• Quel regard au pied du mur ?

    Ernst Fuchs01Faire le point est parfois salutaire car c’est au quotidien que se défait en nous le mikado géant de la matrice. Il me semble opportun et peut-être même urgent d’observer aujourd’hui où en est la manifestation extérieure reflétant notre intérieur, peu après cette équinoxe de printemps, équilibre entre le jour et la nuit, une nouvelle lune marquée par une éclipse solaire, appuyant elle aussi les jeux d’ombre et de lumière, le tout dans une période d’éruptions solaires spectaculaires dont nos corps et nos psychés ressentent parfois douloureusement les effets.

    Sur le plan personnel et sur le plan collectif, nous pouvons ainsi observer ce qu’il en est de nos ordres et nos désordres intérieurs, mais surtout des peurs encore cristallisées. Les conjonctions astronomiques autour de l’équinoxe se sont également conjuguées avec le dernier carré Uranus-Pluton de la série entamée en Juin 2012. Les astrologues s’accordent à dire que ces carrés portent de puissants potentiels de transformation intérieure enclins à nous aider à lâcher les vieilles croyances limitatives et désormais involutives, pour peu qu’on ait l’intention du cœur d’initier et d’accompagner ce processus. 

    Avec un peu de recul, cette période de l’équinoxe de printemps a marqué une amplification des nettoyages. Ce qui remonte de nos profondeurs se manifeste à tous les niveaux visibles du monde manifesté à l’extérieur. Si notre regard sur le monde porte à ce niveau de conscience, alors nous voyons que les bulles d’énergie qui remontent à la surface contiennent beaucoup de peur, d’agressivité, de volonté de contrôle et d’élans de destruction cherchant à se libérer. Il demeure pour celui qui ne l’a pas fait de décider ce qu’il va faire de cela à son échelle personnelle et si ce dégagement d’énergies va se faire dans l’accablement et l’adhésion bourreau-victime au processus involutif, ou bien dans une conscience lucide et une prise de responsabilité sans compromis, gages de transmutation. Tout en cette conjonction nous porte en tout cas à revoir encore une fois notre relation au monde ancien et à notre ancien nous-même, car nous avançons par paliers et celui-là, comme attendu, nous met au pied du mur.

    L’observation de ce qui se manifeste dans le monde demande un effort réel d’autonomie. Nous ne pouvons déléguer cela sans vigilance. Parce qu’elle est volontairement très partielle et totalement orientée jusqu’à de grossières occultations et déformations, l’approche des médias de masse est toujours trompeuse et souvent mensongère. Vous qui lisez ces lignes le savez. Elle n’est toutefois pas à négliger totalement, car elle nous révèle partiellement la volonté des marionnettistes qui en tirent les ficelles et dessine à gros traits l’orientation qu’ils veulent pour les populations. C’est donc un moyen de sonder leurs intentions à un moment précis, ce qui nous situe dans l’évolution du processus collectif, mais rien de plus.

    Le fait est que sur le plan international les bruits de bottes résonnent un peu partout et l’on voit clairement la clique mafieuse qui dirige à présent les institutions des pays riches tenter de nous mener directement à un conflit mondial ouvert au-delà de la multitude de guerres de déstabilisation déclenchées un peu partout. Ceux qui s’informent de manière autonome en-dehors des médias de masse savent que contre les promesses faites il y a quelques années, les américains via leur bras armé de l’OTAN et une Union Européenne asservie à leurs intérêts, se positionnent en encerclement de la Russie tout en affirmant que c’est le contraire via une propagande médiatique anti-russe largement répandue en Occident.

    Parallèlement, ces dernières années ont vu les lois et les réglementations européennes préparer le terrain pour une dictature totale dans le silence assourdissant des médias de masse, ce qui est pudiquement appelé le Nouvel Ordre Mondial. Aujourd’hui les derniers boulons sont  serrés.

    Si l’on s’en tient à la France, qui aura je crois un rôle inattendu à jouer en son temps, le revirement est assez violent depuis une petite dizaine d’années. On ne peut que constater qu’un pays qui avait su préserver un peu d’indépendance par rapport aux puissants, est aujourd’hui dépecé économiquement et vendu en morceaux aux USA et d’autres pays, après avoir rallié militairement l’OTAN dont il était jusque-là resté indépendant. En France en 2015 comme aux USA après septembre 2001, les libertés s’amenuisent à grande vitesse jusqu’à la liberté d’expression qui désormais n’est plus permise. Le gouvernement a désormais la possibilité légale de contrôler les contenus de toutes les communications privées, les fameuses boîtes noires. Le Parlement l’a validé. Un « Patriot Act » made in France, prévu de longue date, est en train de se mettre en place dont le tremplin final était bien l’attentat contre Charlie Hebdo dont j’ai parlé récemment (voir cet article). Toujours le même processus dit de « la stratégie du choc ».

    Quelques jours seulement après cet attentat sortait discrètement un train de mesures concernant l’éducation des plus jeunes qui laisse pantois (voir ici sur le site du gouvernement). Quand on sait le temps de palabres que prend d’ordinaire ce genre de projet, on s’interrogera sur la rapidité de mesures abouties en quelques jours puisqu’elles font référence à l’attentat de Janvier et applicables dès la rentrée scolaire 2015.

    Je vous invite à le lire pour que chacun comprenne ce qui se trame aujourd’hui en France. Vous y verrez des parallèles stupéfiants avec les méthodes propagandistes de conditionnement des plus jeunes sous les gouvernements mussolinien et hitlérien des années 30 – imposition de référents à la laïcité, candidats à l’enseignement évalués sur leur capacité à faire partager les valeurs de la république, imposition des rites républicains et commémorations patriotiques à l’école, surveillance et dénonciation des opinions subversives, éducation aux médias, organisation d’olympiades où sera valorisée la citoyenneté, parcours citoyen évalué en fin de scolarité obligatoire, etc.  Je ne sais quel sera le degré de résistance des premiers concernés, mais il est clair que l’étape suivante prévue sera la répression pour quiconque ne se soumettra pas.

    A côté de cela, des mesures sont également prises pour que toute opinion ne cadrant pas avec la ligne officielle soit réprimée sur le web pour commencer et partout ailleurs d’ici peu. Des sites ont déjà été fermés sans qu’un juge ne soit saisi et sans aucun recours possible. Le gouvernement s’en est accordé le droit légal. Les quelques mots écrits dans cet article peuvent entraîner la fermeture sans préavis de ce site. Ne soyez pas surpris si cela arrive un jour car si cet élan perdure, il ne sera bientôt plus question de pouvoir s’informer autrement que par les voies officielles, la voix de son maître, ni de lire quoi que ce soit susceptible d’aider à s’éveiller à notre véritable nature. Le choix des cibles s’étalera dans le temps et ne sera qu’une question de priorité en fonction des intérêts stratégiques du Nouvel Ordre Mondial.

    Mais n’entrons pas plus dans les détails, je voulais juste rappeler que les preuves de ce qui s’installe sont partout pour qui veut les chercher. Une réalité s’est très clairement dessinée pour ceux qui lTomasz Alen Kopera24’appellent à eux. Car ce monde Orwellien, comme ce le fût prophétisé en son temps, beaucoup l’appelleront à eux pour sécuriser dans l’illusion leurs peurs les plus profondes. C’est là que les mondes vont vraiment commencer à se séparer de manière visible entre ceux qui font un sincère travail sur eux et les autres. Tout simplement parce que l’extérieur n’étant que le reflet de l’intérieur, il n’y aura plus de consensus dominant visible sur la notion de liberté pour les uns et la liberté vécue pour les autres.

    Pourtant, malgré l’urgence pour certains de se réveiller, ce qui importe n’est pas tant où l’on en est, que comment être là où nous aimerions en être. Donc pour clore le questionnement du comment on en est arrivé à un monde où l’hydre oligarchique de quelques dizaines milliers de personnes décident pour sept milliards d’autres qui l’acceptent de créer des foyers de guerre et de terreur un peu partout, de maintenir ou de faire chuter les populations sous contrôle dans la misère et l’asservissement, de détruire chaque année des milliers d’espèces vivantes, d’épuiser les environnements terrestre, maritime et aérien pour leur seul bénéfice financier, jusqu’au système solaire devenu une poubelle de débris et un lieu de contrôle du pouvoir, de retenir sous secret les inventions qui auraient sorti l’humanité de ses difficultés et d’en user pour leurs propres intérêts demeurés occultes… pour clore ce questionnement donc, je vous propose un court extrait d’un livre d’Aldous Huxley – un initié – publié en 1932, que bon nombre d’entre nous ont lu (merci aux Brindherbes de l’avoir exhumé) :

    « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente.  Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

    Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, par la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.

    On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

    Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.

    Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir. »

    Extrait du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley (1932).

    Vingt ans plus tard, il écrira encore cela :

    « Aujourd’hui, il semble pratiquement possible que cette horreur s’abatte sur nous dans le délai d’un siècle. Du moins, si nous nous abstenons d’ici là de nous faire sauter en miettes… Nous n’avons le choix qu’entre deux solutions : ou bien un certain nombre de totalitarismes nationaux, militarisés, ayant comme racine la terreur de la bombe atomique, et comme conséquence la destruction de la civilisation (ou, si la guerre est limitée, la perpétuation du militarisme); ou bien un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique. »

    Voilà je crois qui donne quelques éléments de réponse quant au « comment on en est arrivé là ». Intéressons-nous plutôt au « comment être là où nous aimerions en être ».

    Edgar Ende04Nous qui n’en voulons plus, que peut-on faire aujourd’hui de ce vieux monde voulu par une minorité démente qui s’accroche à son pouvoir ? Eh bien cette minorité nous reflète encore plus ou moins. Elle est notre émanation et nous la soutenons encore en fonction de notre degré d’adhésion et de notre engagement aux règles et aux systèmes qu’elle nous impose pour son unique bénéfice en bafouant ouvertement les valeurs qu’elle prétend défendre au nom de tous.

    Voyons avec courage et lucidité jusqu’où nous acceptons le mensonge au fond de nous pour qu’il puisse aussi ouvertement se manifester à l’extérieur, jusqu’à nous… Voyons ce que nous créons pour nous le révéler à nous-même et nous désengourdir.

    Au lendemain d’élections en France, on voit bien que beaucoup encore ont manifesté dans la matière ce qui les anime intérieurement et souvent inconsciemment, en ayant consolidé une fois encore à des postes de pouvoir sur la communauté les représentants de cette minorité qu’ils croient leurs représentants. Pour ceux-là qui veulent croire l’illusion qu’on leur sert, les leçons du vécu n’entrent pas, le véritable examen de conscience n’est pas à encore l’ordre du jour et le réveil sera brutal.

    Pour autant les autres, qui se tiennent davantage en retrait du système, n’ont pas moins de responsabilité sur le vieux monde qui n’est pour tout ce qui les affecte encore et entre d’une manière ou d’une autre dans leur vie, que le théâtre visible de leurs tourments inconscients. Car c’est bien dans ce qui nous affecte que nous devons porter notre regard inquisiteur.

    Que vibrons-nous que nous ne voyons pas qui manifeste encore jusqu’à nous ce monde-là ? Voilà une question que nous aurions bénéfice à nous poser chaque jour, comme une prière posée dans l’intention d’éclaircir notre chemin.

    Il a été dit mille fois que chacun vivra en ces temps troubles et lumineux à la fois ce qu’il vibre et rayonne, en d’autres termes la réalité qu’il porte en lui. Ceux qui tirent les ficelles du vieux théâtre connaissent parfaitement ces principes et tentent pour se maintenir à flot par tous les moyens d’entraîner les peuples dans la peur de son prochain, le mépris et parfois la haine de celui-ci. Dans la répartition des rôles, certains pays sont marqués plus que d’autres de ce sceau ténébreux. La nation jusque-là la plus puissante ne compte-t-elle pas 222 ans de guerre pour 239 ans d’existence ? N’a-t-elle pas apporté le chaos durant des décennies dans absolument tous les pays qu’elle a attaqués au nom de la liberté ? Quand nous déciderons-nous en tant qu’humains en devenir de regarder ce qui est significatif et pas ce qui nous est servi d’insignifiant par ceux qui ne veulent pas être vus pour ce qu’ils sont ?

    Sous un regard d’une autre nature, je dirais que notre Soi supérieur pousse l’expérience à son paroxysme pour que la révélation soit si percutante que nous ne puissions plus l’ignorer. Ce qui n’est pas vu par le travail personnel sur soi finit par nous exploser à la figure. Encore faut-il qu’il y ait au moins un début de véritable travail sur soi…

    Le principal risque devant un désengourdissement soudain est la réaction violente vers l’extérieur. Toujours ce vieux principe d’action-réaction qui a mené jusque-là le monde. Il est très probable que beaucoup d’esprits cédant à leur émotionnel en friche entreront sans mesure dans la réaction et nourriront ainsi comme à chaque fois le principe d’action qui aura suscité leur réaction. Et le moulin tournera de plus belle. Sous la pression ambiante de plus en plus intenable, cela laisse présager des émeutes, de la répression et des guerres civiles qui toucheront ceux qui d’une façon ou d’une autre portent la guerre en eux.

    Dans la clarté, il s’agit de reprendre sa vraie place dans la conscience de notre puissance créatrice, ce qui passe donc par la connaissance de soi à travers notre sens aiguisé de l’attention à soi. C’est pourquoi d’autres se tourneront vers eux-mêmes et prendront leurs vraies responsabilités d’être humain désirant évoluer afin de transformer tout cela. Certains ont déjà fait un bout de chemin en ce sens, d’autres en ces temps chaotiques les suivront. Je ne sais comment tout cela cohabitera dans la forme, mais je sais que cela pourra cohabiter en raison de notre nature électromagnétique d’où naissent les ensembles et les sous-ensembles qui s’attirent et se repoussent, s’imbriquent et se détachent. Comme pour des aimants, c’est une question de périmètre magnétique. Plusieurs réalités collectives cohabiteront sans pour autant interférer ou très partiellement et de manière très ciblée selon l’histoire de chacun.

    Ce dont je suis sûr, c’est que lorsqu’il n’y a plus de mensonge en soi et que tout devient transparent par le miracle de la Présence à soi, alors tout peut-être traversé des tribulations des hommes sans encombres. S’il vient encore à nous affecter quelques désagréments, ils portent en eux le sens du message à entendre et la direction où tourner notre attention. D’une manière ou d’une autre, que ce soit agréable ou non, dans ce contexte d’incarnation tout nous parle de nous. C’est le sens du jeu.

    Susan Seddon-Boulet03Alors qu’allons-nous faire au pied du mur annoncé, devant les boulons qui se resserrent et les portes des geôles qui claquent ? Entrer dans une énième danse de guerre, adhérer aux décisions du plus fort, s’identifier à un camp, se réfugier dans l’adhésion à l’inacceptable, s’insurger, voir en l’autre l’ennemi ?… Ou installer enfin la paix dans nos tumultes intérieurs, relâcher nos tensions, lâcher prise, laisser le jeu démentiel se poursuivre et s’achever sans nous et se laisser glisser doucement dans le voyage de l’abandon qui nous appelle à transformer le sapiens égotique en humain pleinement conscient ?

    Nous avons cette chance inespérée de sortir aujourd’hui même de l’engrenage des cycles où nous avons vécu jusque-là aveugles. Je l’ai déjà dit, nous pouvons ne pas avoir à vivre dans la nouvelle cage dorée qui se prépare au-delà de la fin chaotique du kali Yuga (कलियुग, âge de Kali ou âge de fer dans la cosmogonie hindoue) et des scénarios qui se profilent à l’horizon proche. Quels que soient les obstacles personnels que certains évalueront à tort comme insurmontables, ce n’est qu’une question de choix et d’engagement quotidien à vivre ce choix, rien d’autre.

    Nul besoin d’initiation ou d’enseignement à suivre, nul besoin de s’habiller d’une mythologie quelconque, juste un choix, le sien, sincère et profond, de se libérer pleinement en ces temps présents de tout ce qui nous sépare de l’amour inconditionnel qui est notre état d’origine. Les moyens viennent avec le choix car tout sur cette voie nous est toujours donné. Quand au pied du mur qui surgit notre regard guérisseur se tourne à l’intérieur, ce que nous transformons en nous, nous le transformons à l’extérieur de nous. Au pied du mur… il n’y a pas de mur.

    Fraternellement,

    © Le Passeur – 21 Avril 2015 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est volontiers autorisé à la diffusion à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

    Cette série d’articles est réunie dans la rubrique « L’Eveil ».

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  • Commentaires

    3
    Mercredi 29 Avril 2015 à 20:57

    Merci Danielle. Pas encore écouté

    2
    danielleg
    Vendredi 24 Avril 2015 à 11:00

    Pour toi, ma chère vu que tu aime beaucoup !

    http://legrandchangement.tv/video/24042015-tout-est-vibratoire-tout-est-magie-avec-frank-hatem/

    Je suis en panne de messagerie, je reçoit, mais j'peux pas envoyer !

    Bisous Yog ;)

    1
    danielleg
    Jeudi 23 Avril 2015 à 07:14

    Rigolo, je l'ai lu hier :)

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