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    Bonjour à tous,

    J'ai copié ce document, que je reçois par newsletter, sans permission. Si vous voulez en recevoir chaque jeudi, abonnez-vous à "Yoga chez moi"

    Je le supprime dans un moment.


     


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    Stage de yoga dans un très bel endroit avec de la bonne compagnie

     

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    Dans notre société, la peur du soleil est quelque chose qui tourne parfois à l'obsession. Même si des précautions sont en effet à prendre quand le niveau d'UV est supérieur à 3, à travers cette peur, nous mettons le voile sur ce que celui-ci peut nous apporter en fuyant ces rayons comme la peste.

    Le Docteur Damien Downing dans son livre "soleil vital" nous expose tous les bienfaits du soleil sur la santé. Par exemple, celui-ci permet d'éviter le rachitisme que l'on retrouve aujourd'hui dans nos villes. Cette maladie se manifeste par des troubles de l'ossification, une déformation des jambes etc. Des études ont montré que plus les personnes se couvraient le corps, plus elles avaient des carences en vitamine D (la vitamine du soleil responsable entre autre de la bonne assimilation du calcium dans notre corps).
    En outre, "une nouvelle évidence montre que la supplantation par des aliments n'est pas la méthode idéale pour obtenir sa dose nécessaire de vitamine D; le soleil est la meilleure voie". Pour ceux qui sont intéressés par cet aspect un peu plus médical, je vous invite à lire ce livre fort intéressant.
    L’usage quotidien des lunettes de soleil est inapproprié à notre nature. Les lunettes n’existent que depuis les années 40. Elles étaient utilisées autrefois par les pilotes d’aviation à juste titre. Mais des enjeux commerciaux en ont fait un outil « indispensable ».
    Celles-ci ne devraient être utilisées que pour conduire notre véhicule. Au fil du temps, lorsque les yeux se sont habitués au soleil au cours de l’été, ils ne craignent plus la lumière forte du soleil.
    Le corps s’adapte automatiquement comme lors de la progression du temps de pratique de l’observation solaire au cours du sungazing.
    En effet, les lunettes de soleil empêchent le soleil de nous donner sa lumière et entraîne un déficit en sérotonine (dû à l’absence de sa lumière) qui peut même entraîner certaines complications comme des périodes d’insomnie.

    Nous accablons le soleil de nous apporter le cancer de la peau alors que celui-ci provient essentiellement de l’interférence entre le soleil et les produits toxiques que nous mettons sur notre corps telles que les huiles solaires par exemple. En outre, ces huiles sont bien souvent testées sur les animaux au préalable, dans des conditions que vous apprécierez vous-même avec la photo ci-dessous.

     

    ihi
     On expose des souris épilées et enduites de produits sous des lampes qui les brûlent (test de photosensibilité).

    C’est l’action du soleil sur ces huiles (qui pénètrent dans notre peau perméable) qui est source de cancer d’après HRM et d’autres spécialistes. Nous devrions éviter tout simplement de s’exposer le corps dénudé durant un taux d’UV supérieur à 3 (entre 11h et 16h), mais l’esthétique l’emporte sur notre santé !
    Nous accusons le soleil de nuire à nos yeux alors que sous certaines conditions, lorsque les UV sont absents ou très faibles, regarder le soleil guérit les maladies des yeux ! Les bains de soleil sont très bénéfiques aussi pour les muscles et les problèmes de peaux entre autres, lorsque les UV sont inférieurs à 3 (c'est-à-dire à peu près 2 heures avant le coucher du soleil).

    De façon paradoxale, mais cela peut se comprendre sur un plan d’intérêts financiers, nous créons de nouvelles thérapies (Information vue aux actualités) comme la « lux thérapie » pour lutter contre la dépression :

    Celle-ci consiste à regarder une sorte de plaque de néons pendant un temps déterminé pour produire un taux plus important de sérotonine dans le corps. Hormone dont on sait aujourd’hui qu'elle possède des propriétés d'anti-dépression. Le coût : environ 300 euros les 5 séances ! Mais jamais on entend dire :
    « Au fait, vous pouvez aussi regarder le soleil qui se couche ou qui se lève car cela produit au moins les mêmes effets ».

    Vous saurez à présent que vous pouvez faire de la lux thérapie gratuitement ...
    En outre, regarder la télévision est bien plus dangereux que de fixer le soleil lorsque le niveau d’UV se situe entre 0 et 2. En effet, des heures devant la télévision ou un écran peuvent entraîner des crises d’épilepsie entre autres. Si nous pouvons passer des heures devant un écran d'ordinateur pourquoi craindre de passer quelques minutes à observer le lever ou le coucher du soleil ?
    « Le phénomène HRM », approuvé par la science médicale, démontre que fixer le soleil sous certaines conditions est très bénéfique à de nombreuses maladies et peut nous libérer de la faim. Il s'agit d'un fait médicalement prouvé dont le rapport est vérifiable par quiconque mais encore très peu connu.

    Les recherches d'Antoine à ce sujet ci-dessous (un pratiquant du sungazing) approfondissent le contexte et apportent un élément intéressant en intégrant l'alimentation comme facteur favorable ou défavorable à l 'exposition solaire (corrobore à ce titre les travaux du Dr Zime sur la réaction du corps au soleil par rapport à une alimentation "Américaine classique" ou une alimentation riche en fruits et légumes). Il est intéressant de constater que l'augmentation de la durée de la pratique du sungazing nous conduit bien souvent à adopter, d'ailleurs, un régime plus favorable à une exposition solaire (les yeux ou les corps).

     

    Avertissement

     
    Les indications suivantes sont de nature purement informative et éducative.

    Le lecteur assume l’entière responsabilité pour tout changement ou absence de changement rencontré suite à la lecture de cet article. Il assume également l’entière responsabilité quant à sa familiarisation et à son expérimentation éventuelle du Sungazing, en se conformant (ou non) aux indications fournies dans cet article.

    L’auteur du présent article décline toute responsabilité concernant l’usage ou le mésusage des informations qui y sont présentées.

    Le contenu éducatif de cet article ne constitue aucunement un diagnostic, une prescription, une détermination fonctionnelle, ou le traitement de quelque trouble oculaire ou de santé que ce soit.

    Suite à la prise de connaissance du contenu de cet article, le lecteur est invité à éventuellement consulter régulièrement un ophtalmologue pour  suivre l’état de son système oculaire.

    L’usage que le lecteur peut faire suite à l’utilisation des informations de cet article restent sous son entière responsabilité (c’est le prix de la liberté !).

    Toute personne affectée d’une pathologie ou d’un désordre (manifeste ou suspecté) au niveau des yeux doit consulter un ophtalmologue avant  d’envisager  une des activités évoquées (c’est-à-dire  les variantes du Sungazing).

    NB : il est préférable de ne pas déclarer explicitement à votre ophtalmologue votre intention éventuelle de « sungazer », car il est fort probable qu’il vous en dissuadera formellement  (à moins d’exception rarissime : un ophtalmo-sungazer ! ).

       

    La peur du Soleil

     

    Notre culture humaine, toutes communautés confondues, nous dissuade a priori de contempler directement le Soleil. Dans certaines civilisations/communautés (amérindiens, esséniens), la pratique du Sungazing était réservée à une caste de privilégiés. Les contrevenants risquaient gros

    ( cf http://sunlight.orgfree.com/history_of_sun_gazing.htm)

     

    Depuis le début du XXème siècle se sont cumulés les effets des phénomènes suivants :

    -          révolution industrielle -> exode rural -> déconnexion de la Nature nourricière

    -          émergence des thérapies allopathiques/chimiques, et conjointement le déclin et l’abandon des traitements héliothérapiques en sanatorium.

     

    -          dénaturation accentuée de notre alimentation (dans les pays industrialisés, tout au moins)

    -          promotion du matérialisme, de l’hédonisme, désaffection des traditions spirituelles

    Nos organismes d’êtres humains, transplantés dans l’environnement artificiel constitué par les cités (véritables termitières de béton) se sont tellement distanciés de notre Mère Nature que le Père Céleste-Soleil est à présent perçu comme hostile et dangereux à une majorité d’entre nous.

    Dès notre plus jeune âge, nos parents, nos éducateurs, notre entourage nous inculquent la peur du Soleil, à laquelle ils ont été eux-mêmes conditionnés. Cette peur du Soleil est donc d’abord culturelle, mais elle est repose également sur l’absence de données objectives sur cette pratique. Les nouveaux Sungazers se comportent donc en éclaireurs, ils redécouvrent cette pratique multimillénaire merveilleuse et injustement occultée jusqu’à cette fin de XXème siècle . C’est à eux que revient, implicitement, la tâche d’informer la communauté humaine contemporaine sur les « DOs and DON’Ts » du Sungazing. A cet égard, la consultation des Forums sur le Sungazing sont très utiles.

     

    Tentons une analyse de cette peur, et de ses fondements objectifs.

     
    Exposer sa peau au Soleil ... est-ce dangereux ?

    L’existence du cancer de la peau (le « mélanome malin »...) montre que de toute évidence nous avons des problèmes avec le Soleil (peut être lié entre-autre aux produits que nous mettons sur notre peau, recherche à approfondir). D’où les mises en garde récurrentes des professionnels de la santé recommandant de toujours sortir couverts (vêtements, couvre-chefs, lunettes, crèmes protectrices).
    Cela dit, il faut relativiser : tout le monde ne réagit pas de la même manière à la stimulation des rayons solaires.

    Les individus à la peau mate (riche en mélanine protectrice, ex : les Africains), sont génétiquement adaptés à l’exposition solaire.

    Et même sans prédisposition génétique, un certain degré d’adaptation aux rayons solaires peut être acquis par les natifs des zones tempérées (ex : les Européens). Cette adaptation est facilitée par l’ingestion d’aliments riches en provitamine A (béta-carotène), à la base de la formation de réserves de mélanine.

    L’adoption d’un régime alimentaire « pauvre » en graisses (animales ou végétales) est un facteur important d’adaptation au Soleil. Plus le sang est exempt de graisses, et moins les rayons UV très énergétiques du Soleil seront susceptibles de provoquer des problèmes comme le cancer de la peau.

    Bien sûr, la sagesse et le bon sens recommandent de s’exposer au Soleil progressivement  (adaptation) et avec modération (en commençant aux heures de faible indice UV). Il faut également veiller à bien s’hydrater intérieurement (boire de l’eau pure, avant, pendant et après l’exposition) et extérieurement : douche, bain (piscine/plage/...), brumisation, etc

    Avec l’appui de telles précautions, exposer sa peau au Soleil ne présente AUCUN danger.

    On peut alors bénéficier des bienfaits des rayons solaires (à commencer par la synthèse de vitamine D).

     
    Exposer ses yeux au Soleil ... est-ce dangereux ?

    Les troubles oculaires dûs à une exposition directe des yeux aux rayons solaires sont peu fréquents. Une des raisons en est que la peur de regarder le Soleil est tellement bien incrustée dans notre culture humaine que bien peu de personnes s’y risquent !

    Les cas répertoriés dans les archives d’ophtalmologie incluent :

    - les rétinopathies accidentelles contractées lors de l’observation d’éclipses partielles du Soleil par la Lune (conditions exceptionnelles, atypiques et peu fréquentes)

    - les inflammations de la cornée dûe à l’exposition prolongée aux réflexions solaires sur l’eau de mer,  la neige, ou le sable.

     

    La ré-émergence de la pratique du Sungazing (promu par des maîtres Indiens tels que Hira Ratan Manek et Umasankar) nous invite donc à ré-examiner le problème.

    Car même si l’on n’expose ses yeux que de manière progressive (si on suit le protocole préconisé par HRM), pour de courtes durées, et durant les heures de faible indice UV (lever ou coucher du Soleil), une appréhension légitime existe. L’absence de données ophtalmologiques sur cette pratique incite à la prudence.

    Hira Ratan Manek insiste sur le ressenti personnel, l’écoute de soi vis à vis de la pratique du Sungazing. Si une personne ne se sent pas en confiance, en sécurité face au Soleil, le Sungazing n’est pas pour elle.

     
    De même que pour le Sunbathing (exposition de la peau au Soleil), il faut relativiser : tout le monde ne bénéficie pas du même degré d’ « affinité oculaire » vis à vis des rayons solaires.

    Sans recourir aux prédispositions génétiques, on peut tenter d’expliquer ce degré d’affinité oculaire par la fluidité sanguine de la personne, càd son faible taux de graisse.

    Autrement dit : on doit pouvoir augmenter son degré d’affinité oculaire (et cutanée !) au Soleil en adoptant un régime « pauvre » en graisses, idéalement un régime crudivore végétalien de type 80/10/10 (répartition en pourcentage d’apport énergétique : 80% de glucides, 10% de protéines et 10% de lipides), tel qu’il est préconisé par l’hygiéniste Dr. Douglas Graham.

    Un faible taux de graisse alimentaire entraîne, au bout d’un certain temps (variable selon les circonstances), un « dégraissage » de l’organisme entier, et donc une meilleure prédisposition à l’exposition solaire, tant au niveau des yeux que de la peau.

     
    Une fois que de telles dispositions sont adoptées, on peut (progressivement) augmenter la durée d’exposition, voire même « sungazer » au-delà des heures « sûres » à faible indice UV (toujours en s’appuyant sur le ressenti personnel). Se référer au cas d’Umasankar qui semble pratiquer le Sungazing sans restriction horaire particulière.

     
    Il ne faut pas avoir peur du Soleil, mais il faut se garder des graisses (surtout si elles sont animales et/ou dénaturées)

    Au-delà de l’impatience, du manque de prudence, de l’exposition excessive, l’ennemi principal de l’apprenti Sungazer semble bien être la graisse alimentaire.

    Le gras d’origine animale est a priori plus nocif et contre-indiqué car il est essentiellement saturé, et de surcroit souvent consommé après des traitements dénaturants (la cuisson sous ses diverses formes) qui accentuent sa nocivité (ex : graisse de barbecue, mais aussi blanc d’oeuf : source privilégiée de mauvais cholestérol).  (qu’elle soit d’origine animale ou végétale, saturée ou non).

    Le gras d’origine végétale est aussi préjudiciable s’il est saturé. Ainsi : ne pas abuser de beurre de noix de coco, d’avocat, et de noix (de Grenoble, noisette, sésame, macadamia, amande, pistache, noix de cajou, etc).

    Les graisses hydrogénées (margarine notamment) sont également à proscrire.

    Seules sont « tolérables »  et en quantité très modérée (issues d’un procédé de raffinage mécanique : pression à froid) les huiles à oméga 3-6 (caméline, chanvre, lin doré), pour leurs propriétés anti-inflammatoires (oméga 3).

     

    A titre de complément, on peut se référer également à l’avis d’un expert de la fonction oculaire, l’ophtalmologue américain William BATES.

    William Bates mentionne les bienfaits potentiels de l’exposition directe des yeux aux rayons solaires dans le chapitre XVII d’un de ses remarquables livres : « Une vue parfaite sans lunettes »  - cf http://www.central-fixation.com/perfect-sight-without-glasses/chapter-17.php ).

     

    Toujours en faveur de la relative sécurité de la pratique du Sungazing, on peut citer quelques anecdotes s’y rapportant

     

    -          Expérience de Sungazing forcé sur des prisonniers de guerre américains en Corée (2ème guerre mondiale)
    rapporté par le sungazer Vinny Pinto , sur son site dédié : http://sungazing.vpinf.com/
    dans le paragraphe intitulé : An Interesting Tale from a Former Sungazing Teacher (pour localiser le passage, chercher « Korea »)

    -          La cécité acquise de l’astronome Galilée , qui n’était pas dûe à ses « activités astronomiques » , mais à cataracte et glaucome à l’âge de 72 ans :  http://www.madsci.org/posts/archives/may99/926111004.Sh.r.html

    -          Le risque (bien réel) de rétinite suite à l’observation d’une éclipse solaire (par la Lune) : cf les archives d’ophtalmologie, par exemple : http://archopht.ama-assn.org/

    -          Le cas d’Isaac Newton – se référer à nouveau au site de Vinny Pinto :  http://sungazing.vpinf.com/
    dans le paragraphe intitulé : But How About Galileo, Issac Newton, and Other Early Scientists, Whom it is Claimed Were Blinded by the Sun?

       
    Résumons :

     

    Pour Sungazer sans risques, il faut donc :

    -          S’informer au préalable  de manière la plus complète possible (respect du protocole sécurisé préconisé par HRM (faible indice UV, exposition graduelle, ressenti, etc)

    -          Si on décide d’entreprendre cette pratique : prudence, patience, vigilance (attentif au ressenti)

    -          Pratiquer de préférence à jeun, et réduire le plus possible sa consommation de graisses (de toute nature) -> un degré minimum de pureté physique est préférable. 

    -          S’hydrater suffisamment (ce qui est automatique avec une alimentation crudivore à base de fruits et légumes frais)

    Liste non exhaustive – Ensuite, il demeure à chacun de maintenir le contrôle de sa situation personnelle.

     

    Nous pouvons dissoudre à la peur du Soleil (culturellement acquise/inculquée ou instinctive, vis à vis de l’inconnu/non vécu) par une double  approche :

    -          Prudence Intuitive : se tenir réceptif et attentif aux signaux renvoyés en permanence par notre organisme , face à ce mode de connexion directe au Soleil que nous redécouvrons aujourd’hui. On n’impose pas le Soleil à ses yeux, mais on les lui présente avec humilité et pureté (physique, mentale, émotionnelle, etc).

    -           Raison et Lucidité : se baser sur l’expérience rapportée par les sungazers « seniors »
    (y compris bien sûr HRM, Umasankar, autres), sur des notions de physiologie oculaire, etc.
    Construire patiemment sa propre expérience du Sungazing, comme une aventure en devenir, mais sans prendre de risques inutiles (surexposition en durée, ou hors des fenêtres de faible indice UV,etc).

    Une fois que les rayons solaires ont pénétré notre organisme par les « fenêtres oculaires », les effets qu’ils induisent sur l’ensemble de l’organisme sont a priori bénéfiques. Mais est-ce vraiment le cas en toutes circonstances ? Certains témoignages portent à croire que l’exposition au Soleil déclinant (crépuscule) n’est pas aussi bénéfique que l’exposition au Soleil levant (aube).
    A chacun d’approfondir la question, par son expérience personnelle...

    Une fois la confiance (r)établie avec notre Père Céleste Solaire, tout devient possible, et toute peur disparaît !

     

    Source

     

    Voir également ici

     

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  • 3D Colors

     

     

    Je m’installe confortablement sois assis soit couché sur le dos. Je veille à ce que ma colonne vertébrale soit bien droite, mes yeux sont fermés, les paupières relâchées, les mâchoires complètement détendues ainsi que tout le corps.

     

    A présent j’imagine que je suis environnée d’une légère brume lumineuse, relaxante et confortable. Je me représente un arc-en-ciel et imagine qu’une des couleurs qui le composent s’immisce dans cette brume et la colore. Je choisi la couleur qui a le plus de signification pour moi, celle qui favorise mes émotions et sensations de chaleur, de confort et de bien être.

     

    Ensuite j’imagine que je peux respirer cette brume relaxante. A chacune de mes profondes inspirations, la brume emplit ma tête, mon cou, mes épaules. Elle pénètre par tous les pores de ma peau, dans chaque fibre de ma tête, dans mon cou et dans mes épaules, me libérant de toute tension physiques, de mes pensées refoulées, et de toutes les pollutions mentales qui ont pu se concentrer dans cette zone. A chacune de mes expirations, j’imagine que je rejette toutes ces gênes physiques émotionnelles et mentales, comme si elles allaient se dissoudre dans cette brume lumineuse relaxante, absorbées par la couleur, puis se dissiper dans l’air qui m’entoure comme le font le brouillard, la fumée et les brumes matinales.

     

    Maintenant je dirige ma pensée sur mon buste, ainsi que mes bras et mes mains. J’imagine que cette zone  est complètement immergée dans cette brume lumineuse et colorée, me procurant une sensation de chaleur et de détente. Je la laisse m’envelopper de petites vaguelettes caressantes. Comme précédemment je sens l’oxygène pénétrer en moi par les pores de ma peau. Je sens comme j’évacue les déchets de mon métabolisme, laissant mes muscles et mes tissus parfaitement sais et revigorés. J’imagine maintenant que toute cette zone est régénérée grâce à la douce sensation de chaleur revitalisante de la relaxation profonde.

     

    Je me concentre à présent sur la partie inférieure de mon corps, les hanches, les fesses, le périnée, les jambes et les pieds. A chacune de mes inspirations, j’imagine que la brume lumineuse et relaxante pénètre par mon nombril, puis qu’à chaque expiration, elle se diffuse à l’intérieur de mon corps et l’empli totalement en sa partie inférieure. Je pense aux muscles et aux tissus en train d’être oxygénés et nettoyés. Puis je laisse les respirations suivantes trouver leur rythme naturel et leur degré de profondeur jusqu’à ce que toute cette partie de mon corps éprouve une douce sensation de relaxation, de chaleur et de vitalité, pénétrant jusqu’au fond de moi-même.

     

    Tout comme si ma conscience était l’objectif d’un appareil photo qui me permet de faire le point sur u détail puis sur un autre, je laisse ma conscience « refaire le point » sur les couleurs de l’arc-en-ciel du début de l’exercice et je refonds ces couleurs en un seul jet de lumière brillante et uniforme. J’imagine qu’à chacune de mes respirations la substance lumineuse me pénètre par le milieu de la poitrine puis se propage dans tout mon corps. Je dirige cette lumière puissante, purifiante et harmonisante sur toutes les zones de mon corps qui souffrent d’un déséquilibre et qui ont besoin de soin. J’éprouve cette sensation de mon corps en train d’être guérit de ses maux.  Mon corps est en train de devenir pur et clair comme de l’eau de roche. Je suis un corps de cristal traversé par les couleurs et la lumière de l’arc-en-ciel, et cette énergie lumineuse m’emplit entièrement jusqu’à ce que je ne sois plus moi-même qu’une lumière radiante et une énergie guérissante.  

     

    Régénéré, et relaxé, je me repose en respirant naturellement, recevant sans effort et redonnant à mon tour l’énergie, la lumière, l’inspiration et l’amour. Je visualise cela en pensant aux personnes que j’aime. Cette lumière que j’irradie arrive jusqu’à elle, les aide à relâcher leurs tensions, à calmer leur esprit et à ouvrir leur cœur jusqu’à ce qu’elles éprouvent, elles aussi, une sensation de détente, de douce chaleur et de bien-être.

     

    Je sens ma force et ma vitalité propres, je sens mon équilibre et ma grâce. Je fais en sorte qu’ils deviennent une partie de moi-même pour que, une fois sortie de cette relaxation, de retour à mon état normal et à mes activités quotidiennes, je devienne moi-même une force motrice pour chaque personne que je rencontrerai, participant ainsi à un monde meilleur en étant pleinement dedans.

     

    Maintenant pour sortir de cet état de relaxation, je fais une grande inspiration et je laisse l’expiration se faire toute seule. Je répète cela trois fois. Puis peu à peu je remets le corps en mouvement en bougeant les mains et les pieds, en tournant la tête à droite et à gauche. Je soupire, je baille, je m’étire dans tous les sens. Seulement quand je suis bien réveillé je peux retrouver la position assise.

     

     

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    Extrait du livre Yoga anti-stress de Ina Townsend

     

    (J'ai mis "je" au lieu de "vous").

     

    Ce qui est en rouge peut être rajouté selon le temps dont on dispose ou l'envie.


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    Pris dans ce livre

     

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    Chaque mouvement peut être répété 3 fois de suite. Il est bon de pratiquer ces mouvements quotidiennement et de préférence avant le repas, idéalement le matin au lever suivi d’un temps de méditation assise.

     

    Chaque mouvement se déroule en 3 périodes : inspiration, rétention, expiration.

     

    Sur l’inspiration, tout le corps est tendu pour dynamiser les muscles et les tendons, tonifier les organes et vitaliser tout l’être ; la rétention d’air (retenir sa respiration) se fait au bout de l’inspiration et ne dure que quelques secondes, au cours desquelles le corps prolonge le mouvement de tension par un étirement de tous ses membres ; à l’expiration, tout le corps se détend à l’extérieur comme à l’intérieur.

     

     

    1er mouvement :   

       1.jpg Départ, en position debout, les pieds sont légèrement écartés (écart égal à la largeur du bassin ou à la largeur des épaules), le corps est souple, les genoux légèrement fléchis, les bras le long du corps. Ceci est la position dite «d’enracinement». Je fais trois respirations conscientes. A la respiration suivante, en inspirant, je lève doucement les bras. Je me laisse guider par mon inspire (position maximale : les bras sont à l’horizontale, les mains dans le prolongement de mes bras. J’expire lentement et j’abaisse mes bras. Autre possibilité si je me sens stressé(e) : à l’expir, j’expulse avec force l’air qui est dans mes poumons et je relâche mes bras d’un mouvement « sec ».

     

    2ème mouvement :           

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    Je reste dans la même position. J’inspire de la même manière mais il va arriver un moment où je suis au bout de mon inpir…je force mon inspir et je monte mes bras à la verticale, m’étirant comme si je voulais toucher le ciel avec mes doigts. Je  prends conscience de mon corps dans cette posture, de tous les muscles que je sollicite. J’expire tout doucement et je ramène mes bras à la position de départ. Si je me sens stressé(e)…idem.

     

     

      3ème mouvement :

     

      3.jpgPosition corporelle identique. Je vais ouvrir ma cage thoracique. Pour cela je peux visualiser mon thorax comme une fenêtre que je vais ouvrir sur la campagne pour faire entrer de l’air frais dans mes poumons. Je pose mes mains sur mes épaules. J’inspire et j’ouvre mes bras les amenant à la position horizontale, mes mains sont dans le prolongement de mes bras, paumes tournées vers le ciel. J’expire doucement et je ramène mes mains sur mes épaules.

     

     

    4ème mouvement :

     

    4.jpg

    Dans la même position, je vais décrire avec mes bras 2 cercles qui vont embrasser tout le cosmos. J’inspire en amenant mes bras au dessus de ma tête, j’expire je ramène mes bras latéralement (1er cercle). Mes mains se rejoignent et je recommence mais en envoyant mes mains à l’arrière quand j’inspire (sens inverse, 2°cercle). Mes bras sont au-dessus de ma tête, j’expire, je ramène mes bras par-devant moi.

     

     

    5ème mouvement :

                       .5.jpgJ’installe un écart plus large entre mes pieds ; mes mains sont posées sur mes hanches. Je me penche en avant faisant un angle de 90°. Je vais décrire un cercle avec ma tête et mon torse en partant de la gauche, mobilisant mes articulations du cou, du bassin, des genoux (=genoux fléchis), des chevilles. Le corps est comme un compas : la partie inférieure est enracinée dans la terre, se tenant bien stable sur ses deux pieds ; la partie supérieure est au contraire souple, et la tête représente l’autre moitié du compas, à savoir le crayon qui va dessiner le cercle. Ou encore, le corps est telle une fleur de lotus ; les racines dans la boue, la fleur dessine un mouvement circulaire comme une danse autour du soleil. Le poids de mon corps est sur ma jambe gauche : à l’inspire, j’envoie mon bassin en arrière, je décris un premier demi-cercle, le poids de mon corps est sur ma jambe droite, j’expire en envoyant mon bassin en avant, je me retrouve sur la jambe gauche.  Pour la deuxième partie du mouvement, je vais partir en sens inverse : j’inspire bassin en avant, je suis sur ma jambe droite, j’expire bassin en arrière. Je me retrouve au point de départ ; le poids de mon corps sur la jambe gauche.

     

    6 ème mouvement :

    7.jpgJambes écartées : J’inspire, je monte les bras à la verticale, m’étirant tout du long. J’expire en me penchant en avant, j’enroule ma colonne vertébrale, vertèbre après vertèbre. Je ne fais pas de violence à mon corps. J’essaie de descendre le plus bas possible. Je respecte mon corps en allant jusque là où je peux aller : peut-être poser mes mains à plat sur le sol. Je remonte tout doucement, je reste tendre avec mon corps.

     

     

      7 ème mouvement :

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    Talons joints, les pieds sont en forme de « V ». Je pose mes mains sur mes hanches. J’inspire, je monte sur la pointe de mes orteils. J’expire lentement, je plie les genoux, mon dos reste droit, je suis toujours sur la pointe des pieds, et je descends le plus bas possible tout en restant souriant(e).

     

    8 ème mouvement :

    8.jpgLe poids de mon corps repose sur ma jambe gauche, mes mains sont sur mes hanches. Je recherche l’équilibre dans cette position : mon orteil droit me sert uniquement à maintenir cet équilibre. Quand je me sens stable, j’inspire en soulevant le genou droit, pointe du pied vers le sol. Ma jambe droite forme un angle droit avec mon genou, j’expire, je tends la jambe devant moi, pointe du pied tendue vers le sol.  J’inspire, je ramène ma jambe à angle droit, j’expire, je repose le pied au sol. Je déplace le poids de mon corps sur ma jambe droite, j’installe l’équilibre et je pratique de la même manière avec ma jambe gauche.

     

    9 ème mouvement :

     

                        9.jpg Mouvement identique au précédent quant au postural. Je vais décrire un cercle avec ma jambe droite (travail sur l’articulation de la hanche). J’inspire, je fais un demi-cercle, j’expire je termine le cercle ; ma jambe est à l’arrière. J’inspire en repartant de l’arrière, ma jambe est sur le côté droit, j’expire, je ramène ma jambe par-devant moi, je la pose et je déplace le poids de mon corps sur ma jambe droite pour pouvoir pratiquer avec ma jambe gauche. Le buste tâche de rester droit sans se laisser trop embarquer par le mouvement.

     

      10 ème mouvement :

    10.jpgL’écart avec mes pieds est plus important. Un pied est mis perpendiculairement à l’autre. Ce mouvement va solliciter mon articulation de la hanche, les adducteurs, le genou, les chevilles, mais aussi mon bras (celui correspondant au pied qui est mis à la perpendiculaire). Je me tourne donc sur le côté. En inspirant, je vais lever mon bras pour envoyer toute l’énergie de ma respiration dans l’infinité du cosmos (main ouverte tendue) tandis que je plie le genou ; à l’expir, je ramène toute l’énergie du cosmos que je diffuse dans mon corps pendant que je me redresse. Je répète 3 fois le mouvement sur la même jambe. Puis, je change de pied, de bras, et je pratique de la même façon, le même nombre de fois. 

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    Je reviens à la position d’ « enracinement » du départ. J’apprécie mon corps en étant à son écoute. Je pratique la respiration consciente. Pour finir, je m’incline en signe de remerciement.

     

     

     

    Sources : Ici et

     

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    «Ancrage», «être ancré», « s’enraciner »

    Etre ancré, c’est être connecté à la terre. C’est se sentir relié. C’est sentir cette connexion profonde qui existe entre nous et la terre, et être dans l’acceptation du moment présent.

    Etre ancré, en gros, c’est aussi sortir de ses pensées et prendre conscience de son corps dans son intégralité. C’est donc accepter pleinement son corps tel qu’il est et en prendre soin.

    C’est habiter complètement ce corps qui est le notre et accepter de vivre notre vie ici sur terre.

    Un synonyme de s’ancrer est s’enraciner. S’ancrer, c’est s’enraciner dans le sol, dans la terre, dans le réel, dans la matière, dans le présent, dans l’ici et maintenant…peu importe les noms que vous utilisez.

     

     

    S’ancrer, c’est sortir sa conscience de sa tête … et l’installer dans ses pieds.

    C’est sortir du monde des rêves, des pensées, de l’imaginaire, du spirituel… et revenir dans le monde terrestre, réel, corporel, le monde de la matière. C’est être pleinement là, dans le monde physique.

    Car plus on est dans sa tête, plus on pense.
    Et plus on pense, plus on est dans sa tête.
    Et plus on est dans sa tête, moins on est ancré.
    Et moins on est ancré… moins on est heureux.

     

    L’ancrage et moi

    J’avais découvert cette technique il y a quelques temps, et je l’avais beaucoup pratiqué. Autant vous dire que ma vie s’était grandement amélioré.

    Je me sentais plus en sécurité, j’avais plus de confiance, et j’ai réalisé de beaux projets (telle que la création de ce blog).

    Beaucoup de mes pensées inutiles se sont tues, et j’ai apprécié de plus en plus d’être en paix dans l’instant présent, libéré de toutes ces pensées néfastes (pour apprendre à gérer vos pensées négatives, vous pouvez aussi lire cet article).

    Depuis quelques temps, je n’ai pas pris le temps de pratiquer cette technique, et bien je peux vous dire que je l’ai ressenti. J’ai recommencé à avoir des tonnes et de tonnes de pensées et cela me «chauffait la tête». J’avais beaucoup d’idées, mais je n’arrivais pas à en concrétiser une seule ! Je sentais bien que je devenais moins serein, moins efficace, moins confiant et un peu plus stressé.

    Pourquoi? Car j’étais beaucoup trop dans la tête, et de moins en moins enraciné dans le sol.

     

    A quoi ça sert d’être ancré ?

    Cela peut vous apporter de nombreux bienfaits, comme par exemple :

    • D’avoir moins de pensées négatives
    • De vous sentir plus en sécurité
    • D’être moins angoissé et d’aborder une crise d’angoisse plus sereinement
    • D’être moins fatigué et d’avoir plus d’énergie
    • De régler certains problèmes de déréalisation ou l’impression que l’on devient fou
    • De soulager tout un tas de problèmes tels que migraines, stress, pensées suicidaires
    • D’être serein ici et maintenant, peu importe l’endroit où vous êtes
    • D’être plus confiant et plus positif, peu importe la situation qui se présente
    • De vous sentir à votre place
    • De lacher prise plus facilement
    • D’accomplir plus facilement vos projets, vos rêves
    • De mieux vous sentir dans votre corps
    • D’accepter la vie et de moins lui résister

    La technique de l’ancrage va vous permettre de vous enraciner bien profondément dans le sol, ce qui vous permettra ainsi de ne pas vous faire emporter, chahuter, chavirer… au premier petit coup de vent qui se présente.

    En pratiquant l’enracinement, on développe notre sérénité, notre confiance et notre sentiment de sécurité quel que soit l’endroit où nous sommes ou quelque soit la situation que nous traversons ! On se sent plus confiant, et plus solide sur ses pieds. Il y a vraiment une vie «avec» ancrage, et une vie sans.

    Vous vous souvenez peut-être, dans l’article «moins d’angoisse grâce à l’instant présent», je vous disais de penser à vos pieds. Et bien c’était pour vous faire sortir de votre tête et vous aider à mieux vous ancrer dans le présent.

    Avec la technique de l’ancrage, le but est le même mais on va aller beaucoup plus loin que cela.

     

    Comment faire pour s’ancrer ?

    Alors il y a différentes façons de travailler son enracinement et de ressentir tous ces bienfaits. Donc avant de vous parler de la technique d’ancrage, voici déjà un aperçu de plusieurs activités qui vont vous permettre de vous ancrer plus solidement :

    • Les activités sportives car elles font travailler le corps, élément essentiel de l’ancrage : marche, course …
    • Les amis, l’amour, le rire
    • Les activités de méditation (lire cet article pour apprendre comment méditer), marche en conscience et toute activité effectuée en pleine conscience (telles que les exercices du livre «la sérénité de l’instant»)
    • Les activités artistiques et corporelles : musique, danse, yoga, Taï chi, Qi qong…
    • Toute activité qui prends soin du corps : massage, relaxation, étirements, cuisine saine…
    • Mais aussi et surtout tout ce qui permet un contact avec la nature : ballade en forêt, à la campagne, en montagne, jardinage, se baigner dans la mer, en rivière…

    Vous l’aurez compris : toute activité où le corps et la nature sont impliqués favorise l’ancrage.

    Donc dès que votre activité mentale s’emballe un peu trop, vous avez le choix : sortez vous ballader en forêt, jardinez, faîtes des étirements, riez un bon coup, jouez de la guitare, parlez à votre fleur, allez embrasser un arbre (je ne rigole pas)… et si possible, faites cela en pensant à vos pieds !

    Plus votre conscience est loin de votre tête, plus vous êtes ancré.
    Donc plus vous pensez à vos pieds, et plus vous êtes enraciné.

     

    La technique d’ancrage énergétique par la visualisation

    Tout cela est déjà très efficace mais il y a malheureusement des situations ou cela ne suffit pas… Comment faire quand on est quelque part et où planter une rose ou faire un pas de danse ne sont pas dans nos options?

    Comment faire quand on est en déplacement, au bureau, ou que l’on doit faire une présentation par exemple?

    C’est là qu’intervient la technique d’ancrage énergétique aussi appelé méditation de l’arbre. C’est en fait une simple technique de visualisation mais qui est incroyablement efficace !

     

    Voici la puissante technique que je vous conseille de pratiquer :

    Vous pouvez le faire assis ou debout. L’important est d’avoir les pieds bien à plat sur le sol.

    Vous pieds sont bien posés sur le sol, et créént un contact puissant avec la terre.

    Commencez par effectuer 3-4 mouvements de respiration abdominale pour vous détendre (si vous ne savez pas comment pratiquer cette respiration, vous pouvez commencer par lire cet article).

    Maintenant, les yeux fermés de préférence, vous allez imaginer que des racines sortent de vos pieds et commencent à s’enfoncer dans le sol.

    Ces racines commencent à vous relier très profondément avec le sol. Si vous êtes assis, ces racines partent non seulement de vos pieds mais aussi des pieds de la chaise, de vos chevilles, de vos cuisses…

    Tout en continuant votre respiration profonde, vous imaginez que ces racines vont de plus en plus profondément dans le sol. Elles sont de plus en plus grosses.

    A chaque inspiration, vous visualisez l’énergie de la terre qui remonte en vous. Cette énergie arrive de la terre, passe par vos racines, jusqu’à vos pieds, et remonte en vous.

    A chaque expiration, vos racines s’étendent encore plus loin et encore plus profond vers le centre de la terre.

    Ces racines commencent par englober de plus en plus d’espace, et englobe maintenant votre ville toute entière. Puis votre région tout entière. Votre pays tout entier.

    Vos racines englobent maintenant la terre tout entière et vont jusqu’à son noyau. Vous êtes maintenant parfaitement relié avec la terre. La puissante énergie du noyau de la terre remonte jusqu’à vos pieds, puis jusqu’à votre coeur et vous traverse tout entier. Cela vous nourrit et vous donne de la confiance, de la puissance, et de la sérénité.

    Là, bien enraciné, bien ancré dans le centre de la terre, vous allez y déposer une intention sur quelque chose que vous souhaitez voir apparaitre dans votre vie.

    Par exemple, dans le centre de la terre, vous allez émettre l’intention suivante : « je suis en sécurité, ici et maintenant » (cette intention est très puissante et je l’utilise beaucoup).

    Vous vous sentez maintenant profondément relié avec la terre et en totale sécurité.

                                                                                    _______________________________

    Je vous garanti que si vous faites cette exercice une fois par jour pendant ne serait-ce qu’une semaine, vous allez déjà ressentir de puissants bienfaits.

    Encore une fois, j’insiste sur un point : plus vous le faites, et plus les résultats seront importants. Et faîtes moi confiance, cet exercice est bien plus qu’un simple exercice de visualisation.

    C’est un magnifique exercice qui donne des résultats impressionnants.
    Alors à vous de jouer maintenant!

    Expérimentez, pratiquez et revenez me dire ce qu’il en est ;)

     

    Pour aller plus loin, voici le lien vers un petit livre que j’ai acheté et qui m’a aidé à mieux comprendre l’ancrage, son importance et qui m’a fait découvrir pleins d’autres techniques pour le pratiquer au quotidien :

    L’ancrage énergétique de Mary Laure Teyssedre

    Pris sur ce site



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  • Pour grands et petits!



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    Ce n’est pas en se rassasiant des choses désirées que l’on prépare la liberté,

    c’est par la suppression des désirs.

     

    Épictète

     

     


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