• LumiereBrotonne

     

    Si nous absorbons des pollutions mentales, émotionnelles ou physiques en quantité quand nous stressons, ou bien nous tombons malades, ou nous nous épuisons, et d'une façon générale, nous devenons malheureux....La suite ICI

     

     

     

    Cycles de la conscience humaine

     

     

     

    Nourriture des Dieux 1

     

     

     

     

     

     

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    Bien que nous puissions satisfaire nos faims d'amour, de santé ou de richesse, à moins de satisfaire notre faim naturelle de connaître notre Divin Intérieur nous ne nous sentirons jamais vraiment épanouis. Chaque être a été programmé de connaître son Divin Intérieur, car Il est le créateur intelligent de notre système Bio-énergétique, une force que certains appellent Dieu, et c'est seulement lorsque nous nous souvenons de lui et fusionnons consciemment avec lui que nous pouvons nous réaliser. Les sages appellent cette manière de se nourrir l'accès à la véritable nourriture des Dieux. Cet ouvrage aborde l'ensemble de ces sujets, et répond aux principales questions qu'ils suscitent.

     

    Jasmuheen est l'auteur du Best-seller mondial, Vivre de Lumière, premier livre d'une longue série dans laquelle elle explique comment parvenir à se nourrir physiquement de la Force de Vie Universelle du Prana, également nommée la Nutrition Divine.

     

     

     

    http://pmcdn.priceminister.com/photo/la-nourriture-des-dieux-de-jasmuheen-livre-896900670_ML.jpg

     

    On ne parle pas dans les médias de ce fait que des gens puissent vivre autrement. Pourquoi?

    Parce que cela représente un défi pour de nombreuses industries. Suite page 72/73

     

     

     

     

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    Savoir revivre de Jacques Massacrier

     

     www.devin-editions.fr

     

     

    Ici, je n'ai mis que les pages concernant le yoga mais...

    Visitez la table des matières

    et le témoignage

    .....surprenant et magnifique!

     

     

    210 - le yoga

     

     

    121

     

    122

     

     

    123

     

     

    124

     

     

    211 - les postures assises - 212 - le sukhasana - 213 - le siddahasana - 214 - le padmasana

     

    215 - le suryanamaskara

     

     

    127

     

     

    128


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  • lacher-prise


    Dans un organisme parfaitement fonctionnel, une émotion dure très peu de temps. Elle ressemble à une ondulation ou à une vague qui déferle momentanément à la surface de votre Être. Par contre, quand vous n'êtes pas ancré dans le corps, une émotion peut rester en vous des jours ou des semaines, ou encore se rallier aux autres émotions ayant une fréquence semblable. Avec le temps, ces émotions se sont agglutinées et forment le corps de souffrance, un parasite qui peut vivre à l'intérieur de vous pendant des années, se nourrir de votre énergie, entraîner la maladie physique et rendre votre vie lamentable.

     

    Concentrez-vous donc, cherchez à ressentir l'émotion et voyez si votre mental est accroché à un scénario fondé sur la récrimination, comme les reproches, l'apitoiement sur soi ou le ressentiment et si ce scénario alimente l'émotion. Si tel est le cas, cela veut dire que vous n'avez pas pardonné. C'est souvent à une autre personne ou à soi que l'on ne pardonne pas, mais cela peut aussi bien être une situation passée, présente ou future que votre mental n'accepte pas. Oui, on peut aussi ne pas pardonner quelque chose qui se situe dans le futur. Dans ce cas, le mental refuse d'accepter l'incertitude ou le fait que le futur est en fin de compte au-delà de son contrôle.

     

    Le pardon, c'est renoncer à la récrimination et par conséquent lâcher prise face au chagrin qui en découle. Ceci se produit spontanément quand vous réalisez que le blâme ne sert à rien, si ce n'est qu'à renforcer le faux sens du moi. Pardonner, c'est n'offrir aucune résistance à la vie et lui permettre de s'exprimer à travers vous. Sinon, apparaissent la douleur et la souffrance, un flux d'énergie vitale grandement restreint et, souvent, des maladies physiques.

     

    Dès l'instant où vous le faites réellement, vous reprenez le pouvoir que vous aviez laissé au mental. Être rancunier, c'est vraiment la nature du mental, tout comme l'antagonisme et les conflits sont le combustible qui fait survivre l'ego, ce faux moi créé par le mental. Le mental ne peut pas lâcher prise. Seul vous-même le pouvez. Vous devenez présent, vous « habitez » votre corps et vous sentez la paix et la tranquillité pénétrante qui émanent de votre Être.

     

    "Le pouvoir du moment présent" page 74 de cet ebook

    Livre que l'on peut trouver en collection de poche

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  • http://blogsimages.skynet.be/images/000/777/064_388022ab084ac78e7e90f92d5e669e95.jpg"Au nom du pèze, du fisc et du saint bénéfice, on essaye de nous détourner de nous-mêmes. Mais si tout le monde suivait sa propre voie, il n'y aurait pas de chômage: chacun trouverait sa place et aurait une tâche particulière à accomplir".






    http://anonyme.fr.free.fr/Images/Statiques/julos-CMJN_low.jpg"Mon terroir, c'est les galaxies".






    "Mon métier est de vous dire que tout est possible"




    "C’est la société qui est malade. Il nous faut la remettre d’aplomb et d’équerre, par l’amour, et l’amitié, et la persuasion. Sans vous commander, je vous demande d’aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches. Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l’embellir, il faut reboiser l’âme humaine".



    http://accel21.mettre-put-idata.over-blog.com/0/15/38/69/chanson/julosbeaucarne.jpg



    "À force de péter trop haut, le cul prend la place du cerveau."


     


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    Enfin, il y a le rythme de la terre, auquel les laboureurs se sont pliés depuis des siècles par une sorte de mimétisme si parfait que leurs attitudes, leurs gestes les plus anodins dénoncent l'un des plus vieux métiers du monde. Et cette curieuse noblesse dans le comportement physique, ce temps qu'ils prennent pour négocier avec l'espace, cette harmonie naturelle les font paraître de plus en plus balourds à mesure que l'énervement gagne le commun des mortels.

    Je connais des gens irrités par la lenteur des paysans qui circulent dans leur ville. Peut-être feraient-ils mieux de s'irriter de leur propre hâte. Nous arriveront à Noël ensemble.

    En ville, le paysan marche à son pas, c'est à dire au rythme de sa vie quotidienne, la vie des champs. Les chemins creux, les terres labourées, les prés même ne s'arpentent pas comme un trottoir de rue. Et il faut d'autres chaussures que des escarpins vernis, d'autres talons que des aiguilles.


    Sauf le cas de foire ou de marché, et encore! Le paysan en ville est un flâneur, une espèce de touriste. Il marche, il s'arrête, il observe comme un touriste sérieux. Le spectacle de la ville est son délassement et son étude à la fois. Et soyez sur qu'il n'y voit pas les mêmes choses que vous. C'est qu'il n'a pas les mêmes yeux. Les siens sont plus neufs. Toujours.

    Cette lenteur paysanne, cette admirable économie du corps qui n'est ni lourdeur ni gaucherie, est imposée par le rythme des travaux. Et ce rythme est celui du temps lui-même. L'unité de mesure est le jour, non pas l'heure. On voir rarement un paysan tirer sa montre. Il se lève avec le soleil, il finit son travail avec lui. Je sais encore des fermes où les moments des repas sont marqués par l'angélus. J'en ai fréquenté une, autrefois, où la fermière appelait les hommes à la galette ou à la bouillie en soufflant dans une corne. Les hommes revenaient sans se presser. Quand on se presse, c'est qu'il y a nécessité, urgence grave, un orage qui se prépare ou quelque chose qui brûle quelque part.

    Il y a trois sonneries de cloche avant la grand'messe pour donner le temps de se préparer, de se mettre en route, et d'arriver sans cette hâte qui compromettrait le recueillement dominical.

    Et puis, l'essentiel est ailleurs. L'essentiel est que la terre ne se presse pas. Il lui faut son temps. On lui confie des semences et on attend qu'elles lèvent, fassent des tiges, nouent des fruits. On attend l'août pour moissonner. Peut-être, un jour, les hommes de science trouveront-ils le moyen de faire produire dix récoltes par an. Alors les femmes feront des enfants en six semaines.

     

    En attendant, attendons!

     

    Attendre, le maître mot.




    On ne saurait sans injustice reprocher aux paysans d'être restés en arrière délibérément par mauvaise volonté, étroitesse d'esprit ou incapacité de s'adapter. C'est qu'ils travaillent sur le vif, eux. La terre est vivante et fragile comme un ventre de femme. Les animaux, les végétaux sont vivants. Il est relativement facile de tirer, de plus en plus vite, une automobile d'un bloc de métal. Le métal se laisse faire par plus fort que lui. Mais essayez donc de transformer un porcelet en cochon gras sous huit jours! Ce n'est que lorsqu'il est engraissé et tué que vous pouvez le débiter sous trente-six formes dans une chaîne électromécanique. Mais à quand votre usine à faire des porcs?

    Et quand remplacera-t-on le pain, avec quoi?

    Ensuite, la plupart des techniques de progrès ont été trouvées par les gens des villes et pour leur usage. Il y a fort peu de temps que les ingénieurs se sont attaqués aux problèmes des paysans. Le moins qu'on puisse dire, c'est que leurs réussites ne sont pas éclatantes. Ils font ce qu'ils peuvent bien sur. Mais il est apparemment plus facile de creuser un tunnel sous la Manche que de normaliser l'agriculture. Et plus facile peut-être de construire un radôme à Pleumeur-Bodou que de mettre en valeur les Monts d'Arrée.


     Mais aujourd'hui déjà, l'avez-vous remarqué! les jeunes paysans ne marchent plus comme leurs pères. C'est qu'ils ont d'autres chaussures, des routes goudronnées, moins de talus. Ils ne se tiennent plus comme des vieux. C'est qu'ils travaillent avec d'autres outils. Ils vont plus vite parce que les tracteurs ont changé leur rythme millénaire et que le temps, désormais, pour eux aussi, c'est de l'argent. Ils ont des montres au poignet et ils savent être à l'heure. Leurs pères étaient toujours en avance et en retard. 


     


    Pierre-Jakez Hélias 1975

    Tiré de "Autrement" La patience, passion d'une durée consentie



    C'est le texte d'Eva qui m'a donné envie de publier à nouveau celui-ci  déjà paru en trois parties en février 2009.

    Les commentaires sont ICI, ICI, et ICI




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  • Voir le film ICI

     

     

     

    Solutions locales pour un désordre global - DVD

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    http://mrsc.free.fr/egoiste.jpg

     

     

    Ou encore tous les hommes sont égoïstes, tous les hommes sont mauvais. Kant


    De l’égoïste au «salaud» sartrien, juste une question de degré, là ou l’égoïste manque d’amour, il ne sait aimer que soi, *«l’ordinaire de l’homme» déborde de haine.

     

    L’égoïste ne consent à rendre service à autrui que dans la mesure où cela ne compromet pas son propre bien être.

     

    *«L’ordinaire de l’homme» va plus loin : il est prêt à tout, pour son propre bien, même au pire. Qui ne ferait un peu de mal à autrui, si cela doit aboutir à un grand bien pour soi ? Qui ne  s’autoriserait un petit mensonge, si c’est pour faire fortune ? Qui ne volerait, pour sauver sa peau.

     

    *«L’ordinaire de l’homme» va plus loin : il fait subir un grand mal à autrui, pour obtenir un petit bien pour soi. Ce n’est pas à la portée de n’importe qui. Il y faut beaucoup d’insensibilité à la souffrance d’autrui, beaucoup de haine ou de violence, beaucoup de bonne conscience ou d’inconscience. Celui qui est prêt à sacrifier autrui à soi, à son  propre intérêt, à ses propres désirs, à ses opinions ou à ses rêves.

     

    Qu'est ce que *«l’ordinaire de l’homme»? C’est un égoïste qui a bonne conscience, qui est persuadé d’être un type bien, et que le «salaud» en conséquence, c’est l’autre. C’est pourquoi il s’autorise le pire, au nom du meilleur ou de soi.

     

    Les hommes ne sont pas méchants; ils sont mauvais et se croient bons, les «ordinaires de l’homme» sont innombrables, et convaincus de leur innocence.

     

    «Le goût de vivre» A C-Sponville

     

     

    *"L'ordinaire de l'homme" en s'excusant auprès de l'auteur, terme tout en conservant la lucidité nécessaire et l'idée sartrienne donne là plus un cheminement pour sortir de... l'ordinaire.

     

    Pris chez Sonam


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    Prends le sentier
    derrière les jalousies des villageois
    Le vent d'une seule main
    y secoue la forêt.
    À la montagne, mets des ailes
    Au mur, pense à elle.
    Le diable fera claquer ses doigts
    et quand tu entendras le hurlement
    du loup tranchant la gorge du chien,
    tu verras alors les étoiles précises
    des feux sur l'autre rive.
    La lune arrêtera sa course.
    C'est le signal. Traverse.
    La voie est libre comme toi.
    Je t'envoie l'escorte de vierges.
    Le mot de passe :
    " Né pour aimer. "

    Ils versent un pauvre miel
    sur leurs mots pourris.
    Ils te parlent de pénurie
    et sur ta faim, sur tes amis,
    ils aiguisent leur appétit.

    Leur haleine brûle l'air
    comme la chaux
    sur le pain.

    La beauté que tu oses ,
    ils la saluent encore
    d'un grognement de porc
    fouillant dans l'auge.
    Ils ont raison
    comme des cadavres
    et la vie les a coulés.

    Ils ont tout
    mais ne sont
    que le ciment du havre.

    Toi qui marches sur les tessons
    du concert,
    viens boire cette bouteille
    pleine de clarté,
    coulant comme un secret
    sur les lèvres des amants.
    Sous l'aile du huard
    Le lac a calé.
    C'est le moment.

    Ce que tu trouves,
    tu le gardes pour toi.
    " Ce qui n'est pas donné est perdu. "
    N'entends-tu pas battre ton cœur
    dans le sourd tambour de la terre ?

    Nous sommes les bêtes noires de l'ennui.
    C'est toi mon pain béni.
    Nous sommes la prairie,
    le feu, le vent.
    Nous sommes vivants.

    Il est temps d'apaiser
    cette fleur de la peur
    qu'on appelle le monde.
    Nous sommes cueilleurs,
    le fruit est la Loi.
    C'est nous le roi
    et tout est là.

    Le reste meurt ailleurs
    au fond de voûtes carsidérales*.

    Un chant millénaire monte dans l'air.
    La lampe, le lit, la nuit t'attendent.
    Viens voir jusqu'où
    le ciel peut couler
    quand la terre est une offrande.

    Et sur la nappe de toile
    tendue comme une voile,
    un navire de paix.

    La maison est ouverte.
    Les femmes-corsaires
    ont mis le feu
    aux galères de la nuit,
    l'armateur aux fers.
    j'éteins le phare,
    la fanfare dort.
    On peut parler

     

     

    *Que veut dire carsidérales?


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  • http://images.blog-24.com/1160000/1159000/1158710.jpg

    Celui que nous sommes aujourd'hui n'est pas celui d'hier et ne sera pas celui de demain. Rien n'est figé. Rien, même pas vous. Vous êtes et serez toujours celui du moment. Mais vous pouvez être Autre. Et oui, si la violence vous habite pardonnez-vous est ouvrez la porte de l'espoir que vous ne serez pas demain celui que vous ne voulez pas être et réconfortez-vous. Sachez que vous pouvez être tout. Oui, tout! Le lumineux, le passionné, le triste, le joyeux, le soucieux, l'insouciant. Ouvrez-vous la voie. Celle de la lumière, celle de la confiance en toutes vos possibilités. Vous pouvez tout affronter. Vous pouvez tout affronter et avancer. Vous êtes et serez toujours. Vous ne devez que: avoir confiance, vous pardonner et demander pardon, reconnaître vos actes, les verbaliser et les reconnaître, pardonner puis vous dire et savoir que demain vous ne serez plus... Car vous serez... Aimez vous. Acceptez vous: celui passé, celui au présent et ouvrez les bras à celui du futur. Mais qui est celui du futur? Vous, simplement vous. Miroir mon beau miroir, montre moi ma beauté, celle intérieure et celle extérieure. Miroir mon beau miroir, ouvre moi mes portes pour enfin avoir confiance en celui que je veux être demain. Et cela commencera maintenant.

     

     

     

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