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    Un blog avec des photos plutôt impressionnantes!


    C'est ICI

     

     

     


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    immigration04.jpg

    L'hypocrisie des commissaires de Bruxelles est détestable : d'une part, ils organisent la famine en Afrique, de l'autre, ils criminalisent les réfugiés de la faim.

     

    Aminata Traore résume la situation : « Les moyens humains, financiers et technologiques que l'Europe des 27 déploie contre les flux migratoires africains sont, en fait, ceux d'une guerre en bonne et due forme entre cette puissance mondiale et des jeunes Africains ruraux et urbains sans défense, dont les droits à l'éducation, à l’information économique, au travail et à l’alimentation sont bafoués dans leurs pays d'origine sous ajustement structurel. Victimes de décisions et de choix macroéconomiques dont ils ne sont nullement responsables, ils sont chassés, traqués et humiliés lorsqu'ils tentent de chercher une issue dans l’émigration. Les morts, les blessés et les handicapés des événements sanglants de Ceuta et de Melilla, en 2005, ainsi que des milliers de corps sans vie qui échouent tous les mois sur les plages de Mauritanie, des Iles Canaries, de Lampedusa ou d'ailleurs, sont autant de naufragés de l’émigration forcée et criminalisée. »

     

    En juin 2007, le Conseil des Nations unies pour les droits de l'homme tenait sa quatrième session ordinaire au Palais des Nations à Genève.

     

    Lundi 11 juin : le Conseil examine la proposition d'accorder aux réfugiés de la faim un droit de non refoulement temporaire.

     


    J'ouvre une parenthèse : il s'agit de distinguer avec précision les réfugiés économiques des réfugiés de la faim. Les réfugiés économiques sont des personnes qui migrent par  « convenance ». Les réfugiés de la faim fuient par « nécessité ».

     

    L'état de nécessité est un concept bien connu du droit international et de la plupart des droits nationaux.

     

    Exemple : une ambulance qui fonce à une vitesse excessive pour arriver au plus vite auprès d'un blessé et qui, ce faisant, viole une ou plusieurs règles de la circulation, agit en état de «nécessité ». Son infraction au code de la route est considérée comme nulle et non avenue.

     

    De même, le réfugié de la faim : le Programme alimentaire mondial détermine, mois après mois, les régions du globe où, à la suite de catastrophes naturelles (sécheresse, criquets, etc.) ou humaines, aucune survie n'est plus possible.

     

    L’état de nécessité est objectivement vérifiable.

     

    Pour survivre, l’affamé doit franchir des frontières. II le fait illégalement. L'illégalité est supprimée par l’état de nécessité.

     

     

    Je répondrai aux commentaires un peu plus tard

     


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    http://media.artevod.com/110532_fr_image_24922.jpgUn peu moins d'un milliard d'êtres humains vivent en Afrique. Entre 1972 et 2002, le nombre des Africains gravement et en permanence sous-alimentés a augmenté de 81 à 203 millions.

    Pourquoi ? Les raisons de cette situation sont multiples. La principale est due à la politique agricole commune de l'Union européenne.

    Les États industrialisés de l'OCDE ont payé à leurs agriculteurs et éleveurs, en 2006, plus de 350 milliards de dollars à titre de subventions à la production et à l'exportation.

    L'Union européenne, en particulier, pratique en Afrique le dumping agricole avec un cynisme sans faille.

    Il en résulte notamment la destruction systématique des agricultures vivrières africaines.

    Prenons l'exemple de la Sandaga, le plus grand marché de biens de consommation courants de l'Afrique de l'Ouest. La Sandaga est un univers bruyant, coloré, odorant, merveilleux, situé au cœur de Dakar.

    La ménagère peut y acheter, selon les saisons, des légumes et des fruits portugais, français, espagnols, italiens, grecs, etc. — au tiers ou à la moitié du prix des produits autochtones équivalents.

    Quelques kilomètres plus loin, sous un soleil brûlant, le paysan wolof travaille avec sa femme et ses enfants jusqu'a 15 heures par jour... et n'a pas la moindre chance d'acquérir en échange un revenu minimum décent.

    Sur 52 pays africains, 37 sont des pays presque entièrement agricoles.

    Peu d'êtres humains sur terre travaillent autant et dans des conditions aussi difficiles que les paysans africains, Wolof du Sénégal, Bambara du Mali, Mossi du Burkina ou Bashi du Kivu.

    La politique du dumping agricole européen détruit leur vie et celle de leurs enfants.

    Pour défendre I’ Europe contre les refugiés de la faim, l’Union européenne a mis sur pied une organisation militaire semi-clandestine qui porte le nom de Frontex.

    Cette agence gère les « frontières extérieures de l'Europe », c'est-à-dire les frontières extracontinentales.

    Elle dispose de navires d'interception en haute mer rapides et armés, d'hélicoptères de combat, d'une flotte d'avions de surveillance munis de caméras ultrasensibles et de vision nocturne, de radars, de satellites et de moyens sophistiques de surveillance électronique à longue distance.

    Frontex maintient aussi sur le sol africain des « camps d'accueil » où sont parqués les réfugiés de la faim qui viennent encore d'Afrique centrale, orientale ou australe, du Tchad, de la République démocratique du Congo, du Burundi, du Cameroun, de l'Erythrée, du Malawi, du Zimbabwe, etc.

    Souvent, ces refugiés sont en route à travers le continent durant un ou deux ans, vivant d'expédients, traversant les frontières et tentant de s'approcher progressivement d'une côte. Ils sont alors interceptés par les agents de Frontex ou par leurs auxiliaires locaux, chargés de les empêcher d'atteindre les ports de la Méditerranée ou de l'Atlantique.

    Vu les versements considérables opérés par Frontex aux gouvernements africains, peu d'entre eux refusent l’installation de ces camps.

    L’Algérie sauve l ' honneur.

    Le président Abdelaziz Bouteflika a dit : Nous refusons ces camps. Nous ne serons jamais les geôliers de nos frères. »

     

     

    Ce texte est un extrait de la préface du livre de Jean Ziegler "L'empire de la honte".





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  • Choisir une carrière scientifique, c'est accepter de passer une bonne dizaine d'années sur les bancs universitaires, tout en sachant qu'on ne deviendra pas millionnaire même si les salaires sont convenables. Qu'est-ce qui peut motiver un tel choix?

    Le premier élément est, bien sur, la curiosité. Celle d'explorer dans toutes ses manifestations ce cosmos que nous habitons. S'y ajoute l'enthousiasme de participer à ce grand mouvement d'acquisition des connaissances qui se poursuit depuis des siècles, un peu partout sur la planète, dans des milliers de laboratoires et d'observatoires.

    Il faut cependant prendre en considération un autre facteur dont l'importance varie d'un individu à l'autre, mais qui existe même chez celui qui ne veut pas se l'avouer: le désir d'être connu, d'être reconnu -"que mon génie éclate au grand jour!".

    Pourtant, un constat s'impose rapidement: Ce rêve d'immortalité est réservé à bien peu. Les Galilée, Newton et autre Einstein ne sont pas légion. Dans la littérature scientifique, les noms défilent et sont rapidement oubliés. Les gloires d'une décennie sont remplacées par celle de la suivante. Bientôt, les chercheurs les plus cités ne se retrouvent plus que dans les anciens numéros de revues. Les bibliothécaires, faute de place sur les étagères, les remisent un jour aux archives. Ce que peut raisonnablement attendre l'homme de science, c'est obtenir que ses contributions, une fois acceptées et reconnues par ses pairs, soient intégrées dans le grand livre du savoir sans qu'il y soit lui-même nécessairement associé et nommé. Une situation qui n'est pas sans évoquer la chanson de Charles Trénet:

    Longtemps, longtemps, longtemps
    Après que les poètes ont disparu
    Leurs chansons courent encore dans les rues



    Me revient en mémoire une phrase de l'astronome Dennis Sciama, qui, dans son grand âge, m'a dit un jour: "Si mes théories sont valables, elles se défendront d'elles mêmes. Si elles sont fausses, qu'elles disparaissent. Je ne lèverai pas le petit doigt pour les défendre".

    C'est là l'équanimité que le chercheur doit tenter d'atteindre pour ne pas risquer de s'aigrir, de s'accrocher obstinément à ses travaux et les défendre au delà du raisonnable. Cette attitude regrettable est hélas souvent présente dans notre milieu. Trop de carrières bien commencées se terminent par ce spectacle navrant, nocif pour l'image de la science.



    Veuillez me pardonner si je ne réponds pas aux commentaires,

    ça me fait bien plaisir mais pour l'heure, il fait beau et  j'ai la flemme.

     

    http://heidi.canalblog.com/sieste.JPG


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  • Chocolat-cerise.JPGHier j'ai fait la tournée des bars, heu des blogs. Ça y ressemble...en mieux. Non parce que les conversations de bistrots, pour y avoir travaillé, à part quelques brèves comiques, hein, bon. Les gens qui se rassemblent à une table pour échanger, c'est différent. Mais ceux qui tiennent le comptoir, c'est la politique ou le foot. De toute façon c'est difficile de suivre une conversation puisqu'il faut constamment quitter le comptoir pour servir en salle et quand on revient c'est un autre sujet: le foot ou la politique. Quand à draguer la serveuse, n'en parlons pas....si au moins il y mettaient un peu d'imagination!


    Mais c'est pas de ça que je voulais parler. Les blogs, oui. Je ne vais pas beaucoup commenter en général en dehors de mes habitués. D'abord ça prend du temps. Et puis il faut que  je sois touchée par un texte, des mots. Je n'aime pas en général mettre un mot juste pour dire "bonne journée" ou "il est beau ton blog" mais il m'arrive aussi de mettre un mot bref parce que je suis d'humeur à la brévitude. Il y a des jours où une espèce d'ennui tombe sur mes épaules, c'est le moment propice  à l'exploration d'univers complètement différents. Voilà: se mélanger et en déguster de toute les couleurs au hasard des liens ou de ceux qui sont déjà venus signer ici.


    Finalement cette randonnée virtuelle a été plutôt sympathique et mon article Zen en a été savoureusement remercié. Je répondrai un peu plus tard, c'est l'anniversaire de Mr Yog aujourd'hui. J'ai mis mon tablier. 


    Après la marche nordique dominicale, (c'est plus amusant que la messe sans le latin) c'était le marché. La chance d'avoir ce petit marché à deux pas de la maison. Tiens, un stand spécial vanille! Ça embaume la crème anglaise, mmmmm!!!!!! De l'huile d'olive à la vanille. Goûté et approuvé: pas mal dans la salade et le riz. Oh, mais  nous avons croisé les enfants et la dame de Madagascar ce matin sur la jetée. Il pleuvait, les yeux presque cachés sous la capuche, ils avaient de si jolis sourires qu'ils ont remplacé pour un temps le soleil.


    Puisqu'il y aura un gâteau au chocolat on va faire ratatouille. Oh des chanterelles! D'où? De Serbie. J'en veux pas! Il revide la paquet. Une centrale nucléaire à proximité, c'est bien suffisant. Un peu gêné le monsieur. Il sait qu'il vend du poison à 15 euros le kilo  mais il sait aussi que la plupart des gens ne s'inquiète pas de la provenance. C'est comme les fraises d'Espagne....méfiate!


    C'est n' importe quoi cet article. C'est malin! Quel titre je vais lui donner? 


    Je retourne à mes poivrons.

     

    http://mlletaryn.files.wordpress.com/2008/10/ratatouille1.jpg

     





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  • http://farm4.static.flickr.com/3137/3033431636_10146f2510.jpg

     

    Il fait beau. Il faut en profiter. Et bien non! Même le soleil ne me dictera pas ce que j'ai à faire. C'est comme ça, mon heure est après 18h quand la foule est à l'apéritif ou devant quelques émissions dont j'ignore les noms mais dont je devine les contenus. Oui, car l'hiver en début de soirée, quand les volets ne sont pas encore baissés, je vois bien derrière les fenêtres sur les géants écrans plats à quoi ressemble la culture des français en général.


    Il fait beau et je suis là. Je viens de zapper sur quelques blogs de trentenaires à partir de celui-là. Je l'avais un peu parcouru  il y a environ un an. J'admire cette facilité à parler de soi, chose que je ne sais pas faire si ce n'est pour l'anecdote ou la dérision. Raconter par le menu détail son quotidien, à moins de vouloir ennuyer les gens (des fois ça m'arrive aussi)  il faut un certain talent. Quand aux réflexions philosophiques personnelles, tout a été déjà dit et je ne pourrais que m'en inspirer pour le redire avec d'autres mots. Ça ressemblerait à un plat refroidi.


    Il fait beau et nous avons mangé dehors face à notre mur auquel, ma foi, nous nous habituons. C'est vrai qu'on peut s'habituer à l'horreur. Mangé sans un mot avec Yogtrois qui veut bien avoir son Bac mais en jouant de la guitare dix heures par jour. Madame Yog n'a peut-être pas eu les bons mots mais  puisqu'il a fait ce choix... Et Yogdeux de renchérir que "ce n'est pas la peine de lire Salomé si c'est pour traiter son fils de "moule sur un rocher". Et de toute façon "avec papa vous n'avez jamais eu d'autorité".

    C'est la fête!


    Il fait beau....dehors.



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  • Docteur Christian SADEK

    Médecin généraliste

    Les Prades

    46250 CAZALS  Cazals, le 08 Mars 2010

     

     

    Monsieur le Président de la République

     

     Avec tout le respect que je vous dois dû à votre fonction, je me permets de vous adresser ce petit présent : un croc de boucher. Ce n’est pas pour y suspendre Monsieur Dominique de VILLEPIN et n’a rien à voir avec les balles de 9mm qui vous ont été adressées anonymement.

     

    Moi, je vous dis qui je suis, et pourquoi je vous adresse cet objet.

     

    En temps que médecin de campagne, je suis tous les jours au contact de la France « d’en bas », des agriculteurs, des artisans, des professions libérales, des commerçants, des employés salariés qui doivent travailler toujours plus pour en fait gagner de moins en moins.

     

    Je côtoie aussi des personnes au R.S.A. qui travaillent au noir, arrivent à toucher de nombreuses allocations diverses et variées et qui en fait ne payent pas d’impôts et s’en sortent beaucoup mieux que ceux qui sont au SMIC, et qui travaillent 7 H / jour, et bien mieux que de nos agriculteurs qui eux travaillent plus de 60 H/ semaine et 365 jours par an et qui parfois sont obligés de fréquenter les Restos du Cœur pour nourrir leurs enfants. Et que dire de nos retraités qui ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts.

     

    Tous les jours, je mesure la température de la population de notre canton et, je ne sais si c’est une conséquence du prétendu réchauffement climatique, mais la température monte, monte lentement mais sûrement et un jour cela va éclater...

     

    Je pense que c’est comme le « big one » sur la faille de San Andréa : on sait que cela va arriver mais on ne connaît pas la date.

     

    C’est ce que je perçois sur le canton de Cazals et aussi ce que je pressens dans les autres cantons de France.

     

    Il serait dommage que notre Pays qui est au bord de la faillite, faillite en grande partie liée à l’incompétence et à la corruption de nos énarques, soit victime d’une troisième révolution qui achèverait de le ruiner.

     

    Comme en 1789, la Révolution pourrait éclater pour une parole de trop : en 1789 ce serait Marie-Antoinette qui l’aurait prononcée « Ils n’ont plus de pain alors qu’ils mangent de la brioche ». L’ENA n’existait pas mais déjà nous avions déjà une énarque qui ignorait comment se faisait le pain et la brioche : aucune réalité de la condition de vie des gens sur le terrain.

     

    C’est peut être pour éviter cela que nos énarques et hommes politiques font de longs discours qui nous endorment et ne veulent plus rien dire : au moins cela évite de mettre les feux aux poudres et ils se sont fait plaisir en alignant des mots mais aucune idée.

     

    Nous sommes en présence d’un Etat qui devient de plus en plus inquisiteur envers ses citoyens, de plus en plus répresseur envers les honnêtes gens, de plus en plus laxiste pour les voyous : auriez-vous peur des voyous Monsieur le Président ?

     

    Pourtant ce sont les honnêtes gens qui feront la prochaine révolution parce qu’ils en ont assez que 1789 ne serve à rien et qu’ils ne soient bons qu’à payer des impôts.

     

    Je pense, en tant que médecin, que la révolution c’est comme le vaccin : de temps en temps il faut des rappels. Il y a trop longtemps maintenant que le dernier rappel a été administré.

     

    Après le dépistage des délinquants à l’âge de 3 ans, la taxe carbone qui épargne les plus pollueurs (vos petits copains), les radars « pompes » à fric, qu’allez vous nous pondre : le rétablissement des lettres de cachet ? Pourvu que je n’en sois pas la première victime !

     

    Vous êtes en train de nous faire une France à l’Américaine. Mais pas celle d’Obama ! Celle de Bush, marionnette de la C.I.A., des lobbies de l’industrie et de l’armement. Votre idole était G.W. Bush : cela « crevait » les yeux. L’Europe géographique avait un pays à la botte des américains (l’Angleterre), maintenant elle en a deux.

     

    Lors de l’invasion en Irak, par les américains, je devrais dire par la C.I.A. et les industriels de l’armement et accessoirement G.W. Bush, Jacques CHIRAC a eu probablement la meilleure initiative de ses mandats : ne pas y aller. S’il n’en avait pas été ainsi, je pense que notre pays, qui compte 1/6 de musulmans explosait de l’intérieur. En médecine il y a un dicton qui dit « primum no nocere » - d’abord ne pas nuire- et il a su l’appliquer.

     

    Vous êtes, lentement mais sûrement, en train de transformer le pays en dictature car vous avez l’esprit d’un petit dictateur ; il existe une grande similitude entre vous et Napoléon III dit Le Petit (dixit Victor Hugo).

     

    Mis à part quelques ministres, vous vous êtes entouré (mais cela est peut être voulu) d’incompétents notoires qui n’ont aucune réalité du terrain, comme par exemple Madame R. Bachelot qui nous a montré ses talents dans la gestion de la « grosse » épidémie de grippe A.

     

    Heureusement que le virus H1 N1, quant à sa virulence, n’avait rien à voir avec le H5 N1, auquel cas elle aurait participé à décimer le pays : elle aurait peut être résolu le problème de chômage en créant un maximum d’emplois.....dans les funérariums. Il y a un proverbe qui dit « au royaume des aveugles, les borgnes sont rois » : je crains que vous l’ayez fait vôtre.

     

    Mais au fait, cette épidémie de grippe, n’était-ce pas une diversion, pour faire parler d’autre chose que de la crise ce qui aurait risqué d’échauffer les esprits ?

     

    En vous adressant ce présent, je ne fais pas de menaces, je m’inspire un peu de vous - après tout c’est vous qui en avez parlé le premier, du croc de boucher- Je fais seulement de la prévention.

     

    Il serait en effet regrettable que votre absence de bon sens, votre éloignement de plus en plus grand de la France « d’en bas », comme avait dit Jean Pierre Raffarin, vous conduise à vous y trouvé suspendu par le peuple, ou pire encore, que la Guillotine, reléguée au musée par Robert Badinter, reprenne du service et fonctionne au rythme qu’elle a connu sous la Terreur. Je vous rappelle que vous êtes le Président de tous les Français même si tous n’ont pas voté pour vous et que vous avez été choisi pour vous occuper de notre Pays, pas pour l’anéantir.

     

    Je suis un libéral, mais je suis pour le libéralisme choisi et non subi et imposé. Vous êtes en train de créer un système  de santé à l’américaine, c’est-à-dire à deux voire trois vitesses, alors que Monsieur Obama lui veut faire machine arrière et rendre l’accès aux soins à tous les Américains qui en étaient exclus.

     

    Vous êtes en train d’anéantir l’enseignement qui est le type même d’investissement à long terme où l’on dépense aujourd’hui de l’argent (nos impôts) qui sert à former les cerveaux qui feront l’élite intellectuelle de demain. Les pays nordiques comme la Finlande l’ont bien compris.

     

    Avec la suppression du juge d’instruction, vous êtes en train de créer une justice aux ordres du pouvoir : la France va devenir une République Bananière si elle ne l’est pas déjà.

     

    A l’allure où vous allez, la France sera le premier pays sous développé d’Europe : plus d’université, plus d’hôpitaux, plus d’industries, plus de services publics, plus d’agriculture.... ... une réserve de gaulois pour touristes étrangers tout au plus.

     

    Attention ! Les Gaulois à l’image d’Astérix et Obélix pourraient bien entrer en Résistance .....

     

     


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  • (Article supprimé)


    Pavots-Compiegne.JPG



    Rue-du-Grand-Ferre-Compiegne-.JPG

    Rue du Grand Ferré à Compiègne


     

     

    Alors? Qui a deviné qui était ce Roland?

     

     





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    Roland-Garros.JPG

     

    Il n'y a pas eu besoin de crème solaire ou de parapluie.


    Madame Yog avait hésité avant de répondre à cette invitation. Et puis, se laisser porter car la réalité ne correspond jamais aux images que l'esprit s'est fabriqué.

     

    En effet, la Vérité est toujours plus simple. 


    En fait, quand vous arrivez chez Roland, c'est comme lorsque vous roulez en voiture  ou que vous grimpez au sommet d'une dune et que d'un seul coup vous criez: "La mer! ".


    Autour de cette nappe d'un beau rouge brique, les convives  étaient  installés mais la plupart ne sont arrivés que pour le dessert helvétique.


    Tout au long du repas l'ambiance calme a  cependant été ponctué d'applaudissements et même d'une ola quand les plats se sont révélés savoureux, ceci, bien sur,  grâce aux deux invités principaux installés chacun en bout de table.


    Bien évidemment, entre deux plats les yeux prennent leur temps pour consulter le reste de la carte. C'est ainsi que nous avons pu avoir un peu de gratin et aussi une belle esclaffade générale quand un convive a osé bravé un "Vas-y Roselyne!!".

     

    Un beau weekend dans la bonne humeur et la simplicité. Toutes références chassées. Juste  la saveur d'être là. 


    La quiétude a même traversé le réseau. Le soir, Yogtrois raconte que dans l'après-midi, son prof d'anglais (les profs, visiblement, ne sont plus ce qu'il étaient ) avec qui il discutait sur Facebook, lui a demandé: "Ta mère ne serait-elle pas allée chez Roland? ".




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