Intéressant puisqu'on peut pratiquer en même temps au même rythme.

 

Suite aux commentaires de la respiration au carré

 

 

HO'OPONOPONO est un art ancien hawaïen de guérison qui veut dire "pour faire bien, pour rectifier une erreur" . Il permet le dégagement et la résolution de problèmes. Il est utilisé pour être en harmonie avec les personnes avec lesquelles on est en relation, y compris nos ancêtres. Lorsque l'on rencontre des difficultés dans notre vie, des peurs, en y regardant de plus près, on s'aperçoit que la cause en est une mémoire à laquelle sont attachées des émotions ; ces mémoires passées nous affectent aujourd'hui, car elles sont associées de façon subconsciente à une action, une personne dans notre présent, reliées à quelque chose qui s'est déroulé dans notre passé ; c'est alors que surgissent les problèmes psychologiques, les maladies, les difficultés.
 

 

L'HO'OPONOPONO nous permet de nous relier avec notre divinité intérieure et d'apprendre à demander qu'à chaque moment nos erreurs de pensées, nos mots, nos contrats ou actions soient nettoyés. Le processus a pour but de nous libérer entièrement du passé, en prenant conscience que ce qui se déroule à l'extérieur n'est qu'une projection de ce qui est à l'intérieur de nous et qui demande à être vu avec un autre regard et qui cherche la résolution, la guérison de notre part. En fait il n'est nul besoin d'analyser, de résoudre, de contrôler ou de faire face aux problèmes - puisque la divinité en soi a tout créé, il suffit de s'adresser à elle pour que les corrections et le nettoyage se fasse.
 

 

Cette méthode a été employée par le Dr Ihaleakala Hew Len qui a travaillé durant 4 ans comme thérapeute dans un hôpital d'Hawaîi dans une salle réservée à des malades mentaux criminels dangereux - Dans ce service, dont les conditions de travail étaient très pénibles, les psychologues et le personnel étaient souvent en arrêt maladie ou démissionnaient, les gens marchaient dos au mur de peur de se faire agresser.
Le DR Len ne voyait jamais les malades, ne leur parlait pas ; il allait dans son bureau et regardait les dossiers et à mesure qu'il travaillait sur lui-même, les patients ont commencé à guérir (ceux qui avaient des entraves furent autorisés à marcher librement, ceux qui avaient de gros traitements ont pu commencer à abandonner les médicaments, ceux qui n'avaient aucune chance d'être libérés furent relâchés);Le personnel revint travailler avec plaisir, il n'y eut plus d'absentéisme. Les patients furent progressivement relâchés et la salle en question est à présent fermée. Extraordinaire, non !!
Comment cela fonctionne-t-il ? Pour le dr Len le monde est une réflexion de ce qui se produit à l'intérieur de nous. Si l'on éprouve un malaise, un déséquilibre, l'endroit à regarder est à l'intérieur de nous-même et non pas à l´extérieur sur l'objet que l'on perçoit comme étant le problème - tout déséquilibre peut être corrigé juste en travaillant sur soi. Le monde entier est notre création. Tout dans notre vie, simplement parce que c'est dans notre vie est de notre responsabilité. Ce n'est pas facile à croire, il est plus facile de se plaindre ou de rejeter la faute sur les autres et de passer pour une victime, mais en assumant la totale responsabilité de notre vie, alors tout ce que l'on voit, entend, goûte, touche ou expérimente de quelque manière que ce soit est de notre responsabilité. Cela signifie que les activités terroristes, le président, l'économie - quoi que ce soit que vous expérimentez et que vous n'aimez pas -, c'est à vous qu'il revient de les guérir. Ils n'existent, pour ainsi dire, que comme des projections venant de l'intérieur de vous. Le problème n'est pas le leur, il est vôtre et pour le changer, vous avez à vous changer. Pour le Dr Len et dans le Ho'oponopono cela signifie s'aimer soi-même. Si vous voulez améliorer votre vie, vous devez guérir votre vie. Si vous voulez guérir quelqu'un - même un criminel malade mental - vous le ferez en vous guérissant.
Que faisait le Dr Len en consultant ses dossiers ? Il répétait "je suis désolé" "je vous aime" merci (encore et encore) tout simplement je suis désolé, pardonne-moi : vous dites ceci pour reconnaître que quelque chose (même si vous ne savez pas ce que c'est) est entré dans votre système corps-esprit - vous ne savez pas comment c'est arrivé (et vous n'avez pas non plus besoin de le savoir) et continue à se manifester à l'extérieur. Par exemple, dit Joe Vitale, si vous êtes trop gros, vous avez simplement attrapé le programme qui le créé de cette manière ; en disant "je suis désolé", vous dites au divin en vous que vous souhaitez le pardon à l'intérieur de vous, de même pour celui qui vous l'a apporté. Vous ne demandez pas au divin de vous pardonner, mais de vous aider à VOUS pardonner. De là vous dites "je t'aime" "merci", cela permet à l'énergie bloquée de couler. Elle vous rebranche au divin. L'HO'OPONOPONO contient tout, demander le pardon n'est pas seulement pour la vie actuelle, mais pour toutes celles qui ont précédé cette famille et celles de nos ancêtres. L'HO'OPONOPONO nous offre un cadeau de la paix et de l'unité en libérant ce qui ne résonne pas avec soi.
 

 

Ihaleakala Hew Len conseille aux thérapeutes, dans leur travail de demander l'amour pour décommander les erreurs dans leur esprit qui se présentent comme problèmes chez leurs clients. Il dit que lorsque quelqu'un vient vous voir en tant que thérapeute avec une longue liste de problèmes et de symptômes, c'est votre responsabilité ; les erreurs dans votre esprit sont celles qui apparaissent chez vos clients. Au cours de nos incarnations, ceux qui présentent des douleurs ont causé beaucoup de peine. Nous sommes attirés afin de nous donner l'occasion de nettoyer ; c'est pas facile mais au moins avec l' HO'OPONOPONO on a le moyen de rectifier . On ne se concentre pas sur les résultats dont nous ne sommes pas responsables. Le Dr Len fait le dédommagement pour tout ce qui croise son chemin. Nous ne pouvons aimer qui que ce soit jusqu'à ce que nous nous aimions et nous honorions. " Dans le mariage de la responsabilité et de l'amour totaux, les problèmes sont résolus, la santé est reconstituée, et la vie remplacée".
 

 

Le Dr Ihaleakala Hew Len est un "guérisseur spirituel" qui pratique l'HO'OPONOPONO
Comment pratique un guérisseur spirituel : il écoute les gens qui viennent vers lui lui conter leurs vieilles peurs, maladies, émotions, croyances, expériences. Les expériences jaillissent de leurs coeurs et alors la magie opère.
Dans un second temps il adresse à l'étincelle divine présente en chacun de nous, sa prière : "JE SUIS DESOLE, JE TE DEMANDE PARDON, JE T'AIME, MERCI" (arrangement particulier de Joe Vitale) ; les termes peuvent être arrangés selon le choix de chacun. Quand ces mots franchissent vos lèvres ou voguent vers votre esprit, une transmutation s'opère : les sentiments et pensées inconfortables qui vous ont inspirés à faire cette prière sont effacés de la matrice de notre conscience collective,tous les chemins passés de notre histoire, toute la laideur stockée depuis longtemps - C'est si simple que tout le monde peut le faire.
 

 

L'HO'OPONOPONO offre un outil puissant qui permet d'épurer et neutraliser tout ce que nous voyons, ressentons ou toute expérience avec laquelle on ne résonne pas. l' HO'OPONOPONO libère l'énergie des pensées douloureuses qui causent le déséquilibre et la maladie, sans avoir besoin de connaître ou de comprendre la cause pour en obtenir la clarification
 

 

LA responsabilité se trouve juste là dans la description de notre existence. Cette vie nous appartient et nous ne voyons le monde qu'à travers nos existences ; il existe à travers nos yeux et le filtre de notre esprit. Nous sommes responsables de ce que nous voyons et expérimentons, d'après le Dr Len à 100% et donc il nous incombe de corriger l'erreur. C'est un concept commun de la tradition orientale, en Chine et au Japon de clarifier les relations avec les ancêtres, avec nos relations, les parents et de la sorte d'anciens schémas ne sont plus transmis de générations en générations. tout est présent dans notre vie actuelle. Nous devons utiliser l'amour pour rectifier, transmuter et purifier des erreurs chez nous
"Je suis désolé, veuillez me pardonner" pour tout ce qui en moi est encore présent et se manifeste comme un problème extérieur. En transmutant dans la lumière toute négativité nous ne polluons plus l'univers avec les ordures rejetées.

 

 

SOURCE

 

Autre source (ensemble du site très intéressant)

 

 

 

 

 

 

Extrait de "L'énergie par le yoga"

 

 

 

En ces périodes de froid, mais également à cause du stress ou trop d'ordinateur, nous nous crispons en rentrant les épaules. Voilà une séance pour en prendre conscience et les détendre, ce qui évitera les douleurs.

 

Ne pas oublier la respiration consciente et la détente entre chaque exercice.

 

 

 

La Capeline rouge de Claude Monet (1868)

 

 

 

Artiste dunkerquois

 

 

 

 

Je me demande si cela m'est déjà arrivée de me retrouver seule le soir. Sur les cinq Yog, il en reste toujours au moins un, mais ce soir, niet! Je croyais que Yogtrois rentrait de Pologne cet après-midi....et non, c'est demain. Mr Yog est au salon de l'environnement à Lyon et Yogdeux devient de plus en plus indépendant avec son petit chez lui (un indice: il vient de s'acheter un lave-linge ).

Quand Yogtrois était en CM2, il était allé en classe de neige. Quelques années après il me disait: "Je me souviens que juste avant de partir en classe de neige, je t'avais dit que j'aimerais bien un hachis parmentier pour mon retour et je me rappelle que tu l'avais fait". Donc ce matin avec ce souvenir, j'ai fait du hachis parmentier pour son retour, dans des petits plats individuels. Et ce soir, en rentrant du yoga, dans cette maison silencieuse, j'ai réchauffé un seul petit plat que j'ai mangé sur mes genoux, devant un DVD dont je n'ai vu qu'un 1/4 d'heure...une histoire de moines tibétains et de coupe du monde. Bof!

 

 

 

Il neige, il neige. J'ai mis presque une heure pour faire 20 km. Au moindre coup de frein, la voiture partait en glissade. Sans téléphone et toute seule, ce n'était pas vraiment le moment d'atterrir dans un fossé.

 

Au cours de yoga nous n'étions que trois, prof compris Il écrit de mémoire un mantra sur des feuilles et nous voilà partis à chanter. Ensuite une longue méditation devant un mandala dont il m'a donné le modèle pour que je le photocopie. C'est la première fois que je fais cette expérience. Fixer le point central. Au bout d'un moment, les motifs ont l'air de bouger, de prendre du relief, de s'assombrir ou de s'éclaircir, à tour de rôle certaines parties ressortent et s'effacent... Malgré tout les pensées en chassent d'autres. Ah, les  fameux "singes qui sautent de branches en branches"! Revenir sans cesse.

 

 

 

Quel silence. Pas un seul bruit de basse.

Hier, au cours que je donne, les deux dames les plus âgées arrivent toujours en avance pour se retrouver et discuter dans les vestiaires. L'une me dit qu'elle vient au yoga le mardi matin et le mardi soir parce que ça l'occupe. Elle est seule et l'hiver, le soir, c'est encore plus difficile. On peut bien avoir une télé ou internet, les rencontres humaines sont tout de même irremplaçables.

 

La semaine dernière, j'avais mis au milieu de la salle des petits papiers. Au recto, une définition du yoga  et au verso un texte d' Alexandre Jollien sur la comparaison. Les raisons en sont que j'ai remarqué certaines confusions exprimées du fait que l'intervenant précédent -Jacques- faisait ce qu'il appelait du "yoga stretching" et que par ailleurs des élèves vont plus loin que leurs possibilités dans les postures et ne sont donc plus dans le yoga mais dans la compétition. N'ayant pas le temps de faire de la pédagogie, ni envie de donner des leçons, c'est un moyen, pour celui qui est en mesure d'entendre de prendre conscience à petits pas, du "but" de la discipline. Finalement, hier, avant l'heure, on m'a dit que "ça faisait réfléchir". Je ne sais si c'est le hasard, mais lorsque j'ai proposé paschimottanasana avec deux méthodes pour y arriver, chacun a choisi la plus simple.

Samedi après-midi, j'ai fait un petit stage avec F.,une enseignante de yoga qui se trouve être la compagne de mon prof et que je vais remplacer prochainement.  Voila  qu'elle m'a donné la bonne formule pour que les élèves prennent les postures sans se faire mal mais également sans que la notion de "niveau" soit abordée. C'est: "Faites la posture avec le corps que vous avez aujourd'hui". Pas mal non?

Hier, j'ai fait faire presque toute la séance avec les postures en dynamique puis en statique. F. me disait que les postures en statique évite la dispersion du mental. Il est vrai que se concentrer sur le mouvement en synchronisant la respiration oblige à rester présent. Mon côté puriste en prend un coup mais chez moi, pour chasser cette frustration, je peux faire ce qui me plaît.

 

 

Sur ce blabla de comptoir, j'y vais....

Au moins demain, pas de cuisine à faire, les petits plats nous attendent au frais.

Bonne nuit aux solitaires amis qui se reconnaitront!

En cas d'insomnie, vous pouvez toujours vous y essayer.

 

 

 

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C'est au "Kasteelhof", ça se trouve à Cassel!

Au sous-sol, une boutique avec tous les produits régionaux.

 

....en même temps que les photos vous pouvez lire cette histoire.