Si tatie Danielle et cousine Marie-Germaine sont un peu coincées ce soir...Une histoire que j'aime bien raconter.

 

Un riche fermier décide d'acheter un domaine en Provence. Le domaine est superbe, près d'une falaise qui donne sur la mer. Le lendemain de l'achat, en regardant par sa fenêtre, il est bien entendu très heureux de son achat, mais il sent qu'il manque quelque chose à son bonheur... Des chevaux! Il les imagine déjà galopant à travers le domaine, et fait immédiatement construire une écurie, embauche 10 valets d'écurie, et achète 30 superbes chevaux.

 

Le lendemain matin, il se lève, ouvre ses volets... Tous les chevaux sont tombés de la falaise!

 

Il retourne voir le maquignon et lui explique son histoire. Le maquignon lui répond : « C’est normal, vous n’avez pas acheté mon âne. Pour ne plus avoir ce genre de problème il vous faut mon âne ».

 

Le fermier dit : « Non mais, c’est vraiment n’importe  quoi, qu’ai-je à faire de votre âne ! Ce que je veux, c'est des chevaux! »

Le maquignon : « Faites comme vous voulez »

 

Le fermier rachète 40 autres chevaux. Le lendemain de l'achat, il se lève, ouvre ses volets... Une fois de plus, les chevaux sont tombés de la falaise.

 

A nouveau, il va voir le maquignon qui  lui propose de lui vendre son âne. Mais le fermier est têtu.

 

Cette histoire recommence encore et encore.  Le fermier est désormais beaucoup moins riche, mais rêve toujours d’avoir ses chevaux. Dans le désespoir il se décide enfin, avec le reste de ses économies, à acheter 30 chevaux et l’âne. L’âne s’appelle Pedro.

 

Le lendemain de l'achat, il se lève, ouvre ses volets...Et OH, surprise ! Tous ses chevaux sont là !

 

Il retourne voir le maquignon : « Comment c’est t’y donc que ça se fait, qu’avec votre âne, mes chevaux ne tombent plus dans la falaise ? »

 

Le maquignon : «  Mon âne s'appelle Pedro, et il est bien connu que Pedro l'âne ralentit la chute des chevaux !! »

 

 

 

 

 

 

Aux personnes abonnées seulement aux articles. Il est normal que vous ne receviez plus les publications d'articles. Je les envoie désormais environ tous les quatres jours groupés dans la news. Cet article est dans le but de vous le signaler.

 

 

Je suis d'humeur à faire la pipelette. Des fois ça me prend comme ça, sans crier gare. On m'a dit quelque fois dit que ce que les gens aimaient, c'est que je parle un peu plus de moi, de comment j'évoluais. Pourquoi moi et pas eux? Parler de soi, demande à se poser, à prendre le temps, de savoir extraire l'extraordinaire de l'ordinaire. Du temps et du talent donc. Et de l'humeur aussi. 

 

Je me suis couchée cette nuit à deux heures du matin. J'ai commencé à lire le mémoire d'une personne qui a fait l'École de yoga, et je n'ai pu décroché jusqu'à  la fin. Toute une vie en quarante pages. Une vie de souffrances psychologiques de l'enfance jusqu'à la découverte du yoga. Le corps qui souffre de tous côtés puis qui se dénoue peu à peu avec un travail réalisé en compréhension et en douceur. 

 

Le dernier cours avant les vacances, un monsieur d'environ 50 ans arrive pour sa première séance. Il n'a jamais fait de yoga et me dit: "Je veux lâcher-prise".  Entre nous, je ne suis pas magicienne. Effectivement. Pendant la séance mon regard va souvent vers lui. Il a les mâchoires crispées et a l'air perdu avec son corps. Pareillement pour une dame de 70 ans qui n'a jamais fait de sport de sa vie et je constate vite qu'elle n'a aucune conscience corporelle. Après diverses explications, je suis allée la toucher (chose que je fais rarement et pour laquelle je demande la permission) pour lui faire comprendre ce que c'est que de pousser avec son talon ou sa pointe de pied.

Au bout d'un trimestre, il n'est pas facile d'adapter la séance pour eux. Je dois répéter ce que les autres ont acquis ou donner plusieurs possibilités.

 

La plupart des personnes ne connaissent pas la finalité du yoga (après question posée) et ne savent donc pas que ce n'est pas la posture qui est importante mais l'état dans lequel on se trouve quant on la réalise. Il ne serait pas gênant de répéter si cette notion était comprise. Comprise non pas intellectuellement mais dans le corps. Il faut du temps avant de comprendre ce que veut dire sentir. Comprendre ce que c'est quand le mental s'est tu.

 

 

La lecture de ce mémoire et l'expérience avec ces personnes me font comprendre encore plus le tact qu'il faut avoir pour dire, pour préciser, pour trouver les justes mots pour ne pas brusquer. J'ai toujours fait du sport et il est surprenant de voir les personnes aussi démunies avec leur maison corporelle, maison qu'ils ont avec eux depuis leur naissance et qu'ils connaissent si mal. Mais peu à peu, la surprise devient compréhension et souplesse.

C'est aussi beaucoup de moi dont je suis surprise, moi qui ait toujours eu l'étiquette de spontanée, rebelle et compagnie. Je me fonds avec ce qui se présente sans aucune résistance. Quel changement! Lors d'un stage avec Carmen Sala, elle nous disait: "On apprend qu'à partir du moment où l'on enseigne". Mille fois vrai!

 

Pendant ces vacances, je me gave de lectures. Mon amie Lunetta qui vient de temps en temps commenter ici, m'a prêté des Infos Yoga et je dois dire que c'est vraiment une revue de grande qualité, très vivante avec très peu de publicités. Je vais commander les anciens n° encore possible.

 

Je m'intéresse de plus en plus et j'ai commencé quelques expériences sur la circulation de l'énergie. Découvertes plus intenses de sensations....comme celle de sentir comme de l'eau pétillante dans les régions du corps sur lesquelles je focalise.

Si vous avez l'occasion de lire et de faire les exercices proposés par Jasmuheen... Je ne suis pas prête à me nourrir seulement d'amour et d'eau fraîche mais l'évolution est joyeuse.

 

Et puis mon mémoire. Quelques bribes. Je lui trouve constamment un nouveau titre, ça part dans tous les sens. Hier, en lisant le mémoire cité ci-dessus, je pense avoir trouvé enfin. En fait, je ne m'autorisais pas à trop parler  de moi et ça bloquait. Si cette nouvelle me met en joie, c'est qu'elle est juste. Je vais m'autoriser à parler de moi, moâ môa mooooi . Je ne crois pas que ce mémoire sera rendu en cette fin de 4ème année. J'ai trois week-end à rattraper et besoin de recul. Les chose sont allées, à ma surprise, très vite.  Il me faut comprendre encore beaucoup de notions, et notamment en philosophie indienne, domaine passionnant et illimité que je pourrai transposer dans mon propre récit. Ce qui nous est demandé d'ailleurs. Toujours cette impression d'en être au début.

A l'École, quand nous parlons de notre mémoire, nous disons souvent que nous commençons par un récit lourd de mauvais souvenirs. Comme s'il fallait poser cela pour pouvoir commencer enfin, quitte à le gommer ensuite dans le travail final. Je n'y échappe pas.

 

Hier, lisant encore dans mon lit très tard dans la matinée, je sens quelque chose qui bouge sur le col de mon peignoir. Brrr...je pense aussitôt à une araignée. Mais non, surprise, c'est une coccinelle!  J'étais en train de lire: "L'éveil enlève le monde de dessous vos pieds comme un tapis. L'éclair d'éveil et l'éveil sont basés sur la surprise"

 

 

"Soyez toujours prêt à être surpris" Swâmi Prâjnanpad  

 

Hier soir aussi, j'ai fait 52 étiquettes que j'ai mis dans une jolie boite en bois de bananier. Je déposerai la boite en début de séance et chacun pourra puiser au hasard une pensée positive. Père et fils Yog se sont amusés avec cela. Mr Yog a entrepris de changer de travail mais il doute souvent et il est tombé sur: "Soyez prêts à vous investir dans vos désirs". Partie de rigolade.

 

Bon, j'ai un petit creux....à bientôt!

 

 

 

Un petit mot/carte de la présidente et du bureau

(J'ai enlevé les prénoms pour la tranquillité)

 

 

 

 

 

Je connais et je lis Anne depuis environ deux ans 1/2. Elle habite Bruxelles.  

C'est une personne exemplaire.

 

Un très bel article:

La galère prend l'eau

 

 

 

 

Je viens de voir ce film.

Rouge Le Renard propose de le regarder avant qu'il pose sa propre critique.

 

 

Oser la vérité...

« Pourquoi ne veux-tu pas fêter Noël avec nous ? 

- Et vous, pourquoi fêtez-vous Noël ? »

Un moment de silence, j’entends les rouages grincer, les mémoires s’activent. Elles rattrapent les chemins, tout tracés, du conditionnement.

 

« Mais pour se retrouver, Noël est une fête de famille, que les enfants aient de beaux souvenirs ! 

-Pourquoi avez-vous besoin de faire la fête pour vous retrouvez ? Vous vous êtes donc perdus ? » ...

 

 

 

Etat des lieux...

La conscience, il faut bien qu’elle nous manque cruellement, pour que nous allions en ce monde des hommes fait de tant d’incohérences.

Un exemple ?

Se réclamer de l’amour, et être bouffé de l’intérieur par la jalousie, le désir, la colère, la peur...

 

Plus d'excuses. Voici un très bon site qui dit tout sur tout!

C'est ICI

...en attendant de ne plus se nourrir

Découvrir aussi  AHIMSA

 

 

Les peuples privés de viande ont réussi à se nourrir correctement et se maintenir en vie en associant céréales et légumes secs. Les traditions culinaires de la plupart des civilisations montrent toutes une recherche de la juste proportion. En associant céréales et légumineuses (comme riz et lentilles en Inde, pâtes et haricots en Amérique du Sud et soja et riz en Chine), les hommes ont empiriquement rééquilibré la valeur protéinique d’une alimentation carencée en protéines animales. Ainsi, des millions de personnes continuent de se nourrir de cette manière, avec de très rares –voir aucun- apports de produits animaux, sans que l’on constate de carences lorsqu’elles disposent d’une quantité suffisante de nourriture.

La notion de complémentarité n’est pas aussi stricte qu’on pourrait le croire, de récentes études ont montrés que lorsque des végétariens mangeaient dans le journée, sur plusieurs repas, céréales, légumineuses ou légumes, dans un apport calorique suffisant, il était impossible qu’elles soient carencées en protéines.

(Lappe FM, 1982)

 

Intérêt nutritionnel des associations céréales - légumineuses

 

A titre d’exemple, voici les apports comparés des principaux nutriments de 2 plats apportant la même quantité de protéines :

100g de steak + 250g de pommes de terre à l’eau et 100g de pâtes crues + 30g de lentilles (en grains).

 

 

Apports / Plat	100g de steak haché (20% MG) + 250g de pommes de terre cuites à l’eau	100g de pâtes crues (300g cuites) + 30g de lentilles sèches (90g cuites)
Protéines en g	20,8	19,7
Glucides en g	49,3	94,4
Fibres en g	3,3	8,4
Lipides en g	20,7	1,8
AGS en g	8,6	0,3
AGMI en g	9,7	0,2
AGPI en g	0,8	0,8
Cholestérol en mg	69	0
Magnésium en mg	63	85
Calcium en mg	22	39
Fer en mg	2,5	4,2
Vit.A en µg	0	24
Vit.B1 en mg	0,3	0,3
Vit.B6 en mg	0,8	0,3
Vit.B9 en µg	40,5	88
Vit.B12 en mg	2	0
Vit.C en mg	22	0
Vit.D en µg	0	0
Vit.E en mg	0,4	0
Apports E en Kcal	455	450

 

Pris sur ce blog

  L'endroit le plus dangereux au monde est le supermarché

 

d'après l'Horoscope Maya

Pris chez Option Bonheur

 

 

♥♥♥

 

Site nature

 

 

Carte d'une lectrice amie dont la phrase va très bien avec le texte de Joéliah.

Merci aussi à toi D. pour tous ces livres que tu m'envoies et tes mots chaleureux.

 

Nous voici déjà au 21 décembre et au solstice d'hiver où la nature, dans la région va se mettre réellement en repos pour quelques mois de plénitude intérieure.
Pour une partie de l'humanité, se mettre en repos est essentiel pour permettre de libérer ce qui est inutile pour son évolution et pouvoir se ressourcer avant de prendre une autre envergure au printemps.

Dans le cycle naturel, les feuilles d'arbres qui étaient très belles et donnaient une allure majestueuse à l'arbre sont tombées et vont maintenant se décomposer.
L'arbre va alors absorber sa propre transformation par le biais de la terre, pour se nourrir profondément.

De même pour nous, certaines parties que nous aimions beaucoup doivent être libérées librement afin de nous servir d'engrais pour nourrir notre essence profonde.
Un temps de libération extérieure est nécessaire pour permettre d'enrichir l'intérieur et pouvoir, par la suite, manifester de nouveau cette richesse à l'extérieur de manière plus grandiose.

L'arbre qui grandit d'année en année et devient majestueux a eu l'opportunité de se trouver à la meilleure place et de profiter ainsi de la vie de manière plus importante.

La graine dont il est issu, a su s'enraciner au bon endroit loin de l'ombre des autres arbres afin de profiter d'un maximum de soleil tout en étant près d'une source d'eau pour nourrir ses racines.

Souvent, ces arbres deviennent des hôtes généreux pour les oiseaux, les écureuils ou les insectes qu'il abrite et tout le monde vit en symbiose parfaite.
On peut appeler cela la manifestation merveilleuse de la vie.

Bizarrement, chez l'homme, cela devrait être pareil mais force est de constater que son mental et son émotionnel lui procurent des états d'âme assez étonnants.
Et les jeux de rôles vont bon train...

Celle ou celui qui a peur... attire celles et ceux qui nourrissent sa peur et sont nourris eux-mêmes par la joie de faire peur ou l'orgueil de les écraser...
Celle ou celui qui a honte... attire celles et ceux qui vont la ou le ridiculiser encore plus et se nourrissent de la joie de l'humiliation.
Celle ou celui qui manque de confiance, attire celles et ceux qui vont la ou le trahir... et ainsi de suite...
Tout est jeu d'ego. Ego pas très égaux mais chacun responsable.

La loi d'attraction est toujours en action. La fréquence émise par la pensée ressentie profondément, attire un écho semblable.

Bonne nouvelle ! Chacun peut changer sa fréquence et attirer autre chose.

L'écho est 'le' cadeau. Et en ce temps de Noël, s'offrir un cadeau spirituel est merveilleux...
L'écho est l'image du programme intérieur défectueux.
Et ce temps d'hiver intérieur est la période idéale pour aller modifier le processus intérieur.

Il est bon de prendre un temps de méditation pour aller vider, jeter, transformer, libérer, faire tomber ses 'feuilles' mortes afin qu'elles servent d'engrais pour une transformation ultérieure.

En cette période de fin d'année, il est bon de se poser ces questions :

Qu'est-ce que j'ai besoin de libérer pour me transformer ?
Que suis-je prêt(e) à faire pour me transformer ?
Que suis-je prêt(e) à lâcher ?
Qui ai-je envie d'être au printemps prochain ? ...

Ce temps d'introspection est nécessaire pour faire renaitre l'enfant divin que nous sommes tous. Frères et sœurs en incarnation venus vivre ensemble le jeu de la Vie matérialisée.

Et là-haut, dans un plan supérieur, invisible mais tellement présent, nos êtres réels observent nos comportements d'humains et soupirent devant la complexité de nos choix d'expériences... alors qu'il serait tellement simple de s'entraider, de s'aimer inconditionnellement, de se respecter...

Noël nous donne l'opportunité d'y penser... et de passer à l'action !

Alors qui pouvons nous aider ? Aimer mieux ? Comprendre mieux ? Accepter ? ...
Des Noëls... c'est tout les jours qu'il en faudrait !

 

Lejardindejoeliah.com