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La jeunesse
La jeunesse ne dépend pas du petit nombre des années, mais de la capacité de croître et de progresser. Croître, c'est augmenter ses potentialités, ses capacités; progresser, c'est perfectionner sans cesse les capacités que l'on possède déjà. La vieillesse ne vient pas du grand nombre des années, mais de l'incapacité ou du refus de continuer à croître et à progresser. J'ai connu des vieillards de vingt ans et des jeunes gens de soixante dix ans. Dès que l'on veut s'installer dans la vie et profiter des efforts passés, dès que l'on pense avoir fait ce que l'on devait faire et accompli ce que l'on avait à accomplir, en un mot dès que l'on cesse de progresser, d'avancer sur le chemin de la perfection, on est sûr de reculer et de vieillir.
Au corps aussi, on peut apprendre qu'il n'y a pour ainsi dire aucune limite à sa croissance en capacités, et à son progrès, pourvu que l'on découvre la vraie méthode et les vrais conditionnements. Telle est une des nombreuses expériences que nous voulons tenter, pour rompre les suggestions collectives et montrer au monde que les possibilités humaines dépassent toute imagination.
Mère, le 2 février 1949 ( Extrait du livre "Le yoga et la santé" Editions ADI SHAKTI)
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Commentaires
28graux danielleMercredi 13 Novembre 2013 à 13:32tout a fait d accord avec le proverbe chinois de lungta "chaque COLERE est un coup de vieux et chaque sourire un coup de jeune"
ce n est pas les années passées qui font de nous ce que nous sommes c est bien sur notre etat d ESPRIT!!!!.
27graux danielleMercredi 13 Novembre 2013 à 13:32moi je dirait plus j avance et plus j ai l impression de devenir jeune,et cest vrai en pluche !!!
BISES.
(les vacances approchent)
Très vieux?!!! 120 ans?
Les carottes, ça donne bon teint. C'est d'ailleurs ce qui m'arrive avec mes jus.
Ce n'est pas évident à concevoir quand on a pas été construit, voir détruit, que les rêves n'ont pas encore été réalisés. Il faut parfois un temps de latence, voir de souffrance, et enfin d'émergence pour pouvoir le reconnaitre enfin.
J'ai un livre de Catherine Barry.
"Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force. Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre.
Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même."
Tecumseh (Chef des Shawnees)
Les bouddhistes disent que la vie humaine est le bien le plus précieux dont nous disposons. Rares sont ceux que savent apprécier l'importance de ce trésor qui est en leur possession et encore plus rares ceux qui pensent à remercier pour ce cadeau. Cela parce que nous avons d'une part en général une idée haute et égocentrée de notre statut d'être humain et d'autre part parce que nous oublions que nous sommes mortels, ce qui nous conduit, de fait, à gaspiller le temps et les capacités qui nous ont été donnés en naissant.
Pourtant, si comme ce chef indien nous apprenons tous les matins à remercier l'existence pour ce stupéfiant et miraculeux cadeau qu'est la vie, pour la joie d'être accompagnés par des êtres que l'on aime, pour les merveilles qui nous entourent, pour les épreuves que nous rencontrons et qui nous font "grandir" et, qui sont autant d'occasions d'aller vers plus de paix et de sérénité..., si nous remercions ainsi, nous constaterons qu'une vraie douceur et tendresse grandit en nous et que peu à peu nous devenons plus heureux.
C'est un exercice simple qui demande peu de temps mais dont la force et l'impact sur notre esprit, notre mental et notre quotidien sont considérables.
Catherine Barry.
Quant au corps il faut s'en occuper quasi quotidiennement afin de rester autonome le plus longtemps possible.La question est de savoir comment l'on vit ces limites et ses habitudes. Je crois que l'on peut être bien dans un certain rituel, si on en a pris la décision. Dans ce cas, on évolue car la conscience est présente. Ce qui n'est pas à confondre avec le "faire" routinier et obligatoire dont on se plaint si souvent.
Si l'on se plaint de sa vie, il faut l'appréhender autrement. Prendre des risques sans avoir peur des coups.
Bonne journée Annick! Bises!
Bien d'accord.. Le pb étant que chacun étant tellement rassuré par le confort et les limites des habitudes. (Je ne jette la pierre à personne.. j'ai aussi une multitude d'habitudes qui m'habillent d'un carcan).Bien sur que certains travaux pendant des années ont usé le corps (malheureusement tranformé en outil à produire).
Mais je continue à penser qu'il y a toujours une possibilité d'aller un peu mieux en faisant des exercices basiques. Bien respirer, se relaxer ou porter la conscience sur la partie du corps douloureuse apportent un réel bien-être.
A bientôt!
Bone soirée.Bonjour Serge!
Je suis également en cure!...Je ne sais pas combien de temps cela va durer...j'ai beaucoup de choses à faire aussi par ailleurs.
Profitons également de ces belles journées à l'extérieur!
A bientôt!Message à l’intention des amis du net..Après deux semaines de désintoxication du clavier d’ d’ordinateur, c’est avec plaisir que je viens retrouver vos différents blogs et tous les sujets variés qui y sont traités. Je ne vous promets de tout lire l’arriéré, tellement certains de vous sont prolifiques en matière d ‘articles.
blog rempli de bons cosneils qu'il faudrait que j'en suive certains
bonne semaine
bisousTout à fait d'accord avec ce texte ! On vieillit dès qu'on arrête de se développer
Bonne soirée A bientôtBonjour Philippe!
A quelque part même si c'est à des degré divers, même si ce n'est pas toujours visible, nous avons tous notre handicap. On ne peut que faire avec ou le dépasser quand c'est possible, sans quoi c'est l'anéantissement.
...Mais vivre avec n'est-ce pas déjà le dépasser?
Quel joli mot que ce Ultréia!
Bonne journée!Tellement de causes dépendent de notre vitalité. Il fût un temps où l'on était moins informé qu'aujourd'hui, que ce soit sur la santé ou les les facteurs psychologiques qui déteignent sur le physique. Etre juste attentif à soi, écouter et respecter ses ressentis, même ça, beaucoup ne le savent pas.
Bonne nuit!
Pour le premier, on ne peut être que d'accord.
Pour le second, je dirais que ça dépend. Evidemment, on ne choisi pas d'avoir des problèmes de santé, ni son patrimoine génétique,... mais si on est assez vigilant on peut éviter les accidents et certaines maladies liées à l'alimentation ou à une mauvaise hygiène de vie en général.
Bonne semaine Lung!
Pour le corps, c'est la jeunesse dans "son état" car il est des "coups du sort" qui soient neurologiques, génétiques, sociétaux qui font que le corps peut ne pas être "orthodoxe" mais emprunter des voies de traverses que l'on peut appeler handicap
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Merci de ton blog.Ultréia!