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    http://vahinaparker.unblog.fr/files/2010/05/398854_374164059306697_151777384878700_1025390_2110575449_n2.jpg

     

    Pour commencer, une belle histoire :


    Une mère conduisit son jeune fils chez le Mahatma Gandhi. Elle le supplia : "Je vous en prie, Mahatma, dites à mon fils de ne plus manger de sucre. Cela ruine sa santé. "

     

    Gandhi réfléchit, puis déclara :

    "Ramenez votre enfant dans quinze jours."

    Surprise, la femme le remercia et promit de faire ce qu'il lui avait demandé.

     

    Quinze jours plus tard, elle revint avec son fils.

    Gandhi regarda le jeune garçon dans les yeux et dit: " Ne mange plus de sucre, cela détruit ta santé."

     

    Reconnaissante mais étonnée, la femme le questionna : "Pourquoi m'avez-vous demandé de le ramener après deux semaines ? Vous auriez pu lui dire la même chose la première fois."

     

    Gandhi répondit: "Il y a quinze jours, je mangeais encore du sucre."

     

     

    Voilà une belle leçon de vie !

     

    Combien de fois les conseilleurs sont-ils ceux qui n'appliquent pas ce qu'ils disent ?

    Ils voient la paille dans l'œil de l'autre, et la critique parfois violemment, mais ne voient pas la poutre qui est dans le leur.

     

    L'intégrité demande énormément d'humilité, de simplicité et d'amour pour la vie.

     

    Le vrai moyen d'aider l'autre, c'est de se guérir intérieurement afin de créer cet état de paix intérieure, qui est comme du 'vide-plein' énergétique.

     

    Si je suis en colère, comment puis-je dire à l'autre "calme-toi !"

    Si je suis intègre, je dois aller effacer le programme de la colère en moi afin de la rayonner et de ce fait, puisque je serai en paix, elle attirera des gens en paix...

    Et l'autre sera calmé aussi !

     

    Si je n'aime pas l'autre, comment puis je lui dire "aime-moi" ?

    Si je ne le respecte pas, comment lui demander de me respecter ?

    Si je passe ma vie à critiquer, comment puis-je demander le respect à ceux qui viennent à moi?

     

    C'est donc d'abord et uniquement en soi, qu'il faut aller libérer ces programmes d'auto-sabotage, de destruction et d'attirance de négativité dans notre vie.

     

    Nous sommes souvent notre seul ennemi, et un ennemi très destructeur.

     

    Pour guérir, il n'y a pas mille façons de faire.

     

    Reconnaître ce qui est activé en nous, libérer ces programmes en demandant à sa partie divine, à son 'JE', (son surmoi, son supraconscient ou encore appelé son Soi), de le faire avec amour, et de remercier pour cette libération.

     

    Voilà des années que j'applique cette formule. Tout comme Mr Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, j'HO'Opoponisais depuis des années ! Et le résultat est visible dans ma vie.

     

    Celles et ceux qui me connaissent depuis des années peuvent en témoigner.

    C'est par l'amour du Divin, la réunion divine que des miracles ont lieu dans ma vie régulièrement.

    Des dizaines de fois par jour, naturellement, je dis "pardon" si quelque chose me dérange, ou encore "merci la vie" "que la vie est belle" "que le meilleur soit"... j'honore la beauté de la nature, je parle à l'être des plantes et des animaux et cette joie me revient multipliée.

     

    Ma vie s'améliore d'année en année ! De moment présent conscient en moment présent conscient.

     

    L'intégrité est une règle de conduite que j'ai adoptée depuis plusieurs années en comprenant ma responsabilité plénière dans ce qui m'arrivait.

    Tout comme l'a enseigné Ghandi, j'ai vraiment compris l'importance d'être le modèle du monde dans lequel je désire vivre.

     

    Alors quelle que soit la méthode utilisée, tant qu'elle réunit les bases de l'amour christique (aimer Dieu avant tout, s'aimer et aimer les autres, se respecter, libérer ses 'péchés' et rendre grâce) ou celles de la philosophie 'Ho'Oponopono' (rectifier, rendre droit), ou encore le pouvoir des rayons sacrés (foi, sagesse, amour, pureté, abondance, paix et transmutation divine), le rayonnement angélique (Vehuiah le volontaire divin, Jéliel l'amour divin , Sitael le constructeur du monde pur, Elemiah qui apprend à se connaître pour éliminer ses défauts ou encore Mahasiah qui aide à pardonner, permet de redresser tout ce qui va de travers et à reprendre le droit chemin... pour ne citer que les 5 premiers), Toute pratique suivie avec foi et amour est bonne pour évoluer !

     

    Il y a des centaines de voies différentes.

    Chacun doit trouver sa propre voie, celle qui résonne en sa conscience.

     

    Vous pouvez vous faire guider un temps par une personne de qualité, un maitre, un guide, un coach... mais à condition que cette aide soit pour vous faire trouver votre propre maitre intérieur, votre JE SUIS !

    Attention aux pièges des guides, maîtres ou coachs qui se pensent indispensables à votre évolution...

     

    Chacun est constitué de la puissance de l'esprit. Ce JE SUIS qui est la source de tout pouvoir intérieur et extérieur.

     

    Quelle place donnez-vous à ce JE qui est en vous ?

    Est-ce le 'Je suis' incapable ou le 'je suis' capable que vous manifestez ?

     

    Réfléchissez avec intégrité à qui vous vous permettez d'être à travers la place du JE en vous.

     

    Je vous salue et vous honore.

    Que le meilleur soit !

    Joéliah

    Lettre d'éveil d'amourdelumiere.fr

    Vous pouvez diffuser en gardant le texte entier y compris cette ligne, merci.


     

     

    Merci Naradamuni!

     



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    L’acceptation est un mot "magique" qui peut transformer une Vie.

    Une clé magique pour votre coeur !

     

     

    ACCEPTER ce qui est pour ce qui est, même si vous n’avez pas les clés pour le comprendre dans votre mental.

     

    ACCEPTER la différence des autres, vous n’êtes pas "parfaits", alors acceptez les imperfections des autres.

     

    ACCEPTER que si certains événements ne se déroulent pas comme vous le souhaitez, il y a une raison dont vous ne pouvez pas comprendre sur le moment, mais que plus tard avec du temps et avec du recul, vous en aurez la compréhension et signification, alors lâchez prise au lieu de vous torturer inutilement.

     

    ACCEPTER que le monde est tel qu’il est, que vous ne pouvez pas le «sauver», mais que par votre propre personne, par qui vous êtes, de votre propre source vous avez tout pouvoir d’apporter du changement autour de vous. "Sois le changement que tu veux voir en ce monde, Gandhi".

       

    ACCEPTER que vous ne pouvez pas plus sauver les autres, que vous pouvez seul vous sauver Vous, et que la meilleure façon d’aider une personne est de lui offrir toute votre compassion et acceptez que les autres ne sont pas prêts à changer ou évoluer, sans jugement et sans vouloir les «contrôler».

    Ce n’est pas à vous de savoir ou de penser pour eux et à leur place !

    Etre responsable, ce n’est pas prendre des responsabilités qui ne vous appartiennent pas, sinon comment ces personnes vont-elles apprendre à grandir et à se responsabiliser si vous le faites à leur place !

     

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    ACCEPTER une séparation, l’amour n’est pas un devoir ni une obligation, vous avez le droit de ne plus aimer une personne, tout comme l’autre à ce même droit réciproque de ne plus avoir de sentiments amoureux à votre égard. L’Amour n’est pas un du, un devoir, une obligation ou un contrat à vie.

     

    ACCEPTER le «deuil» ! Acceptez que c’est le cours de la vie et que les personnes qui nous sont les plus précieuses dans nos cœurs peuvent un jour partir de l’autre côté du voile, et donnez-vous le temps nécessaire de guérison et cicatrisation.

     

    ACCEPTER la souffrance, ne pas la fuir ou la rejeter.

    Dans cet état d’acceptation et de non résistance, ce qui fait mal pourra se cicatriser et se guérir beaucoup plus vite.

     

    ACCEPTER le bonheur, parce que vous y avez droit. Parce que vous êtes en réalité sur terre pour être heureux. Alors acceptez le bonheur quand il se présente à vous, sans avoir peur de le voir s’envoler.

     

    ACCEPTER vos défauts, vos imperfections, vos faiblesses, vos failles, vos blessures, vos peurs, acceptez-vous dans la totalité de qui vous êtes et non à moitié, en voulant montrer qu’une partie de vous-même et en vous mentant à vous-même, vous rejetant et vous fuyant ! Seul dans cet accueil et acceptation de vous-même, de qui vous êtes vraiment, et non d’une image fausse ou erronée que vous voulez montrer aux autres, vous pourrez vous aimer et vous respecter vraiment.

    S’aimer et se respecter demande une acceptation totale de son Etre.

     

    Être et non paraître !

     


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    ACCEPTER votre beauté, vos qualités, vos talents, vos compétences, vos points forts, votre lumière.

    Non ce n’est point de l’ego que de reconnaître et d’accepter votre beauté, que de prendre votre juste place, que de vous accepter dans l’amour et la lumière de qui vous êtes. C’est simplement vous reconnaître et vous aimer, et non pas vous rejeter ou ne pas vous donner le droit d’être beau et merveilleux.

    Cela se traduit aussi par l’estime et la confiance de soi !

     

    ACCEPTER que les autres ne vous aiment pas. Vous non plus vous n’aimez pas tout le monde, alors acceptez que vous ne puissiez pas plaire à tout le monde.

     

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    ACCEPTER de donner sans rien attendre en retour. Donner pour donner.

    Si vous donnez dans l’attente d’un retour, cela ne s’appelle pas donner mais marchander ! (Je te donne si tu me donnes).

     

    ACCEPTER de recevoir, parce que en vérité vous en avez besoin et vous le méritez. Acceptez sans vous sentir redevable, parce que vous vous aimez assez pour pouvoir simplement recevoir.

     

    ACCEPTER de voir plus fort et plus brillant que vous et apprenez sans éprouver de la jalousie ou de l’envie, et remerciez de pouvoir apprendre de plus fort que vous.

     

    ACCEPTER de voir plus faible que vous et au lieu de le juger, le critiquer ou le condamnez, aidez-le.

     

    ACCEPTER votre réussite.

     

    ACCEPTER votre échec.

     

    ACCEPTER D'ÊTRE.

     

    ACCEPTER D'ACCEPTER !

     

     

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    Christine Gonzales

     

    C'est une amie qui m'a offert ce texte mais je l'ai trouvé également sur ce site

     

    Photos: Château-Gaillard, Les Andelys

     

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    La vie prend certains détours.

     

    La vie est bien plus vaste que nous et c'est vraiment dans l'ordre des choses que d'accepter l'inévitable.

     

    Je ne parle pas de l'inévitable dans l'avenir mais de l'inévitable maintenant.

     

    L'avenir, nous ne le connaissons pas et parler d'inévitable quand il s'agit de l'avenir, c'est vraiment pure imagination.

     

    Le futur n'est prévisible que dans la mesure où nous ne sommes pas prêts à accepter le moment présent.

     

    Pour la plupart d'entre nous, l'avenir est inévitable parce que notre passé a défini notre existence et que nous ne faisons rien par rapport à cela.  

     

    Si notre névrose est une névrose d'échec, nous pouvons être certains que nous allons échouer dans l'avenir.  

     

    Tant que nous sommes dans le déni, tant que nous résistons, que nous réagissons au lieu d'accepter ce qui est, le futur est extrêmement prévisible : la même chose va se répéter encore et encore.

     

    Notre existence peut changer mais notre réaction va être la même à chaque fois où que nous soyons.

     

    Vous avez déménagé après avoir vécu à l'étranger mais il est probable que vous auriez rencontré là-bas les mêmes difficultés que celles que vous rencontrez en France et que vous auriez réagi de la même façon.

     

    Ce qui peut tout changer, c'est la manière d'accepter les choses telles qu'elles sont parce qu'alors l'avenir n'existe pas.

     

    Même l'instant suivant n'existe pas : quand l'instant suivant vient, il est toujours maintenant.  

     

    Dans cette optique, tout est possible et le vieux scénario prévisible ne se répète pas.  

     

    Arrêtez de prétendre que vous êtes plus grand(e) que la vie et cessez d'être frustré(e) parce que la vie ne suit pas vos ordres.

     

    Parfois on a fait tout ce qu'il fallait faire et néanmoins la vie ne répond pas. Ce n'est pas la peine de se demander si on s'y est mal pris car là n'est pas la question.  

     

    On peut avoir fait tout le nécessaire mais peut-être n'était ce pas le moment opportun ou y a-t-il une cause que nous ignorons.

     

    Travaillez donc avec votre existence telle qu'elle est.  

     

    Souvent, c'est l'attente elle-même qui éloigne la réalisation.

     

    Si vous vous contentez d'être un avec ce qui est, avant même de vous en apercevoir vous aurez déjà obtenu ce que vous vouliez depuis toujours.

     

    C'est comme si, dès que vous arrêtez de tendre vers quelque chose, cette chose vers laquelle vous tendiez vous tombe dans le giron.



    Extraits de Oui et alors ? de Lee Lozowick, ed. La table ronde, p.43





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    Problème: le yoga n'est jamais en panne...

     

     

     

     

     

     

     



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    Une vie réussie ne se plaît ni dans la solitude, ni dans la société. Nous avons besoin d’unir ces contraintes. On lit dans les Mémoires d’un homme qui s’était retiré au fond des bois cette phrase : «J’ai, dans ma hutte, une chaise pour la solitude, deux pour l’amitié, et trois pour la société».

    Ainsi de notre existence : nous ne trouvons l’équilibre que dans un ajustement aux lois de la vie.

     

    Article en entier ICI

     

    LE YOGA et la relation à l’autre par Micheline FLAK

     



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  • http://www.voxxi.com/wp-content/uploads/2012/05/how-we-look.jpg

     

     

    Vis à vis de l'essentiel il est des gens qui sont sourds et aveugles malgré toute leur intelligence. Un être intelligent n'est pas nécessairement spirituel. Et il est des gens d'une grande simplicité intellectuelle qui ont le goût pour la qualité numineuse de l'essentiel. Ce sont ces derniers qui peuvent se rendre compte de l'expérience qu'ils ont vécue représente une chance pour leur existence pour y retrouvé l'essentiel qui s'est manifesté à eux le temps d'une expérience. Ce travail commence avec le développement de l'organe du goût de l'essentiel, le corps que nous sommes.


    A partir de là, il y a un chemin à envisager dans le quotidien. Ce chemin est le même depuis toujours et partout.

     

     

    K.G. Dürckheim


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    http://4.bp.blogspot.com/_lwZYjzxxxF0/S_YvhzygSJI/AAAAAAAABpI/O742kN9jIeQ/s1600/Darpan-portrait-a1-752x1024.jpg

     

     

     

    Pourquoi ne puis-je être pleinement moi-même? Pour répondre à cette question que nous sommes peut-être nombreux à nous poser, Darpan nous explique également tout aussi clairement et brillamment pourquoi  nous ne le sommes pas toujours.

     

    La vidéo ici

     

    Autres vidéos

     

    Audios

     

    Interview (Good!)

     

     



    http://www.aventure-interieure.ch/wp-content/uploads/2011/10/Le-c%C3%B4ne-de-la-psych%C3%A91.jpg

     

     

     

     

     

     


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    Né à Montréal en 1948, Jean Bouchart d'Orval a été pendant de nombreuses années chercheur en physique et en génie nucléaire à l'Université de Montréal. Pendant tout ce temps, il se posait des questions plus fondamentales que celles auxquelles la science et même la pensée peuvent répondre. Cet intense questionnement l'a mené vers une approche méditative de la vie et une désimagination de la réalité. Devenu enseignant spirituel, il ne se réclame d'aucune école en particulier, mais sa pensée est modulée par l'intuition de la non-dualité. Il est possible de le rencontrer en Europe et au Québec.

     

     

    Vous avez déjà enseigné la méditation, mais il semble que depuis quelques années vous en parlez différemment. Qu'est-ce que méditer pour vous ? Quel genre de méditation recommandez-vous ?

     

     

    Si vous pratiquez la méditation pour arriver quelque part, pour engranger des profits, pour devenir quelque chose, pour vous libérer ou pour devenir un être réalisé, alors que faites-vous de vraiment différent de la plupart des êtres humains qui calculent et s'inquiètent sans répit ? Par contre, si vous vous donnez à des instants libres de ce genre d'arrivisme et de petitesse - et de tels moment surgissent chaque jour, il suffit d'être attentif - alors vous sortez de l'habitude. L'acte que n'entrave aucun but est pure puissance. La méditation désencombrée de toute direction volontaire est pur éclat.

    Comme vous le dites, à une certaine époque il m'est arrivé de dispenser des « cours de méditation ». Cette formulation malheureuse a peut-être laissé croire qu'il y a des instructions spéciales, quelque chose à faire, à apprendre, à mémoriser et à emporter chez soi pour le ressortir plus tard, quand on éprouve de la difficulté à faire face à sa vie. Non. Il n'y a pas de système, il n'y a pas de truc. Vous posez la question d'un « genre » de méditation. Or, tant que la méditation a un genre, cela demeure une activité mondaine. Il n'est donc pas question de méditation bouddhiste, de méditation zen, de méditation dynamique, de méditation soufie etc. Tout cela c'est de la poudre aux yeux, c'est du spectacle ; ne vous laissez pas impressionner par les images, par le décorum et les réputations que se sont laborieusement forgées les gurus à la mode, les gérants d'ashrams et les directeurs d'écoles de méditation, qu'ils soient occidentaux ou orientaux. Voyez, même les chrétiens tentent désespérément de récupérer ce mot populaire depuis quelques décennies : après deux mille ans de bavardage inutile et la condamnation de la méditation par le pape actuel, il y a maintenant une méditation chrétienne.

    La question d'un « genre de méditation » est très liée à celle d'une autorité spirituelle et de toutes les bêtises qui viennent avec cela. J'ai personnellement été témoin du désolant spectacle d'êtres humains captifs d'un système de méditation et d'une idéologie de libération personnelle ; j'ai vu des gens à première vue très brillants être complètement subjugués par la pensée d'un malheureux « être réalisé » affligé du besoin compulsif d'être approuvé et admiré. Je les ai vus adhérer à une doctrine et suivre la ligne du « parti » avec le même aveuglement que les Jésuites ou les gardes rouges chinois du temps de Mao. Il faut avoir vu les romantiques adeptes de tels groupuscules sectaires s'agglutiner pendant des années dans des lieux exotiques pour se concentrer. Il faut avoir vu tous ces gens se retirer dans ces camps de concentration et même souvent se mettre des bouchons dans les oreilles pour « méditer », afin de ne pas entendre la rumeur du monde, qui n'est rien d'autre que la rumeur de Dieu. Je puis témoigner que vingt, trente ans plus tard, ces dormeurs posent toujours les mêmes questions et reçoivent toujours les mêmes réponses formulées de la même manière et avec les même mots. Derrière les barbelés psychologiques dressés par leur guru autour du camp, les croyants se sentent toujours aussi frileux devant la vie et ses grands espaces ouverts.

    Je remercie les dieux de m'avoir mis en contact avec cette caricature, où le maître est incapable d'entendre la moindre critique ou suggestion d'une autre approche et où les disciples se sentent immédiatement menacés à la suggestion d'un autre système ou, suprême horreur, de l'absence de système. Ce fut pour moi une grande leçon : j'ai vu comment naissent les sectes - toutes les sectes, dont la plus grosse est l'Église catholique -, les systèmes, les encadrements et les structures. J'étais assis aux premières loges.

    Mettre lourdement l'accent sur une quelconque technique et sur une idéologie pour se libérer, c'est une stratégie pour ne plus ressentir sa vie telle qu'elle est. Ce réflexe pathologique face à la peur et à la souffrance (qui n'est rien d'autre qu'avoir des problèmes avec la réalité) est, bien sûr, un ajournement. Cet ajournement peut être nécessaire, quand notre trajectoire passée dans l'espace-temps ne nous laisse pas le choix, mais ça n'en demeure pas moins un ajournement.

    De grâce, soyez un peu sérieux ! Si vous avez la capacité d'entendre cela, alors vous n'en serez plus réduit à aller faire la queue pendant des heures pour recevoir l'accolade d'une figure exotique qui flatte les images romantiques populaires. Vous ne ressentirez plus le besoin de ce genre de pitreries. Vous serez libre de cette frilosité qu'est la religion sous quelque forme que ce soit. Les religions, les idéologies, les groupes hiérarchisés, avec leurs leaders, leur autorité, leurs dogmes, leurs promesses, leurs techniques et leurs programmes pour vous éviter de ressentir la misère de ce que vous avez échafaudé dans votre vie, sont des calamités dont vous pouvez très bien vous passer tout de suite, sans autre simagrée. Dans tous les groupes religieux, autour de toutes les autorités spirituelles, on retrouve invariablement les mêmes promesses de mieux-être pour plus tard. Vous devez accepter de penser et de vivre de telle manière, de pratiquer tel rituel ou telle méditation, de marmonner tel mantra, toutes choses qui vous insensibilisent et vous rendent stupide maintenant dans le but de vous libérer plus tard. Croyez-vous vraiment que toutes ces singeries peuvent vous être de quelque utilité pour voir clair et vous comprendre ? Je ne dis pas qu'il ne faut pas se sentir en résonance avec un courant spirituel quand une évidence se présente, mais s'identifier à un groupe, vouloir faire carrière dans le bouddhisme ou le christianisme, c'est un symptôme de peur ou d'ennui. Vous seriez mieux de ressentir votre peur ou l'ennui de votre vie et d'y voir clair, au lieu d'aller vous cacher et grelotter en groupe derrière une doctrine de libération future.

    Quand vous pratiquez une technique, vous répétez toujours la même chose, vous essayez de revivre la même situation afin d'exorciser tout ce qui remet en question votre savoir sur le monde et sur vous-même. C'est complètement mécanique. Comment pouvez-vous espérer qu'un monceau de conditionnements vous mène un jour à la liberté ? C'est cela la grande illusion de ce genre de pratiques spirituelles, dont la principale utilité est de faire rouler les affaires de ceux qui veulent vous sauver à tout prix, de ceux qui veulent vous libérer sans que vous ayez à être présent dans votre vie, bref, tous ceux qui se veulent indispensables dans votre vie. On peut comprendre la pratique de techniques en vue d'acquérir une habileté professionnelle, pour apprendre la clarinette ou la boxe, mais pour vivre la liberté.

    Qu'y a-t-il donc derrière cette névrose très ancrée qui consiste à s'en remettre à une technique, à un autre être humain, à une façon de penser ou à une nouvelle drogue ? La peur ! La peur de sentir qu'en fin de compte on n'est absolument rien, du moins rien de tout ce qu'on a pu imaginer, y compris les images infantiles qu'on se crée sur « Dieu » ou sur « le Soi ». Ce n'est pas un blâme à l'endroit de ceux qui croient qu'une technique ou un guru va les dispenser de se voir et de se comprendre : l'être humain en est réduit à de telles âneries parce qu'il n'a pas le choix, parce qu'il n'a pas la force et l'humilité d'être simple, direct et honnête avec lui-même. Ainsi, vous ne pouvez demander à un enfant de trois ans de comprendre ce qu'un adulte peut comprendre. Il n'y a rien à imposer à qui que ce soit. Il n'y a aucun jugement ici, simplement une constatation. Par contre, si vous avez l'humilité d'entendre cela sans peur, sans retourner dormir devant un « éveillé », dans un groupe ou derrière une idéologie, alors vous allez peut-être découvrir vous-même que tout est beaucoup plus simple et infiniment plus beau que ce que votre mémoire vous inflige.

    La méditation n'a vraiment rien à voir avec une technique. Méditer c'est regarder pour la première fois, alors que pratiquer une technique consiste à répéter pour la nième fois. Se concentrer c'est se couper de la vie, c'est un manque de respect envers ce qui est là. Qu'est-ce donc que vous ne voulez pas voir dans votre vie au juste et pourquoi ? Il n'y a pas à se concentrer ; il n'y a qu'à écouter, regarder.

    Méditer ce n'est ni fuir les objets ni aller à la pêche pour en attraper ; ce sont là les deux facettes d'un même manque de maturité. Tout ce qu'on attend, tout ce qu'on espère, tout ce qu'on peut comprendre, ce sont des objets, c'est-à-dire quelque chose qu'un observateur particulier découpe de toutes parts par rapport aux autres « objets » et par rapport à l'arrière-plan silencieux. Si vous allez à la chasse ou à la pêche au fond des bois, vous risquez de tuer un animal ou un poisson qui, comme vous, ne demande qu'à vivre. Ce n'est certes pas là une marque de grande sensibilité, mais quand vous partez chaque jour à la pêche intérieure pour attraper quelque chose de substantiel, vous faites preuve d'une insensibilité encore plus fondamentale : vous n'allez peut-être pas tuer un animal, mais vous allez tuer, ou du moins ensevelir, ce qui en vous est vivant. Au bout de quelques années, vous irez grossir les rangs des vieux croûtons qui errent à la surface de la soupe prétendument spirituelle de cette planète. Chercher à distinguer un objet, chercher à comprendre, chercher un état de conscience, vouloir transcender le monde, devenir un être réalisé, tout cela reflète un manque de clarté et c'est encore un compromis.

     

     

    Mais alors le mot méditer a-t-il un sens pour vous?

     

     

    La méditation c'est le respect total de ce qui est là, le respect de la vie telle qu'elle est. C'est le respect de ce que j'appelle ma vie, avec mon corps et mon psychisme tels qu'ils sont. C'est la non-violence parfaite. Cela veut dire que vous ne faites plus dans l'ailleurs ou dans le plus tard. Vous ne pensez plus à votre vie, vous la vivez clairement, directement.

    Vous savez ce que veut dire vivre ? Cela veut dire être présent : sentir, ressentir, goûter, regarder, écouter. Ce n'est pas anesthésier cette sensibilité en vivant dans un monde abstrait tissé de notions engluées de mots. Quand vous voyez un arbre, un cerf, un homme, vous vous donnez vraiment à la vision et aussi à ce que vous sentez en vous, vous vous abandonnez au toucher intérieur. Vous n'êtes pas en train d'évaluer l'âge de l'arbre, si c'est un beau cerf ou un homme sympathique. Bien sûr, toutes ces notions peuvent vous venir - vous ne choisissez pas ! - mais vous ne mettez pas l'accent sur elles. Vous êtes beaucoup trop occupé à ressentir, à toucher, à goûter, pour avoir le temps de courir après des concepts ou des opinions. C'est un manque de temps. Généralement, quand on perçoit un objet, un visage ou une énergie, que fait-on immédiatement ? On se détourne de la réalité pour se tourner vers les images proposées par la mémoire. C'est cela vivre de manière abstraite, complexe, virtuelle. La vie est très simple, sauf quand on la regarde à travers le brouillard de la mémoire.

    Observez bien ! Notez ce que vous échafaudez par-dessus la perception du moindre objet physique ou mental. Voyez ce que vous construisez encore qui étouffe et ensevelit le regard. Au moment même où vous plongez la main nue dans la neige, il n'y a rien à penser, à juger, à analyser ni à classifier. Au moment même où vous ressentez la tristesse, la colère ou la peur, il n'y a pas davantage à penser ou à « comprendre ». À un moment donné, il vous apparaît étrange de rechercher autre chose que ce qui est là, autre chose que ce qui est offert par la vie. Vraiment, cela paraît très étrange.

    Voyez les enfants - tant ceux des êtres humains que ceux des animaux -, voyez comme ils ne sont que regard, écoute, sensibilité, attention. C'est universel, c'est inné ; voilà notre vraie nature. N'y a-t-il pas là un signe très clair ? C'est avec l'accumulation des impressions mentales laissées par les innombrables expériences passées que nous nous mettons à vivre dans l'habitude. Avec le temps nous en venons à accepter l'idée que ce n'est pas la première fois, la seule fois, que nous ouvrons les yeux sur le monde. La notion d'objet va alors de soi et il ne nous vient plus de douter de la réalité de nos images. Notre cerveau, très tôt dans notre vie, a échafaudé une image du « monde » à partir des impressions des cinq sens. Nous sommes dès lors convaincus de la solidité des choses « là-bas » et d'un moi « ici ». Le cerveau a construit les notions même de « là-bas » et « ici ». Mais si vous absorbez des substances hallucinogènes, alors vous voyez différemment et avec la même conviction. Est-il vraiment nécessaire de se livrer aux drogues pour voir l'aspect fallacieux de nos fragiles images du monde ? Il suffit d'être attentif ! Pendant combien de temps allons-nous rêver et remplacer une image par une autre image ?

    La vie méditative, c'est la maturité du regard, dans lequel n'y a plus l'habituelle ruée bovine sur des objets. C'est une persistance du regard. C'est par impatience que nous nous jetons sur des objets et sur des situations. L'impatience c'est la peur et cette peur repose uniquement sur une pensée. Méditer c'est persister avec ce qui est là. Cela implique donc le refus des images. Non pas les combattre, non pas chercher à les détruire - qu'y a-t-il à combattre ? Non. Cela consiste à refuser de se contenter du pâle reflet de la réalité qu'est l'image de soi-même. Quand vous demeurez avec « ce qui est là », à un moment donné cette attention devient silence, étonnement, ravissement, tranquillité. La brume des images se dissipe et il reste une lucidité dans laquelle il n'y a plus ni objet ni sujet. Méditer c'est vivre sans se localiser. Il n'y a que pur regard, pure attention.

    Vous vivez dans le marasme simplement par manque de conviction d'être pur regard, pure lumière consciente. Conviction veut dire évidence directe, non pas conclusion intellectuelle. Les intellectuels vivent dans la même peur que les autres, à cause de la même déficience de conviction. Sans une telle évidence directe, la vie sur terre n'est qu'une interminable errance pour tenter d'éteindre la soif d'expériences et de compréhension. Tant que vous ne demeurez pas présent à ce qui est là dans votre vie, clairement, simplement, vous ne pouvez éclairer vos constructions mentales et réaliser tout ce qu'elles ont de virtuel. La réalité est sans cesse en train de souffler sur le château de cartes de vos fabrications. Mais tant que vous fuyez de situation en situation, de pensée en pensée, vous êtes comme l'impatient qui pénètre dans une pièce sombre en provenance de l'extérieur en hiver : tout ébloui par l'éclat du soleil sur la neige, ne distinguant rien pendant les premiers instant, il se retire de cette pièce, retourne dehors, puis entre à nouveau dans une autre pièce, puis une autre, sans avoir jamais rien vu. Ainsi affligé, vous avez vite fait le tour de votre maison et vous vous sentez toujours aussi vide. Notre regard a besoin d'une certaine persistance pour distinguer. Alors, ce que j'appelle méditation c'est cette persistance du regard, cette insistance de l'attention, sans but, sans projection de ce qu'on pourrait voir. D'ailleurs, il n'y a rien à voir ! Au cour d'une telle attention, il ne subsiste bientôt plus que la pure lumière consciente, qui est la vie elle-même.

     

     

    Vous parlez du regard qui s'exerce. Cela ne ressemble-t-il pas à une pratique ?

     

     

    Il n'y a pas d'éléments techniques à maîtriser ici. Qui peut vous enseigner le regard ? Il existe beaucoup de « techniques de méditations » sur le marché, mais il s'agit là d'un artifice de marketing. On peut bien créer un espace méditatif, mais ce qu'il y aurait à dire sur une technique méditative tiendrait en très peu de mots. Cela dit, il est vrai que le regard s'exerce et devient plus compétent quand on se donne à des moments de silence sans but. C'est cela qui permet de demeurer présent quand souffle le vent de la vie sur vos plans et sur vos certitudes. Mais ce n'est pas quelque chose à pratiquer dans le but d'être présent plus tard. Ce n'est rien à mémoriser, à thésauriser. Cela vient comme une conséquence naturelle, non comme un objectif à atteindre. Dès que vous êtes tourné vers un autre moment, vous rêvez, vous dormez.

    Par exemple, quand vous avez complété les tâches de la journée, vous êtes assis et vous demeurez là. Vous n'allez pas voir ailleurs, vous ne chercher pas ce qui pourrait vous désennuyer à la télé, vous ne cherchez pas dans votre carnet le numéro de téléphone d'un ami qui pourrait être votre clown de service ce soir-là. Vous regardez ce qui est là, vous ressentez votre corps, sans rien essayer. En méditation vous n'êtes tenu à rien, surtout pas de « méditer » ! Demeurez simple. Il n'y a rien à suivre, rien à refuser. Laisser venir, laissez aller. Vous assistez à ce qui est là, y compris à ce que votre mémoire nomme « rien ». « Rien » est un autre concept. Il n'y a jamais « rien » : vous êtes toujours là en tant que pur regard. Mais n'essayez pas de voir ce « pur regard » ! Vous réalisez que vous êtes perdus dans vos pensées ? Et alors ? Vous assistez à cela, sans plus. Depuis toujours vous ne faites qu'assister aux modalités de ce que vous appelez votre vie. Vous allez bientôt voir que tout est vide de substance, qu'il n'y a pas de choses séparées du regard, vraiment.

     

     

    Et quelle place faites-vous à la prière ?

     

     

    Prier, dans le sens où on emploie ce mot la plupart du temps, ça n'a pas grand sens. Ce que veulent dire la plupart des gens par prier c'est demander, supplier « Dieu » d'intervenir dans leur petite vie misérable. Mais même ce genre de prière est au moins le signe d'un début d'humilité. Quand leurs stratégies habituelles ne semblent plus rapporter de dividendes, les superbes et les arrogants se mettent à la prière. Quand les Nazis ont envahi l'Union soviétique, à l'été de 1941, et que tout semblait perdu, même Staline a fait rouvrir les églises.

    Pour la plupart des gens prier est un réflexe : ils grelottent quand ils ont froid, ils toussent quand leur gorge est chatouillée et ils prient quand ils ont peur et ne comprennent plus rien. Ce réflexe est encore une stratégie qui pointe en direction d'un quelconque soi-même : c'est une activité mondaine et vulgaire. Je veux bien que, sur un mode poétique, on s'adresse à une divinité, ou même que, sur ce même mode, on demande parfois quelque chose pour sa vie personnelle, mais alors cette demande ne devrait pas être formulée à partir de la conviction d'être une entité séparée. Bien sûr, la littérature sacrée est constellée de prières qui ressemblent à des demandes, même à des implorations. Mais c'est toujours sur un mode poétique.

    Vous pouvez très bien demander, mais alors de la même manière que vous demandez le sommeil quand vous allez vous mettre au lit. Vous ne pouvez pas le provoquer. Bien sûr, si vous ne vous étendez pas, vous n'allez pas dormir non plus. Alors vous allez interroger le dieu du sommeil. Vous allez vous étendre pour suggérer le sommeil, vous allez voir s'il est là. Le reste n'est pas entre vos mains en tant que personne. Autrement dit, votre corps et votre psychisme sont les dociles instruments du dieu. Vous n'êtes pas là en tant que personne qui exige de dormir. D'ailleurs regardez ce qui arrive quand vous vous étendez avec l'idée que vous devez dormir à tout prix, que vous voulez dormir.

    Prier pourrait être cela : être consciemment l'instrument de la vie. Vous pouvez alors interroger pour voir si votre foie ne pourrait pas se désencombrer de certaines énergies, pour voir si votre nerf sciatique ne pourrait pas se décoincer, pour voir si votre ami ne pourrait pas voir sa vie s'éclaircir ; des choses comme cela. Mais vous le faites toujours en souhaitant qu'il arrive ce qui doit arriver. C'est le sens de la prière de Jésus, dans le Jardin des oliviers, qui demande : « Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi. Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux ». En réalité, c'est le Père qui fait tout, qui est tout. Le Père, en tant que Jésus, ne doute pas de cela et peut donc « demander » sans se fourvoyer comme le font les autres êtres humains. De là la puissance de ses « demandes ». C'est bien ainsi que les malades étaient guéris en sa présence.

    Alors, quand vous priez, vous n'intervenez pas en tant que cette image pour laquelle vous vous êtes pris depuis si longtemps ; vous n'êtes simplement pas là. Quand vous priez ainsi, vous ne manquez plus de respect envers Dieu en estimant qu'il puisse y avoir autre chose que Lui.

    Nous pourrions peut-être terminer par la prière de Maître Eckhart : « Et maintenant, que Dieu nous aide à gagner cette lumière éternelle ! »

     

     

     Jean Bouchart d'Orval

     

    Source

     



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    Ni la contrainte, ni la sévérité ne vous ouvriront l'accès à la vraie sagesse,
    mais bien l'abandon et une joie enfantine.

    Quoi que ce soit que vous vouliez apprendre,
    abordez-le avec gaieté.

     

     

    Henry David Thoreau


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    Le sage Héraclite disait: "Vous ne pouvez pas entrer deux fois dans la même rivière".
    Vous ne pouvez pas croiser le même homme deux fois; il est impossible de croiser le même homme deux fois, parce que l'homme est une rivière, un flux continuel. Vous ne savez jamais ce qui va se passer. L'avenir reste ouvert.


    Pour une chose, un objet, l'avenir est fermé. Un rocher restera un rocher, une pierre. Il n'a aucune potentialité de croissance. Il ne peut pas changer, il ne peut pas évoluer. Un homme ne reste jamais le même. Il peut reculer, il peut aller de l'avant ; il peut aller en enfer ou au ciel, mais jamais il ne reste le même. Il continue à évoluer, dans une direction ou une autre.

     

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