• Fâcheuse mémoire

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    Lac du Val Joly (Nord)

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  • Commentaires

    6
    naradamuni
    Mercredi 13 Novembre 2013 à 13:39
    naradamuni

     

    Froissements...

    A la caisse d'un super marché une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui a alors reproché de ne pas se mettre à « l'écologie » et lui dit:
    "Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources!"
    La vieille femme froissée s'est excusée auprès de la caissière et a expliqué: " Je suis désolée, nous n'avions pas de mouvement écologique dans mon temps."

    Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta:
    " Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps! "

    La vieille dame admît qu'à l'époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    De son temps, on montait l'escalier à pied: on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu'à l'épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    À l'époque, on lavait les couches de bébé; on ne connaissait pas les couches jetables. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000watts à l'heure. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.
    À l'époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sœur à l'autre. C'est vrai ! on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    À l'époque, on n'avait qu'une TV ou une radio dans la maison; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Texas.
    Dans la cuisine, on s'activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.
    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servies, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
    À l'époque, on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon; on n'avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées.
    À l'époque, on travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, vous avez raison: on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    À l'époque, on buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif; on n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu'on voulait prendre de l'eau.
    On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    À l'époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.
    À l'époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui."
    ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE

    La vieille dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l'environnement.

    Au plaisir des infroissables!


    Écologistes, toute une réflexion!!!

     

     

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    5
    Mardi 26 Juillet 2011 à 22:36
    Yog' La Vie

    En somme, plus il y a de médecins, plus il y a de malades....


    Si tu es né dans les années 40, 50, 60 , comment as-tu survécu ?!??

    Les voitures n'avaient pas de ceintures de sécurité, pas d'appuie-tête et bien sûr pas d'airbags. Sur la banquette arrière, c'était "rigolo" et pas "dangereux". (relisez dans une des bandes dessinées de Snoopy: un des enfants explique à l'autre ce que c'est être enfant: "c'est quand on rentre le soir en voiture de pouvoir être couché tranquillement sur la banquette arrière pendant que papa et maman s'occupent de tout; et une fois qu'on sera adulte plus jamais ce ne sera comme ça" - plus jamais ? demande l'autre - plus jamais, répond le premier, alors l'autre enfants se met à trembler et dit au premier : "serre-moi fort !") maintenant ...

    Les barreaux des lits et les jouets étaient multicolores ou du moins vernis avec des peintures contenant du plomb ou d'autres produits toxiques.

    Il n'y avait pas de sécurité enfant sur les prises électriques, portières de voitures, médicaments et autres produits chimiques ménagers.

    On pouvait faire du vélo sans casque. C'est quoi c'truc ? Une cuirasse peut-être aussi ? Et pour aller travailler à pied il faut quoi ? Une tenue de joueur de football américaine? Et ne me parle pas des escaliers au bureau... il faut mettre un casque aussi là ? Des fois qu'un dossier vous tomberait sur la tête ? Qui est-ce qui est tombé sur la tête là? J'hallucine !

    On buvait de l'eau au tuyau d'arrosage, à une fontaine ou à n'importe quelle autre source, sans que ce soit de l'eau minérale sortie d'une bouteille stérile (et recouvert de bisphénol A (toxique)! )...

    On construisait des caisses à savon et ceux qui avaient la chance d'avoir une rue asphaltée en pente devant chez eux pouvaient tenter des records de vitesse et se rendre compte à mi-chemin que les freins avaient été oubliés... Après quelques accidents, le problème étaient en général résolu !

    On avait le droit de jouer dehors à la seule condition d'être de retour avant la nuit.

    Et il n'y avait pas de portable (producteurs de radiations micro-ondes) et personne savait où l'on était et ce qu'on faisait...Incroyable !

    L'école durait jusqu'à midi, on pouvait rentrer manger à la maison. (c'est évident ! pourquoi ? Il y en a qui sont enfermés même le midi comme dans une caserne ? !)

    On avait des écorchures, des fractures et parfois même on se brisait les dents, mais personne n'était mis en accusation pour ça. (Eh oui on n'était pas dans un état policier, l'Europe occidentale c'était encore "Le Monde Libre") Même quand il y avait une bagarre, personne n'était coupable à part nous-mêmes.

    On pouvait avaler des tonnes de sucreries, des tartines avec des tonnes de beurre et boire des boissons avec du VRAI SUCRE, mais personne n'avait de problèmes d'excès de poids, car nous étions toujours dehors. (Et il n'y avait pas d'aspartame (toxique) ni de traitement agricoles (toxiques) ni d'additifs autorisés "européen" (toxiques), peu de microparticules diesel (cancérigènes), ni d'uranium apauvri (cancérigène))

    On pouvait se partager une limonade dans la même bouteille sans risquer d'attraper des maladies.

    Nous n'avions pas de Playstation, Nintendo 64, X-Box, jeux vidéo, 99 programmes de TV sur câble ou satellite, pas de vidéo, de Dolby surround, de portable, d'ordinateur, de chat room en amerlocque dans texte, sur Internet, mais nous avions... des amis ! (et si on n'en avait pas on pouvait rêver).


    On pouvait sortir, à pied ou en vélo pour aller chez un copain, même s'il habitait à plusieurs KM, frapper à la porte ou simplement rentrer chez lui pour le prendre pour jouer avec nous. Dehors, oui dehors dans le monde cruel ! Sans surveillance ! (eh oui on n'était pas en prison) Comment cela a-t-il pu être possible ?

    On jouait au foot avec un seul but et si l'un d'entre nous n'était une fois pas sélectionné, pas de traumatisme psychologique, c'était pas la fin du monde !

    Parfois un élève peut-être un peu moins bon que les autres devait redoubler. Personne n'était alors envoyé chez les psychologues ou pédopsychiatres. Personne n'était dyslexique, hyperactif ou avait des "problèmes de concentration". L'année était redoublée, (ce qui est de loin la meilleure des solutions) et chacun avait les mêmes chances que les autres.

    Nous avions des libertés, des échecs, des succès, des devoirs et des tâches... une vie quoi ! Et nous apprenions à vivre avec.

    La question du jour est donc:


    Mais comment avons-nous survécu?
    Comment avons-nous pu développer notre personnalité ?



    A voir:

    FAIRE SA REVOLUTION : http://vimeo.com/3925987


    L'An 01 : http://www.fedbac.tv/film-6013.html

    Article envoyé ni + ni - par un internaute


    Par Marie Rêveuse - Publié dans : Comment va le monde - Communauté : partage
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    4
    Lundi 25 Juillet 2011 à 09:28
    Yog' La Vie

    Et ça peut se froisser et se défroisser de mille façons dans une journée...selon d'autres bons ou mauvais froissages.

    3
    Lundi 25 Juillet 2011 à 09:26
    Yog' La Vie

    Tout ce que tu vis, est réel au présent mais n'est qu'illusion puisque ça ne dure pas. Ce qui dure c'est juste  le refrain dans la tête.

    Bon, ben, belle semaine tout de même!

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    2
    Lundi 25 Juillet 2011 à 08:44
    Miche

     

    Oui, c’est donc que les froissements sont sans fondement...

    1
    Lundi 25 Juillet 2011 à 08:02
    Annick

    Pff.. et tu crois que je suis capable de réfléchir à ce genre de choses, un lundi matin gris, avec la perspective d'une semaine de boulot devant moi

     

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