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    Si un placard est plein à déborder et si l'on ouvre les portes, son contenu se déverse au-dehors et rien ne peut l'arrêter. Quand les écluses sont ouvertes, l'eau se précipite en avant avec une puissance et une force terribles, emportant tout avec elle. Il en est de même avec la puissance spirituelle qui est en toi ; une fois qu’elle a été reconnue et libérée, rien ne peut en arrêter le flot. Elle se déverse, balayant toute négativité et toute disharmonie, apportant avec elle paix, amour, harmonie et compréhension. C’est l’amour qui triomphera du monde ; c’est l’amour qui unifiera toute humanité. Donc plus vite tu libéreras cette extraordinaire puissance d’amour en toi et lui permettra de couler librement, plus vite tu complèteras la paix et l’harmonie du monde et l’unité de toute l’Humanité. Quand tu as l’amour au cœur, tu tires le meilleur de chacun, car l’amour ne voit que le meilleur et donc attire le meilleur. N’aie pas peur ; ouvre-toi, ne retiens rien, et laisse tout cela couler librement.

      Eileen Caddy

     

     

    Image: L'école des poissons, Yukimasa Hirota
     

     


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  •  Pour un instant de paix.  Chez  SEVIM...























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    Un moine disait à son élève :

    « Une lutte est en cours à l’intérieur de moi. C’est une lutte terrible entre deux loups.

    L’un est plein d’envie, de colère, d’avarice, d’arrogance, de mensonge, de ressentiment,  de supériorité, de fausse fierté.

    L’autre est bon, il est paisible, heureux, serein, humble, généreux, vrai et rempli de compassion.

    Cette lutte a aussi lieu en toi, mon enfant, et en chaque personne.

    L'élève réfléchit un instant et interrogea le moine :

    Lequel des deux loups va gagner la lutte ?

    Et le moine répondit simplement : Celui que tu nourris ! »

     

    Alors, apprenez l’art de la méditation. Restez éveillés. Nourrissez le bon loup qui est en vous. Les personnes qui veulent effectuer le circuit spirituel doivent absolument posséder le courage extrême et la volonté d’aller jusqu’au bout.

     

    Source


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  • Pierres zen 

     

     

    Et sentir n’est pas possible si l’on sent aujourd’hui comme l’on a senti hier : sentir aujourd’hui la même chose qu’hier, cela n’est pas sentir – c’est se souvenir aujourd’hui de ce qu’on a ressenti hier, c’est être aujourd’hui le vivant cadavre de ce que fut hier la vie, désormais perdue.


    Tout effacer sur le tableau, du jour au lendemain, se retrouver neuf à chaque aurore, dans une revirginité perpétuelle de l’émotion – voilà, et voilà seulement ce qu’il vaut la peine d’être, ou d’avoir, pour être ou avoir ce qu’imparfaitement nous sommes.


    Cette aurore est la première du monde. Jamais encore cette teinte rose virant délicatement vers le jaune, puis un blanc chaud, ne s’est ainsi posée sur ces visages que les maisons du côté ouest, avec leurs vitres comme des milliers d’yeux, offrent au silence qui s’en vient dans la lumière naissante. Jamais encore une telle heure n’a existé, ni cette lumière, ni cet être qui est le mien. Ce qui sera demain sera autre, et ce que je verrai sera vu par des yeux recomposés, emplis d’une vision nouvelle.


    Collines escarpées de la ville ! Vastes architectures que les flancs abrupts retiennent et amplifient, étagements d’édifices diversement amoncelés, que la lumière entretisse d’ombres et de taches brûlées – vous n’êtes aujourd’hui, vous n’êtes moi que parce que je vous vois, vous serez demain ce que (je serai ?), et je vous aime, voyageur penché sur le bastingage, comme un navire en mer croise un autre navire, laissant sur son passage des regrets inconnus.


    Fernando Pessoa

    Le livre de l’intranquillité de Bernardo Soares

    Traduit du portugais par François Laye

    Christian Bourgeois Editeur



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    Si vous sentez l'appel d'aller soulager la souffrance dans le monde, ce qui est une chose très noble en soi, rappelez-vous de ne pas vous concentrer exclusivement sur le dehors, sinon vous connaîtrez frustration et désespoir.

     

    Sans un profond changement dans la conscience humaine, la souffrance du monde entier est un trou sans fond.

     

    Ne laissez donc pas la compassion devenir unilatérale.

     

    L'empathie ressentie devant la douleur ou la pénurie éprouvée par quelqu'un d'autre et le désir de l'aider doivent être contrebalancés par la réalisation profonde de la nature éternelle de toute expression de vie et de l'illusion ultime qu'est toute souffrance. Laissez donc la paix imprégner tout ce que vous entreprenez et vous travaillerez ainsi simultanément sur les plans de l'effet et de la cause.

     

     

    Ceci vaut également dans le cas où vous faites partie d'un mouvement destiné à amener les
    humains profondément inconscients à cesser de se détruire les uns les autres, de nuire à la planète ou d'infliger d'horribles souffrances à d'autres êtres vivants.

     

    Souvenez-vous que vous ne pouvez pas vous battre contre l'inconscient, tout comme vous ne pouvez pas combattre l'obscurité.

     

    Si vous essayez de le faire, les polarités opposées se renforceront et s'installeront davantage.

     

    Vous vous identifierez à une des polarités et vous créerez un ennemi et serez à votre tour happé par l'inconscience.

     

    Élevez le niveau de conscience en disséminant de l'information ou, tout au plus, ne pratiquez que la résistance passive.

     

    Mais assurez-vous d'abord qu'il n'y a en vous aucune résistance importante, aucune haine, aucune négativité.

     

    « Aimez vos ennemis », dit Jésus, ce qui bien sûr signifie : « N'ayez pas d'ennemis. »
     

     

    Une fois que vous êtes engagé à travailler au niveau de l'effet, il est très facile de vous y perdre.
     

     

    Restez vigilant et très, très présent. Le niveau causal doit rester votre point de mire, l'enseignement de l'éveil, votre principal objectif et la paix, le plus précieux cadeau à offrir au monde

     

     

     

    Le livre en pdf

     

    Ici

     

     


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    Voici la morale parfaite: vivre chaque jour comme si c'était le dernier; ne pas s'agiter, ne pas sommeiller, ne pas faire semblant.

    Dès l'aurore dis-toi par avance: Je rencontrerai un indiscret, un ingrat, un insolent, un fourbe, un envieux, un insociable.

    Tous ces défauts sont arrivés à ces hommes par leur ignorance du bien et des maux.
    Pour moi, ayant jugé que la nature du bien est le beau, que celle du mal est le laid, et que la nature du coupable, lui-même est d'être mon parent, non par la communauté du sang ou d'une même semence, mais par celle de l'intelligence et d'une même parcelle de la divinité, je ne peux éprouver de dommage de la part d'aucun d'eux, car aucun d'eux ne peut me couvrir de laideur.

    Se comporter en adversaires, les uns des autres est donc contre nature, et c'est agir en adversaire que de témoigner de l'animosité ou de l'aversion.

    Le propre de l'homme est d'aimer, même ceux qui l'offensent.

    Marc Aurèle

     

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    Photos: Giverny - Jardin et Maison de Monet (10/08/2013)

      

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  • http://www.babelio.com/users/AVT_Arnaud-Desjardins_1954.jpegArticle lu dans une réponse chez Vieux Jade et trouvé ici

    Depuis plus de quarante ans, à travers ses films, ses livres et les lieux de recherche qu’il a ouverts, Arnaud Desjardins transmet le message des grandes traditions orientales, du soufisme au bouddhisme tibétain. Alors que paraît sa biographie, il dresse avec nous le bilan d’une existence vouée à la sagesse. Pascale Senk

     


    Psychologies : Après toutes ces années de pratique spirituelle et la création de trois ashrams, diriez-vous que vous êtes un gourou ?

    Arnaud Desjardins : Si j’étais dans un dîner mondain, je n’emploierais certainement pas ce terme, qui est devenu maudit à cause du phénomène des sectes ! Je dirais que je suis écrivain. Si, en revanche, mon interlocuteur semble s’intéresser à la spiritualité, alors oui, je lui dirais que j’ai consacré mon existence à cela : faire diminuer une certaine forme de souffrance. Le "guru", en hindi, c’est à la fois "celui qui a de l’expérience" et "celui qui disperse les ténèbres". Pour moi, c’est l’un des mots les plus précieux qui soient. Il existe dans toutes les civilisations sous des noms différents : c’est le "cheik" en arabe, le "pir" en persan, le maître spirituel à qui l’on s’adresse dans toutes les traditions pour recevoir une éducation émotionnelle et spirituelle. Ce travail intérieur, je l’ai d’abord expérimenté sur moi, grâce à l’aide d’un maître indien, Swâmi Prajnânpad. Depuis 1974, j’enseigne comme lui comment "se transformer de fond en comble".


    Et selon vous, les sagesses orientales donnent des clés pour cette transformation ?

    Oui, mais pas seulement elles. C’est pour cela que j’ai cherché, partout, dans les groupes Gurdjieff comme dans les Evangiles, dans le bouddhisme tibétain comme chez Maître Eckhart. Et ce qui m’a passionné, c’était de découvrir peu à peu que ces enseignements si différents se rejoignaient sur plusieurs points essentiels, qui sont vraiment des clés pour se transformer. Trois sont fondamentales. C’est d’abord « connais-toi toi-même ». Ensuite, « vis dans l’ici et maintenant ». Enfin, « accepte ce qui est », que mon maître Swâmi Prajnânpad traduisait par : « Il faut dire oui à l’indiscutable réalité de l’instant. »


    Vous insistez particulièrement sur cette acceptation inconditionnelle du réel…

    C’est cela, la pratique spirituelle, l’ascèse. Cela veut dire s’exercer. Accepter ce qui se passe à l’intérieur de notre être, devenir beaucoup plus présent, attentif, le plus souvent possible et notamment dès que nous nous sentons affectés soit par une émotion négative, soit par une émotion euphorique, qui peut tout autant nous aveugler. Accepter aussi ce qui est. Je me réveille un matin et mon enfant est malade ? Je m’exerce à ne pas perdre mon énergie dans des conflits intérieurs, comme : « Mais pourquoi l’ai-je sorti sans manteau hier ? Pourvu qu’il n’ait rien ! » Non : pas de discussion, pas de décalage avec la réalité. J’appelle immédiatement le médecin. Apparemment, le comportement est le même que pour n’importe qui, mais l’attitude intérieure est totalement différente.


     

    Dit comme cela, ça a l’air simple…

    La simplicité, c’est l’aboutissement. Un swâmi hindou, à qui j’avais demandé, lors de l’un de mes premiers voyages en Inde, « qu’est-ce que c’est la spiritualité ? », m’avait répondu dans un éclat de rire : « Quand il pleut, j’ouvre mon parapluie. Quand il cesse de pleuvoir, je le referme. » Voilà : l’acceptation de ce qui est, l’action juste ensuite. Mais pour parvenir à une telle attitude intérieure, le chemin est très long, très difficile.


    Pourquoi ?

    Parce que nous vivons la plupart du temps dans l’illusion. Les enseignements traditionnels tiennent des propos extrêmement durs sur notre condition humaine ordinaire. Ils parlent "d’aveuglement", de "sommeil" de "non-vérité". Il nous faut sans cesse faire des efforts pour revenir au réel, parce que nous sommes soumis à une certaine forme d’esclavage, celui de notre mental tortueux. Cela, la plupart des chercheurs spirituels ne l’entendent pas vraiment. Or, je le répète : il faut se remettre complètement en cause pour avancer, c’est l’affaire d’une existence entière. Cet engagement sur la voie n’est pas seulement une activité bénéfique que l’on ajouterait à notre existence comme des cours de piano. C’est toute notre existence qui doit se confondre avec la voie spirituelle. Chaque épreuve, chaque moment de ma vie devient alors un point d’appui sur lequel j’exerce ma vigilance et ma compréhension.


    Et qu’est-ce qui peut motiver dans cette ascèse si difficile ?

    L’envie de se développer dans la ligne de l’être, et non dans celle de l’avoir. Et la rencontre directe avec des personnes qui ont déjà accompli ce travail. Vous savez, Swâmi Prajnânpad, mon guru, n’était à peu près rien, socialement parlant. Mais nous, ses quelques disciples français qui avions des moyens financiers, eh bien je peux vous dire que nous étions des mendiants à côté de lui, des infirmes du cœur… Un jour, je l’ai vraiment compris. Je sortais de l’ORTF, où je travaillais, et il pleuvait des trombes. Je ratai le bus. Mon mental se mit à tourner en vrille. Intérieurement, je ne cessais de me plaindre : « Pourquoi dois-je vivre ça, à attendre sur le trottoir, après une journée de travail, etc. ». A ce moment-là, un producteur très célèbre à l’époque est passé devant moi, confortablement installé dans sa limousine. Je râlais de plus belle : « Oui, évidemment, moi je suis sur le trottoir, trempé, pendant que d’autres… » Et soudain, du plus profond de moi, une question est montée : « Arnaud, de quoi as-tu le plus envie dans ta vie ? Veux-tu ce que possède ce producteur ou bien ce que vit Swâmi Prajnânpad ? » Eh bien, la réponse, évidente, ne s’est pas fait attendre. Et je me suis immédiatement apaisé.


     

    De ce qu’avait votre maître, que désiriez-vous ?

    La liberté, la plénitude, la présence. Il était comblé et ne demandait rien. C’était lui le plus riche d’entre nous. Et ce qui dominait chez lui, comme chez tous les maîtres authentiques que j’ai approchés, c’est l’amour. Non pas "l’amour émotion" dans son sens galvaudé d’aujourd’hui, mais un amour profond, une bienveillance, un sentiment qui a à voir avec la bonté, l’intelligence du cœur. Ma fille, qui avait 4 ans à l’époque, a demandé à celui que nous appelions Swâmiji s’il possédait des pouvoirs miraculeux comme certains yogis. Il lui a répondu : « Infinite love, infinite patience » (« Amour infini, patience infinie »). Aujourd’hui, je réalise à quel point c’était vrai. Donc, c’est cela qui motive : trouver quelqu’un qui vous donne envie de ce qu’il est et non de ce qu’il a.

     


    Vous avez expérimenté cette transformation promise par les enseignements spirituels. De quoi est-elle faite ?

    Je dirai d’abord qu’il y a une diminution de l’égocentrisme et que, donc, notre perception du monde, des autres, devient plus vaste. Il y a aussi la disparition progressive de ces émotions qui sont toujours liées à « moi, mes souffrances ; moi, mon bonheur ; moi, ma réussite » ; la neutralisation de toutes sortes de pensées inutiles qui sont des projections, des peurs, des illusions ; et ainsi de plus en plus d’ouverture spontanée et aisée aux autres, de plus en plus de présence au moment présent.

     


    Et cela, même dans les pires circonstances ?

    Oui. En juillet 2000, j’ai eu un gros problème, un œdème pulmonaire aigu. Peu à peu, je sentais l’eau monter dans mes poumons comme si j’allais mourir noyé. Les secours n’arrivaient pas. Jusque-là, je ne savais pas si je serais capable de « dire oui à la mort ». Et bien, après toutes ces années d’exercice de l’acceptation, je n’ai pas résisté. J’étais calme, entièrement prêt à cette nouvelle expérience. Ce que nous enseignent les spiritualités, « vivre dans le climat du oui », opérait encore. En cela, je veux témoigner : même si j’ai réalisé tous mes rêves d’enfant, comme celui de réussir, d’avoir du succès, de connaître des gens célèbres, de voyager, l’aventure qui de loin reste la plus importante, celle qui surpasse toutes les autres, c’est cette transformation intérieure.

     

     


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  • http://image-photos.linternaute.com/image_photo/540/fleurs-exotiques-punaauia-polynesie-francaise-2111474872-724740.jpgNous sommes conçus pour progresser et non pour prendre nos aises, que ce soit dans les creux de vague ou dans les périodes fastes.
    John Gardner



    A découvrir: Eric Barret.

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  • http://www.reikido-france.com/images/gasshopat.jpg

     

     

    "Toutes les religions sont issues de la même source. Leurs différences viennent de ce qu’elles sont apparues à des époques différentes chez des peuples de mentalités différentes. C’est pourquoi il faut bien réfléchir avant de vouloir changer de religion, on ne s’adapte pas si facilement à d’autres mentalités.

     
    La tradition hindoue, par exemple, est extraordinairement profonde, riche et poétique, mais à part quelques exceptions, les Occidentaux qui s’y aventurent risquent surtout de s’y égarer. Ou alors, ils ne s’arrêteront qu’aux apparences, aux formes, à des détails superficiels, exotiques, et cela n’est pas respectueux pour tous ces grands esprits du passé qui, après avoir longtemps travaillé, fait des recherches, ont voulu léguer à leur peuple le fruit de leurs expériences. Il ne faut pas croire que les sages et les Maîtres spirituels de l’Inde se sentent tellement honorés de voir tous ces chrétiens négliger leur propre religion pour se déguiser en yogis. J’ai eu quelquefois l’occasion de constater combien certains Maîtres hindous sont sages. Ils demandent aux Occidentaux : « Vous êtes chrétiens ? – Oui. – Alors, restez chrétiens ». Ils savent qu’une culture, une tradition est comme le sol pour un arbre. Combien de temps faut-il à un arbre arraché à sa terre pour s’enraciner ailleurs ?"

     

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

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    Notre monde a besoin de fleurs.

     

    Une fleur, ça ne sert à rien. Mais s’il n’y en a pas, le monde est triste, il manque de beauté, de couleur, de parfum, de gratuité, de joie, de fête. La fleur, avant d’être fleur, c’est une graine semée dans la terre. Elle doit mourir pour donner une plante, une fleur puis une graine. C’est l’histoire de la vie.

     

     

    Nous-mêmes, laissons mourir certaines de nos envies, laissons mourir notre égoïsme, notre jalousie, pour faire place à plus d’écoute des autres, à plus de partage, à plus d’amour. C’est cela fleurir !

     

     

     

    Père Jean Tribut

     

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