âge de 4 ans, mon père m’a probablement offert un cadeau inestimable, celui d’apprendre à méditer très jeune sans le savoir. Car qu’est-ce que la pêche si ce n’est un acte dans lequel nous devenons regard pur pour un bouchon à la surface de l’eau ou bien pure sensibilité à la tension du fil sur la canne ?

    Lorsque la surface du lac est calme, l’esprit présent à ce bouchon devient lui aussi calme. Avec le recul je m’aperçois que les plus belles journées étaient celles où le poisson avait mordu certes mais aussi celles où j’avais été présent de longues heures. Tout comme le chat qui attend devant un trou de souris sans même savoir si elle va sortir, c’est un véritable état d’éveil à la Vie que celui d’être attentif.

    Quand Mollah Nasruddinne répond à quelqu’un qui lui demande ce qu’il fait là, assis sur le bord d’une place, sans rien faire, qu’il se passera un jour quelque chose ici et qu’il souhaite être présent ce jour là c’est de cela aussi qu’il témoigne. Et en fait ce jour-là même si rien de spécial n’est en train de se passer, c’est à la Vie que Mollah est présent, le futur n’a aucune importance.

    Histoire zen : «Maître, c’est quoi le zen ?»
    Le maître : «Tu as fini de manger ?»
    L’élève : «Oui»
    Le maître : «Alors va laver ton bol ?»

    Le zen n’est pas une forme d’excitation, mais la concentration sur notre routine quotidienne.

    Méditer, ce mot ayant eu comme sens le fait de réfléchir, est en fait bien loin de cela. Méditer, être entièrement présent corps et esprit à chaque instant, c’est véritablement être vivant, tout voir comme si c’était la première fois !

    En cherchant à tout voir ainsi un émerveillement toujours neuf est présent dans notre esprit et dans notre cœur. C’est cet esprit d’émerveillement, ce regard innocent qui nous mettent vraiment en contact avec la vie qui est là au présent, toujours neuve.

    Comme le disait quelqu’un la Vie c’est ce qui se passe quand nous pensons à autre chose ! Et si le bonheur était de vivre à la Bonne Heure, autrement dit au présent ? Etre simplement là, ouvert, attentif à la Vie n’est pas aussi simple qu’il y paraît.

    Histoire zen
    «Maître, que faut-il pour pratiquer l’art de l’épée ?»
    Le maître : «Il faut de l’attention.»
    L’élève : «Rien que cela ?»
    Le maître : «Non, il faut de l’attention et de l’attention.»
    L’élève : «Seulement cela ?»
    Le maître : «Non, il faut de l’attention, de l’attention et de l’attention.»
    L’élève : «Maître, que signifie attention ?»
    Le maître :«Attention signifie attention !»

    Quand je racontais cette histoire au début des journées de marche consciente il y a quelques années, je voyais sur les visages une lueur d’interrogation et de perplexité.
    Depuis tout petit nous avons tellement entendu, fais attention à ceci, à cela, que c’est devenu une injonction inécoutable !

    En fait il s’agit de contemplation, d’observation, d’écoute en restant le plus détendu possible.

    Quand nous aimons quelqu’un ou une activité, nous avons des attentions pour cette personne, cette activité, nous sommes présents pour elle.

    Cela  conduit au rappel de soi, à cet état témoin dont parlent beaucoup de textes. Krishnamurti nous conseillait d’être attentifs à notre inattention. Se surprendre en flagrant délit d’inattention est le paradoxe de la pleine conscience. Encore une fois je me rends compte que je suis ailleurs, que je ne sens plus mon corps, ma respiration, que depuis un moment plus ou moins long j’ai fonctionné comme un automate.

    C’est pour cela que la marche consciente est une aide précieuse pour vivre cette présence à soi-même dans le meilleur des environnements , la nature ou même dans la jungle des villes.

    Il est possible de vivre la pleine conscience de manière privilégiée durant la marche pour pouvoir la goûter  et la laisser se diffuser dans chaque activité de la vie quotidienne. La pleine conscience ne consiste pas seulement à être tranquille et détendu: elle implique un engagement tout entier dans toutes les activités de la vie, tout en maintenant le contact avec ce point immobile à l’intérieur de soi, d’où émanent la sagesse et la compassion. Simplement il ne faudrait pas ramener la méditation à une technique pour se calmer, se réunifier ou vivre un peu plus consciemment, alors qu’elle est bien plus que cela. Soyons conscients de l’immensité de l’enjeu qui est de faire un pas vers la part éternelle de nous-mêmes !

    Cette réalité est notre essence mais nous en sommes exilés et par la pleine conscience nous revenons à notre origine.

    Le chemin est paradoxal car si nous méditons avec un but précis nous nous coupons de la Vie, nous tirons des plans sur la comète, alors que la méditation se suffit à elle-même. Méditer peut comporter le piège de le faire pour ne plus ressentir la Vie telle qu’elle est, avec un esprit se projetant dans le futur, thésaurisant sur les bienfaits , comme une épargne retraite spirituelle.

    Quand j’aurais médité tant d’heures alors je peux espérer atteindre l’éveil !!

    Un jour on parla à Ramana Maharshi d’un grand pratiquant qui passait chaque jour huit à dix heures à méditer.

    « Oh ! Il médite ! Il mange ! Il dort ! Qui médite ? Qui mange ? Qui dort ? Quel avantage y-a-t-il à méditer dix heures par jour si cela ne sert finalement qu’à vous ancrer un peu plus dans la conviction que vous méditez ?
    Ne médite pas : sois.
    Ne penses pas que tu es : sois.
    Ne t’affaire pas à être : sois.

    Paradoxalement la méditation conduit à la découverte d’une absence, ce que nous croyions être était une illusion, notre véritable nature seule est réelle.

    HEN-HUI disait : «Voir sa propre nature, c’est voir la vacuité. Voir la vacuité, c’est la vraie vision, la vision éternelle.»

    Daniel Zanin, explorateur de la marche

     


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  • zen-castermane.jpg

    Paris, mercredi 4 avril. Assis à une terrasse de café, je regarde passer ces femmes, ces hommes qui courent, semblant oublier qu’il est aussi possible de ... marcher.

    Constat immédiat : la plupart d’entre eux se situent dans la tête, dans les pensées. Quant à ce qu’on appelle le corps, il ne semble pas mériter la moindre attention. Pourquoi s’en soucier ? Il sera bien temps de lui accorder toute notre attention quand une douleur signalera que quelque chose ne va pas.

    Je me disais que j’ai beaucoup de chance de pratiquer la méditation et la marche méditative! Le déséquilibre intérieur, dont nous souffrons, a ses racines dans une activité mentale incessante. La pensée est une merveilleuse fonction de notre esprit humain. Mais lorsque les pensées deviennent autonomes, erratiques, et semblent n’avoir d’autre but que de se nourrir d’elles-mêmes, elles polluent notre vraie nature. Le résultat est l’homme soucieux, inquiet, agité, stressé, fatigué.

    C’est dommage, parce que, en son essence, l’être humain est en paix.
    C’est pourquoi la pratique méditative est un acte de santé ; un moment au cours duquel chacun peut s’établir dans son propre être, son « être essentiel » dit Dürckheim.


    Je me réjouis chaque jour, depuis plus de trente ans, de pouvoir accompagner les personnes qui, de plus en plus nombreuses, désirent se mettre en accord avec la vie profonde qui les anime. Ce qui les étonne, au début de cette démarche qualifiée comme étant spirituelle ou philosophique, c’est l’importance donnée au corps, au vécu corporel.
    « LeibWeg » ! Un chemin spirituel qui nous invite à prendre au sérieux l’enseignement qui nous est donné par notre propre corps.

    Dans la tradition du zen, le corps n’est pas pensé comme étant un objet matériel opposé à l’esprit.

    Le corps est un champ d’action, un champ d’expérience, un champ de conscience. Et toute personne qui pratique régulièrement l’exercice de la méditation peut faire l’expérience que le corps est le domaine du calme, alors que le mental est le domaine de l’agitation. Faire l’expérience que le corps est le domaine du moment présent, alors que le mental est domaine de l’éparpillement maladif dans un passé (qui n’est plus) ou dans un futur (qui n’est pas encore).

    « Le corps, ce champ où l’être œuvre en secret », disait Dürckheim.
    Il serait dommage d’emporter ce secret dans la tombe et, jusque-là, de vivre sous le règne du mental.


     

      Jacques Castermane

     Article pris chez Phytospiritualité

     

     


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  • http://www.hotel-les-cleunes.com/userfiles/image/8819-zen-detente-naturel.jpg

     Cliquer sur les liens:

     

    Relaxation audio "Grande détente" 15 minutes

    (qui correspond au texte ci-dessous)

    La musique se fait de manière aléatoire, la fin vous surprendra peut-être....mais le hasard fait qu'elle arrive au bon moment pour vous réveiller.

     
    Relaxation audio 10 minutes

     

    Installez-vous confortablement, assis dans un fauteuil ou allongé sur un tapis. (évitez le lit) . Agrémentez si vous le désirez, d'un musique de relaxation........ (à chaque étoile * faites une pause d'une seconde chacune)

     

    Inspirer profondément à 5 reprises. Imaginez que vos poumons sont des ballons. À l'inspiration, gonflez l'abdomen et à l'expiration, contracter les muscles abdominaux afin de bien vider vos poumons.

     

    Vous inspirez la santé, le positif, vous expirez le négatif, la maladie.

     

    Portez votre attention au niveau de vos pieds. ***Relâchez les tensions dans vos orteils ***dans vos talons ***dans vos chevilles. ***Percevez une chaleur qui  commence à envahir vos pieds pour les détendre en profondeur. ***

     

    Cette chaleur commence à remonter le long de vos mollets***de vos genoux*** et pénètre vos cuisses. ***Vos jambes sont de plus en plus lourdes. ***La chaleur remonte maintenant pour venir décontracter vos muscles fessiers et ceux de vos hanches.***Vos 2 jambes sont maintenant entièrement détendues du bout des orteils jusqu'aux hanches.***Vos jambes sont lourdes, lourdes de détente.

     

    Portez maintenant votre attention au niveau de vos mains,***relâchez les tensions dans vos doigts, laissez vos mains s'ouvrir librement comme pour une offrande.***Détendez également vos poignets**

     

    Percevez une douce chaleur qui commence à envahir vos mains et vos poignets.***Cette chaleur remonte lentement pour venir détendre vos avant-bras.***La chaleur détend également vos coudes et le haut de vos bras***Laissez retomber libre vos épaules et permettez à la chaleur les détendre profondément.***Vos 2 bras sont maintenant entièrement détendus, du bout des doigts jusqu'aux épaules.***Vos bras sont lourds, lourds de détente.

     

    Portez votre attention au bas de votre colonne vertébrale et lentement par la pensée vous allez remonter dans votre dos jusqu'à la nuque afin de relâcher chacune des vertèbres de votre colonne*****Sentez votre colonne bien droite, bien alignée, bien souple aussi. Percevez maintenant une agréable chaleur qui commence à envahir votre dos et qui remonte un peu comme une vague afin de détendre chacun des muscles de votre dos****Votre dos se détend de plus en plus et de mieux en mieux.***

     

    Maintenant vous allez porter votre attention au niveau de votre abdomen****relâchez toutes les tensions internes et externes*** permettez à chacun des organes qui se trouvent dans cette région de fonctionner pleinement*****Percevez maintenant une chaleur qui envahi votre abdomen pour le détendre en profondeur****

     

    Cette chaleur remonte maintenant pour détendre la région de votre estomac, la région du plexus solaire qui accumule beaucoup de tension et d'émotions. *****La chaleur rejoint maintenant le haut de votre thorax.***Permettez à votre cœur de battre lentement, d'une façon rythmique*****Permettez à vos poumons de respirer profondément, le plus lentement possible***

     

    La chaleur vient maintenant envahir la région de votre cou, votre gorge et votre nuque****vous pouvez avaler pour mieux détendre votre gorge.****Sentez votre cou bien souple, sans aucune tension. Il est là juste pour porter votre tête.***

     

    Maintenant la chaleur vient détendre votre tête en profondeur***Relâchez toutes les tensions internes et externes****Laissez circuler librement vos pensées sans en arrêter aucune****Imaginez que vous êtes à une fenêtre et que vous regarder circuler vos pensées****

     

    Vous allez maintenant détendre votre visage en commençant par le front***Laissez-le s'étirer, se lisser***Détendez vos yeux et tous les petits muscles autour****Détendez vos joues,***Desserrez vos mâchoires, desserrez vos dents****laissez votre langue s'étendre au fond de la bouche****laissez-la prendre toute la place, sa place***Percevez maintenant une agréable chaleur qui vient envahir votre visage, comme si le soleil chauffait votre peau.***

     

    Tout votre corps est maintenant détendu, du bout des orteils jusqu'à la tête ****

     

    Votre corps est lourd, lourd de détente****Prenez conscience de cet état de bien-être dans lequel se trouve présentement votre corps******Relaxez, relaxez, relaxez!!!!

     

    Après quelques minutes de détente, commencez à étirer vos bras et vos jambes, baillez si vous en avez envie et en tout dernier lieu vous ouvrirez les yeux...

     


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  • 0002370001269992445.jpg

     

    Position : debout, les yeux fermés, peut se pratiquer aussi assis ou couché, en se visualisant debout, les pieds bien à plat, légèrement écartés, genoux légèrement fléchis (pour ne pas cambrer le dos).

     

    Pratiquer une ou deux respirations calmantes : respiration complète, temps d’expiration plus long que celui d’inspiration Centrage.

    Se recentrer sur soi: «être bien dans ses baskets ».

    Visualiser un paysage de détente ensoleillé se fixer sur le soleil, sur un rayon de soleil qui descend sur le dessus de votre crâne, pénètre dans la tête par le centre coronal (sur le dessus du crane).

    Il descend doucement au travers de la tête, puis se prolonge doucement au travers de la colonne vertébrale. 

    Ce rayon de soleil ressort au bas du coccyx pour s’enfoncer dans le sol.

    Se visualiser quelques instants dans cette position, relié entre ciel et terre (position naturelle de l’Homme en médecine chinoise).

     

    Ancrage : avoir les pieds sur terre, bien accrochés ! Puis imaginer des racines profondes et vigoureuses pousser sous la plante des pieds et qui traverse la terre. Rester quelques instants relié entre ciel et terre, bien ancré dans la terre. Sentez la terre. On peut s’imaginer sur sa planète comme le Petit prince de Saint Ex, et vous voyez les racines pousser et traverser toute la planète. « Ressentez autant que vous le pouvez cette position ».

    Protection : recréer cette protection naturelle que nous perdons quand on est fatigué, préoccupé. En relevant légèrement la tête, imaginer une jolie bulle, comme une bulle de savon, souple et transparente qui descend au dessus de votre tête, et enveloppe petit petit tout votre corps, jusqu’aux pieds.

    Sa taille, plus ou moins proche de votre corps dépend de votre forme.

    Plus vous sentez avoir besoin de protection plus vous pouvez l’imaginer importante.

    Vous pouvez la toucher, l’évaluer, tourner à l’intérieur. Si vous vous sentez très « à plat », vous pouvez empiler une, deux (ou plus) bulles.

    Profitez quelques instants de cette position, imprégnez autant que vous le pouvez votre mémoire du rayon de soleil, de ce fil d’or qui vous re centre, sentez la terre et vos racines, palpez votre bulle.

     

    Respirer profondément , ouvrir les yeux C’est parti !!

     

     A renouveler chaque fois que vous en sentez le besoin....

     

    Pris ici

     



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