• A tous mes frères et sœurs pourvus d'une conscience,

     

    Voyez ce qui est fait à notre descendance :

     

    Le chantage de la peur, de la culpabilité,

     

    Quel est leur avenir ainsi conditionné.

     

    Je m’adresse aujourd’hui à tous les volontaires

     

    Qui n’ont pas encore cédé à la folie sanitaire.

     

    Ils nous sortent le grand jeu,

     

    Cherchent à nous avoir,

     

     

     

    NE NOUS LAISSONS PAS FAIRE

     

    DEMAIN IL SERA TROP TARD

     

     

    Tous ensemble, unissons nos voix

    A nos enfants on ne touche pas

     

    Pas de pass pour l’humanité

     

    Nous reprenons notre liberté

     

    Tous ensemble, unissons nos voix

     

    A nos enfants on ne touche pas

     

    De ce machin on n’en veut pas

     

    Pour nos enfants, pour la vérité

     

    Rien ne pourra nous arrêter

     

     

     

    Liberté conditionnelle, liberté conditionnée

     

    Par le pass sanitaire, aujourd’hui même pour manger

     

    Par la piqûre magique, seul sésame autorisé,

     

    Pour faire tourner la pompe à fric, on nous a lobotomisés.

     

    L’illusion est si grande, instrumentalisée,

     

    Tous nos droits naturels nous ont été subtilisés.

     

    Mais nous voyons le mensonge de la personnalité,

     

    Nous savons à présents que nous sommes réveillés.

     

     

     

    Tous ensemble, unissons nos voix

     

    A nos enfants on ne touche pas

     

    Pas de pass pour l’humanité

     

    Nous reprenons notre liberté

     

    Tous ensemble, unissons nos voix

     

    A nos enfants on ne touche pas

     

    De ce machin on n’en veut pas

     

    Pour nos enfants, pour la vérité

     

    Rien ne pourra nous arrêter

     

     

     

    La société de demain ne sera plus privée,

     

    Privée de l’essentiel, son humanité.

     

    Elle portera les valeurs dont nous avons rêvé :

     

    Le bonheur de tous les enfants, la paix, la liberté,

     

    Prenons cet engagement solennel aujourd’hui,

     

    Celui de résister au prix de notre vie

     

    L’avenir de nos enfants ne se négocie pas,

     

    Nous sommes l’humanité,

     

    On ne se soumet pas.

     

     

     

    Tous ensemble, unissons nos voix

     

    A nos enfants on ne touche pas

     

    Pas de pass pour l’humanité

     

    Nous reprenons notre liberté

     

    Tous ensemble, unissons nos voix

     

    A nos enfants on ne touche pas

     

    De ce machin on n’en veut pas

     

    Pour nos enfants, pour la vérité

     

    Rien ne pourra nous arrêter

     

     

     

     


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    Un jour, être pauvre,
    Détaché de tout
    Sans pleurer de rien,
    Sans rire de tout,
    Comme un enfant qui repose
    Dans la vérité des choses.
    S'écarter de tout, sortir,
    Se tenir debout
    Comme un enfant sort du ventre et hurle,
    S'écarter de tout.

    Un jour, être pauvre,
    Détaché du reste,
    De l'autre coté du mur.
    Pas le moindre geste,
    Pas la moindre trace de haine,
    Pas la moindre trace de fêlure, trace de brûlure,
    Le moindre sentiment d'oubli.
    De l'autre coté du mur,
    Pas la moindre trace de fêlure, trace de brûlure,
    Le calme au fond du lac.

    Un jour, être pauvre
    Sur un quai désert,
    Etre un bateau vide.
    Tout le monde à terre.
    Comme un enfant qui repose
    Dans la vérité des choses,
    S'éloigner de tout, apprendre
    A tenir debout
    Sur la mer immense et douce, apprendre,
    A tenir debout

    Gérard Manset


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  • Quand il n'y aura plus de neiges éternelles

    Quand il aura tant plu que même les coccinelles

    Auront perdu leurs tâches, il faudrait que je sache

    Quand les pins parasols n’auront plus que leurs ombres

    Pour dessiner au sol les siestes vagabondes

    Les parties de cache-cache, il faudrait que je sache

     Quand il n'y aura plus de neiges éternelles

    Quand on aura tout vu l’entrée du grand tunnel

    Juste avant le grand flash, il faudrait que je sache

    Quand il n’y aura plus que des vents en colère

    Des thermomètres en crue et partout le désert

    Sous les cieux Caran d’Ache, il faudrait que je sache

    Il faudrait que je sache si un nouveau Noé

    Quelqu’un dessine une arche et s’il entend laisser

    Les hommes sur le pavé

    Quand il n'y aura plus de neiges éternelles

    Quand on aura out bu la honte et l’hydromel

    Avant que je me fâche, il faudrait que je sache

     Quand on aura fané des millions d’immortelles

    Envoyé promener les dernières hirondelles

    Au pays des Apaches, il faudrait que je sache

     Il faudrait que je sache si un nouveau Noé

    Quelqu’un dessine une arche et s’il entend laisser

    Les hommes sur le pavé ou tout recommencer.

     

     

     


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  •  

    France,
    Je suis né plus loin, beaucoup plus loin qu'on pense.
    C'est à Saïgon que j'ai eu mon enfance
    Et ma mère, là-bas, le disait doucement,
    Le mot France,
    Le mot France.

    France,
    Le temps s'est enfui mais je le sais depuis :
    Il suffit d'être loin ou seulement d'être seul
    Pour avoir le cœur serré quand on entend
    Le mot France,
    Le mot France.

    France,
    Elle était institutrice, et, au lycée,
    On a rencontré ces mots dans nos dictées.
    Ecrivez maison, justice et liberté,
    Espérance,
     

    Il y avait
    Il y avait aussi, plus tard, je l'ai appris,
    Et révolutions et passions et violences
    Et misères et flammes et guerres et drames
    Mais France,
    C'était les rivières et mes montagnes bleues.
    C'était les clairières et les enfants heureux,
    Des châteaux, des blés, des champs, des roses,
    Tant de choses, en France.

    France,
    Le temps s'est enfui mais je le sais depuis :
    Il suffit d'être loin ou seulement d'être seul
    Pour avoir le cœur serré quand on entend
    Le mot France,
    Le mot France,
    France.

     


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  • danseuse-rouge.jpg

     

    Elle a la joie de vivre

    Qui transpire de sa peau

    Elle a les yeux qui brillent

    Qui vous enlèvent la peau

     

    Elle a la voix qui sonne

    Toutes les générations

    Elle a des mots  qui donnent

    Donne  la transgression

     

    Elle a un corps qui danse

    Qui file des frissons

    Elle vous apprend la transe

    Elle vous rend la passion

     

    Elle est la femme des femmes

    Qui rend fière du buisson

    Elle est comme une flamme

    Et toutes à l’unisson

     

    On s’échappe de sa gorge

    Comme d’une explosion

    Quand elle gronde les orgues

    Sans demander pardon

     

    Elle a la joie de vivre

    Qui transpire de sa peau

    Elle a les yeux qui brillent

    Qui vous enlèvent la peau

    Julie B. Bonnie

     


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  • 6a0115701061b3970c013486aa7451970c_800wi  

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    Je l'admire veut peut-être dire

    Que j'aimerais lui ressembler

    Que sa présence m'attire

    Que sa voix me fait trembler

     Çela veut dire aussi

    Qu'on peut encore me toucher

    Quand je vois son visage qui sourit

    J'ai envie de l'approcher

     Je l'admire ça signifie toujours

    Un sentiment qui mélange l'amour

    La peur, l'envie et la timidité

    Qui remplit mon intimité

     Je cherche toujours à admirer

    Ça m'écrase d'humilité

    Exister dans quelqu'un d'autre

    Me redonne la paix

     Julie B. Bonnie accompagnée de Gaêtan Roussel

     

     

     


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  • http://www.justacote.com/photos_entreprises/au_bain_de_douceur_saint_fargeau_ponthierry_1244461740.jpg

     

    "Voyez comme il est bon comme il est doux
    D'habiter en frère tous ensemble
    C'est comme une huile de prix sur la tête
    Qui descend sur la barbe, sur le col des vêtements,
    C'est comme une rosée
    Qui descend des montagnes.
    là est la vie à jamais,
    là est la vie à jamais."

    Psaume 133 chanté par Julos Beaucarne


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  •  

    I Saw You
    and became silent
    no words to say
    nobody left to speak

    I Saw You
    and became empty
    this emptiness
    more beautiful than existence

    Comes a Time
    when nothing is meaningful
    except
    surrendering to Love.

     

    de l’album Mirror of the Heart, paru le 15 juillet 2013
     
     
     

    I saw you and became empty.
    This emptiness, more beautiful than existence,
    it obliterates existence, and yet when it comes,
    existence thrives and creates more existence.

    To praise is to praise
    how one surrenders to the emptiness.

    To praise the sun is to praise your own eyes.
    Praise, the ocean. What we say, a little ship.

    So the sea-journey goes on, and who knows where?
    Just to be held by the ocean is the best luck
    we could have. It is a total waking-up.

    Why should we grieve that we have been sleeping?
    It does not matter how long we've been unconscious.
    We are groggy, but let the guilt go.

    Feel the motions of tenderness
    around you, the buoyancy.

    Rumi

     



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  • Adjunna Héh Da Hey Yamuhara

     Kuruma Shimaya Ladera

     


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