• Cinéma, suite: L'homme sans tête

    La chance de trouver ce court métrage d'une grande beauté en entier.

     

     



     

    Une chambre mansardée ouvrant sur un vaste paysage industriel. Au loin, la mer à perte de vue. Quelques pas de danse sur une mélodie teintée de nostalgie. Un noeud papillon que l'on noue.

    Dans une photo encadrée, le regard brillant de celle qu'il aime. L'homme sans tête se prépare pour son rendez-vous galant. Ce soir, il va déclarer son amour. Pour cela, il a décidé de s'acheter une tête.

    « La semaine du cinéma...Les petits bonheurs »

  • Commentaires

    8
    Lunetta!
    Mercredi 13 Novembre 2013 à 14:17
    Lunetta!

    Vraiment super joli...

    7
    Mercredi 4 Mai 2011 à 09:29
    6
    Samedi 30 Avril 2011 à 18:37
    Miche

    Lolll, j'avais pas vu ça !!!!

     

    5
    Samedi 30 Avril 2011 à 11:44
    4
    Samedi 30 Avril 2011 à 11:44
    Yog' La Vie

    La making of dure 1h!

    3
    Samedi 30 Avril 2011 à 11:42
    Yog' La Vie

    Bonjour Miche!

    Je connais bien ce texte et d'ailleurs il est depuis une dizaine de jours tout en bas de la page d'accueil

    2
    Samedi 30 Avril 2011 à 03:50
    Miche

        Quelques mots de Douglas Harding copiés sur ce site :

    http://www.visionsanstete.com/douglas_harding_biographie.html

    « Le plus beau jour de ma vie –ma nouvelle naissance en quelque sorte- fut le jour où je découvris que je n’avais pas de tête. Ceci n’est pas un jeu de mots, une boutade pour susciter l’intérêt coûte que coûte Je l’entends tout à fait sérieusement : je n’ai pas de tête. Je découvris instantanément que ce rien où aurait dû se trouver une tête, n’était pas une vacuité ordinaire, un simple néant. Au contraire, ce vide était très habité. C’était un vide énorme, rempli à profusion, un vide qui faisait place à tout –au gazon, aux arbres, aux lointaines collines ombragées et, bien au-delà d’elles, aux cimes enneigées semblables à une rangées de nuages anguleux parcourant le bleu du ciel. J’avais perdu une tête et gagné un monde.
    Tout cela me coupait littéralement le souffle. Il me semblait d’ailleurs que j’avais cessé de respirer, absorbé par Ce-qui-m’était-donné : ce paysage superbe, intensément rayonnant dans la clarté de l’air, solitaire sans soutien, mystérieusement suspendu dans le vide, et (en cela résidait le vrai miracle, la merveille et le ravissement) totalement exempt de « moi », indépendant de tout observateur. Sa présence totale était mon absence totale de corps et d’esprit » Douglas Harding "
    Vivre sans Tete" Edition Le Courier du Livre

    1
    Mercredi 27 Avril 2011 à 13:12
    Red La Chouette

    très sympa

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